mardi 11 novembre 2014

(blog à finir et à corriger)

Encore une avancée prometteuses, mes chers cinq lecteurs, des savants fous.

(source : Le Figaro santé)

Une vache modifiée pour produire du lait humain

Par figaro iconPauline Fréour - le 15/06/2011
Des chercheurs argentins ont greffé deux gènes de femme à une vache pour que l'animal produise des enzymes spécifiques au lait maternel humain. Une avancée prometteuse qui suscite toutefois quelques réserves.
Sur les photos, Rosita ISA ressemble à une jolie génisse, dotée du pelage fauve caractéristique de sa race, les «Jersey». Dans les faits, elle est une prouesse scientifique. Pour la première fois, des scientifiques ont réussi à modifier le génome d'une vache pour lui ajouter deux gènes humains contrôlant la production d'enzymes dans le lait.
Cette innovation a été réalisée en Argentine, par des chercheurs de l'Institut national de technologie agricole et de l'université de San Martin. Rosita, qui résulte d'un clonage, est née le 6 avril. Depuis, elle est surveillée 24 heures sur 24. Dans dix mois, les chercheurs devraient, en effectuant une simulation de grossesse, confirmer si les protéines humaines la lactoferrine et le lysozyme - sont bien présentes dans son lait. A l'âge adulte, Rosita devrait donner naissance à «des petits qui auront des gènes modifiés dans 25 à 30% des cas», puisque les gènes ne sont pas systématiquement transmis à la descendance, estime Nicolas Mucci, l'un des trois responsables des recherches. Soit autant d'animaux capables de produire ce lait amélioré.
La lactoferrine existe chez tous les mammifères et permet d'améliorer l'absorption de fer pour la fabrication des globules rouges. Mais elle est spécifique à chaque espèce et la lactoferrine bovine n'agit pas sur les humains. Le lysozyme est un agent anti-infectieux que l'on trouve peu dans le lait de vache, mais qui est très présent dans le lait maternel pendant la première semaine de lactation.
Nicolas Mucci affirme que le lait ainsi produit changera la donne pour les bébés en les «protégeant contre des maladies et en améliorant l'absorption de fer».

Pas consommable par les nourrissons

Le Pr Patrick Tounian, secrétaire général de la Société française de pédiatrie (SFP), met toutefois en garde contre les raccourcis séduisants. «Il s'agit d'une première étape très intéressante, mais le lait produit par cette vache est encore loin d'être du lait maternel», souligne-t-il. «Pour y parvenir, il faudrait transférer à la vache l'ensemble du génome régissant la production de lait chez la femme», soit bien plus de deux gènes, à considérer que cela soit possible.
«Ce lait reste donc impropre à la consommation des nourrissons, qui ne tolèrent que le vrai lait maternel et les laits maternisés, dont la composition est strictement réglementée», rappelle encore le pédiatre-nutritionniste. Selon lui, le principal attrait du lait de Rosita tient à son enrichissement en lactoferrine. Cette enzyme améliore l'absorption par l'organisme du fer contenu dans le lait de vache, ordinairement mal assimilé. «La SFP recommande de donner aux enfants de 1 à 3 ans du lait de croissance, enrichi en acides gras essentiels, vitamines et minéraux. Mais dans un cas sur deux, les parents ne respectent pas ce conseil et donnent directement à leur enfant du lait de vache. Pour ceux-là, un lait enrichi en lactoferrine serait effectivement préférable à du lait ordinaire». Ce lait pourrait également être bénéfique aux adultes et adolescents qui consomment peu ou pas de viande.
En mars, des chercheurs chinois avaient déjà annoncé avoir créé un troupeau de 200 vaches capables de produire du lait enrichi de trois enzymes humaines le lysozyme, la lactoferrine et l'alpha-lactalbumine grâce à une technique différente de celle utilisée par les Argentins. Les informations sont restées assez floues, mais le scientifique à la tête du projet, Li Ning, prévoyait une mise sur le marché d'ici une dizaine d'années."
Et, concernant notre santé, mes chers lecteurs, parlons du vaccin contre la grippe.

(source : Esprit science métaphysique)


Vaccins contre la grippe un rapport choquant.


Un scientifique de l’hôpital Johns Hopkins révèle un rapport choquant sur les vaccins contre la grippe

Un scientifique de l’hôpital Johns Hopkins a publié un rapport choquant sur les vaccins contre la grippe dans le British Medical Journal. Peter Doshi, docteur en médecine, dénonce que même s’il y a un nombre record de personnes qui font ces vaccins, ils sont moins efficaces et provoquent plus d’effets secondaires qu’allégués par les  Centers for Disease Control and Prevention ( les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies ) (CDC). En outre, déclare Doshi, les études qui soutiennent la politique de la CDC à encourager la plupart des gens à se faire vacciner contre la grippe tous les ans sont souvent des études de qualité médiocre qui n’étayent pas les affirmations officielles.
La promotion des vaccins contre la grippe est l’une des politiques de santé publique les plus visibles et agressives, déclare Doshi de l’école de médecine Johns Hopkins. À chaque automne les compagnies pharmaceutiques et les fonctionnaires insistent sur une vaccination à grande échelle en proposant de se faire vacciner chez son médecin. En France, en 2008 on comptait 5 213 615 vaccinés contre 4 945 911 en 2012.
« Le vaccin serait moins bénéfique et moins efficace que ce qu’on prétend, et la menace de la grippe semble être surestimée », dit Doshi. Dans certaines activités professionnelles la loi avait prévu de rendre obligatoire la vaccination contre la grippe mais elle a été suspendue par décret. Cependant on recommande fortement aux salariés qui travaillent dans le milieu de la santé, dans la fonction publique ou le privé de se faire vacciner contre la grippe.
La CDC affirme qu’il est nécessaire de se faire vacciner contre la grippe tous les ans car la grippe peut causer de graves complications pouvant entraîner la mort, surtout chez les personnes âgées et celles qui souffrent de maladies chroniques. Ce n’est pas le cas, a déclaré Doshi.
Lorsqu’on lit attentivement, la CDC reconnaît que les études qui ont révélé une baisse du taux de mortalité peut être due au fait que les personnes en bonne santé ont plus tendance à se vacciner que celles qui ont des problèmes de santé. Le seul essai de vaccin contre la grippe randomisé sur les personnes âgées n’a trouvé aucune diminution du nombre de décès. « Cela signifie qu’on approuve l’utilisation des vaccins contre la grippe chez les personnes âgées malgré des essais cliniques qui démontrent qu’il n’y a aucune amélioration grâce au
vaccin », dit Doshi.
Même lorsque le vaccin correspond étroitement au type de grippe répandu, ce qui n’arrive pas chaque année, des essais contrôlés randomisés sur des adultes en bonne santé ont constaté qu’entre 33 et 100 personnes vaccinées, il y a eu au moins un cas de grippe. De plus, déclare Doshi, il n’existe aucune preuve qui démontre une diminution du risque de grippe pour une population spécifique.
« Pour la plupart des gens, et peut-être même des médecins, les représentants ont seulement besoin d’affirmer que les vaccins sauvent des vies, et on suppose qu’il doit y avoir des recherches solides derrière cette affirmation », dit Doshi. Malheureusement, ce n’est pas le cas, dit-il.
Bien que la CDC indique que les vaccins contre la grippe soient sûrs, il n’est pas nécessaire de peser les avantages et les risques, conteste Doshi. Il signale qu’une étude australienne a révélé qu’un enfant sur 110 de moins de 5 ans a eu des convulsions suite à une vaccination pour la grippe H1N1 en 2009. Des études complémentaires ont constaté que le vaccin H1N1 a également été associé à une montée en flèche de cas de narcolepsie chez les adolescents.
Les préoccupations de Doshi font écho à celles du Dr Russell Blaylock, neurochirurgien et auteur de“The Blaylock Wellness Report” qui a de profondes inquiétudes concernant la sécurité et l’efficacité du vaccin contre la grippe.
Non seulement le vaccin n’est pas sûr, mais il n’est même pas efficace, raconte le Dr Blaylock. « Le vaccin est complètement inutile, et le gouvernement le sait, » dit-il.  « Il y a trois raisons pour lesquelles le gouvernement dit que les personnes âgées devraient se faire vacciner contre la grippe : une pneumonie secondaire bactérienne, l’hospitalisation, et la mort. Pourtant, une étude menée par le groupe Cochrane a étudié des centaines de milliers de personnes et a trouvé que le vaccin offrait une protection nulle contre ces trois choses pour la population générale. Il n’a offert aux personnes en maison de retraite que peu d’immunité contre la grippe, au mieux un tiers, mais seulement s’ils avaient choisi le bon vaccin. »
Vaccins contre la grippe

Une étude publiée en février a constaté que le vaccin contre la grippe a été efficace à seulement 9 pour cent pour les personnes âgées contre la plus virulente des grippes en 2012-2013.

Ce qui est encore pire, c’est que les enfants qui reçoivent les vaccins contre la grippe ne reçoivent pas de protection contre cette maladie. « Le gouvernement dit également que tout bébé de plus de six mois devrait se faire vacciner, et ils savent qu’il contient une dose de mercure qui est toxique pour le cerveau », explique le Dr Blaylock. « Il savent aussi que le vaccin contre la grippe n’a aucune efficacité chez les enfants de moins de cinq ans. »
Pour la plupart des gens, explique le Dr Blaylock, les vaccins antigrippaux ne préviennent pas la grippe, mais en réalité ils font augmenter les chances de l’avoir. Le mercure contenu dans les vaccins est un dépresseur immunitaire tellement fort que le vaccin contre la grippe supprime l’immunité pendant plusieurs semaines. « Les gens ont de fortes chances de contracter la grippe à cause de cela », déclare-t-il. «  Ils pourraient même penser que c’est le vaccin qui leur a donné la grippe, mais ce n’est pas vrai, il a fortement affaibli leur système immunitaire et ils ont attrapé la grippe. »
Le mercure surexcite le cerveau pendant plusieurs années, explique le Dr Blaylock, et c’est cette surexcitation qui est la cause de la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies dégénératives. Une étude a révélé que les personnes qui reçoivent le vaccin contre la grippe pendant 3 à 5 ans multiplient par 10 le risque d’avoir la maladie d’Alzheimer.
Doshi affirme qu’il y a une promotion de la grippe pour développer les marchés. Il souligne le fait que le nombre de décès causés par la grippe a fortement baissé au milieu du 20e siècle, bien avant qu’on lance les immenses campagnes de vaccination au 21e siècle.
Pourquoi les compagnies pharmaceutiques nous poussent-elles à faire les vaccins contre la grippe ? « Tout est une question d’argent », explique le Dr Blaylock. « Les vaccins sont le rêve des compagnies pharmaceutiques. Le gouvernement et les médias les aideront à les vendre, et comme les vaccins sont protégés, ils ne peuvent pas être poursuivis si quelqu’un a des complications. »
L’article de Doshi est une  « bouffée d’air frais », explique le Dr Blaylock. « Cette article révèle dans des termes bien définis et bien articulés ce qu’on sait depuis longtemps, la promotion de la vaccination contre la grippe est une escroquerie.
« Voici la ligne de fond », explique le Dr Blaylock. « Les nombreuses personnes qui reçoivent les vaccins anti-grippal n’auront aucun avantage, en revanche ils seront exposés à tous les risques et complications liés au vaccin. »
Source Vaccins contre la grippe : newsmaxhealth.comThe British Medical Journal
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Ca c'était un aparté.
A part cela, au Japon, c'est reparti pour le nucléaire.

(source : le Monde Planète)

Quatre ans après Fukushima, le Japon reprend le chemin du nucléaire

Le Monde.fr avec AFP |  • Mis à jour le 
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L'examen des réacteurs Sendai 1 et 2 afin de se prononcer sur leur sûreté a duré 14 mois.

Le gouverneur de la préfecture japonaise de Kagoshima a donné son accord, vendredi 7 novembre, pour le redémarrage des réacteurs nucléaires Sendai 1 et 2, les premiers conformes aux normes durcies depuis l'accident de la centrale Fukushima Daiichi en 2011.

Le plus haut responsable des autorités locales, qui a le dernier mot, a approuvé cette relance sur la base des garanties offertes par la compagnie exploitante, Kyushu Electric Power, et par le gouvernement disposé à relancer toutes les installations jugées sûres. Le ministre de l'industrie, Yoichi Miyazawa, s'est immédiatement réjoui de cette décision.
VERS UNE REMISE EN SERVICE DÉBUT 2015
Les 48 réacteurs nippons (sans compter les six saccagés de Fukushima) sont actuellement arrêtés. Ils ont été stoppés progressivement après l'accident qui a mis en évidence les négligences en matière de sûreté de la centrale endommagée, qui privilégiait baisses des coûts et profits.
Créée en septembre 2012, l'autorité japonaise de régulation nucléaire (ARN) étudie les dossiers de redémarrage de 17 réacteurs. Mais depuis l'entrée en vigueur mi-juillet 2013 de nouvelles normes plus sévères vis-à-vis des risques de catastrophe naturelle et d'accident critique, les procédures de certification sont longues et fastidieuses.
Pour la première fois, l'ARN avait validé la sûreté des tranches Sendai 1 et 2, mi-septembre, après 14 mois d'enquête et d'examens, donnant ainsi son feu vert technique pour leur remise en exploitation. Pour Sendai, la prochaine étape sera le « oui » du gouvernement de droite de Shinzo Abe. La relance du nucléaire faisant partie des promesses de campagne de M. Abe, l'approbation assurée sera suivie de quelques procédures techniques encore inachevées mais qui devraient avoir lieu début 2015.
L'ÉCONOMIE ET L'INDÉPENDANCE ÉNERGÉTIQUE EN JEU
Les écologistes avaient dénoncé par avance la décision du gouverneur de Kagoshima. Quelque 16 000 personnes avaient manifesté en septembre à Tokyo contre le redémarrage de réacteurs nucléaires et les sondages indiquent que la majorité de la population y est opposée.
Face aux arguments des écologistes et à une opinion réfractaire, le gouvernement de droite et les milieux d'affaires pronucléaires rétorquent que l'économie et son autonomie à l'égard de l'approvisionnement en énergie sont mises à mal par l'arrêt de tous les réacteurs du pays. Avant l'accident de Fukushima, l'énergie nucléaire produisait entre un quart et un tiers de l'électricité du Japon, et les autorités prévoyaient une proportion de plus de 50 % à l'horizon 2030, mais cet objectif est désormais définitivement caduc.
Les pronucléaires insistent sur le fait que l'archipel, qui jouissait auparavant d'enviables excédents commerciaux, est aujourd'hui la proie de déficits abyssaux creusés par la facture d'hydrocarbures importés, notamment le gaz et le charbon dont les importations ont bondi. Certes, disent-ils encore, le Japon ne manque pas de courant, grâce à un important parc de centrales thermiques dont plusieurs ont été relancées pour pallier l'absence d'énergie atomique, mais il pollue aussi plus par des rejets massifs de CO2. En outre, le prix de l'électricité a augmenté de 20 % pour les particuliers et de 30 % pour les sociétés.

vvv

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