lundi 25 novembre 2013

Salut à tous ceux qui croient encore que l'Organisation Mondiale de la Santé est indépendante des lobbies pharmaceutiques. Vous vous mettez le doigt dans l'oeil !

Bof !
Il y a urgence, mes chers cinq lecteurs, à préserver la bio-diversité et à lutter contre le changement climatique. Sauf que, les multinationales veulent exploiter le pôle Nord, ce qu'ils ne pourront pas faire si la calotte glaciaire y demeure.
Alors, tout, ce que font nos gouvernants, c'est.....RIEN !
La forêt 'Amazonienne, c'est pareil, le gouvernement laisse faire son extinction programmée. Pourtant, l'histoire nous apprend que la nature pallie aux maux que connaît l'humain par toutes une variété de plantes aux capacités insoupçonnées. Plantes nécessaires à une époque où la maladie est un passage que nous rend obligatoire l'industrie pharmaceutique et de l'agro-alimentaire.
Mais, ces mêmes industries les tuent au nom de leur notion du progrès qui s'apparente plus à une recherche du PROFIT !
Ces gens sont des criminels, PERSONNE NE LE DIT !

(source : 7 sur 7.b)

400 espèces découvertes

en Amazonie

Par: 
23/11/13 - 15h50
© photo news.
Le WWF a découvert plus de 400 nouvelles créatures dans la forêt amazonienne, dont un singe qui ronronne comme un chat lorsqu'il est content, un piranha végétarien et cette plante mauve aux étranges filaments.



"La richesse des forêts de l'Amazone continue d'étonner le monde entier. Mais ces mêmes habitats sont également sous la menace d'une fin tragique", a déclaré Damian Fleming, responsable des programmes pour le Brésil et l'Amazonie au WWF. "La découverte de ces nouvelles espèces réaffirme l'importance d'intensifier les engagements pour conserver et protéger la biodiversité unique de la région."

Eh, oui, mes chers lecteurs, ils nous parlent "progrès" et ils nous empoisonnent et détruisent la planète. Ils nous parlent CROISSANCE et leur croissance à eux n'est faite que pour la distribution de dividendes, la spéculation financière et destruction de l'économie réelle, donc du travail.
Je vous le dis, sournoisement, ils nous ont lavé le cerveau avec leurs médias, leur reportage, documentaire qui n'ont fait que nous enfoncer dans l'appropriation du fatalisme, vous savez le truc qui dit, "On n'y peut rien".
Si, c'est le destin, alors, rien ne sert de se révolter et comme les télés leur appartenant ne pondent que des programmes surtout n'amenant pas à la réflexion du pourquoi nous subissons et au profit de qui, ils ont eu largement eu le temps de s'approprier toutes les structures de contrôle de nous gouvernements.
Nous ne le savons pas encore, parce qu'ils nous font croire qu'il nous reste un espace de liberté,  mais, nous sommes déjà leurs esclaves.
Vous ne me croyez pas mes chers lecteurs ?
Alors, je vous le réaffirme, nous sommes déjà "la tête dans la cuvette des chiottes et ils vont bientôt tirer la chasse.
Pourris de gouvernement socialiste français !
Je dis français parce que je vis en France, mais, c'est des Etats-Unis que toute cette merde vient !
Et, eux, les "libres citoyens (mort de rire) américains, ils ne se réveillent même pas.
PUTAIN, réveillez-vous ou nous allons tous crever.. Avant tout, cela dépend de vous, alors, REVEILLEZ-VOUS !

(source : Bastamag)



PESTICIDES

30 000 euros d’amende pour avoir refusé... de polluer !

PAR 

Emmanuel Giboulot, vigneron en biodynamie à Beaune, encourt jusqu’à six mois de prison et 30 000 euros d’amende. Son délit ? Avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide pour lutter contre une maladie de la vigne, la flavescence dorée [1], comme en témoigne sa convocation au tribunal. En résumé, le vigneron est condamné pour avoir refusé de polluer...
Pourquoi ce scénario ubuesque ? En 2011, un foyer de flavescence dorée est identifié en Saône-et-Loire, au cœur des crus de Bourgogne. Branle-bas de combat à la Préfecture qui impose trois applications d’insecticides autour des communes concernées. Parmi les pesticides préconisés figurent des produits réputés pour leur toxicité, dont plusieurs perturbateurs endocriniens et un néonicotinoïde... Quant au « Pyrévert », seul produit préconisé en agriculture biologique, il est « photosensible, disparait rapidement, a seulement un effet choc et est toxique pour tous les insectes (dont les régulateurs de la population d’acariens) », souligne le site Veille au Grain.
Spirale infernale
Emmanuel Giboulot vit, lui, en Côte d’Or, département limitrophe, où aucun foyer de la maladie n’est identifié. Mais la Préfecture préfère prendre des précautions : via unarrêté le 7 juin dernier, elle exige « une lutte chimique contre le vecteur » qui doit se traduire par une application d’insecticide. « Je suis très conscient du danger que peut représenter cette maladie, mais ça me paraissait complètement démesuré de faire un traitement systématique alors qu’il n’y avait pas de foyer avéré, témoigne Emmanuel Giboulot, contacté par Basta !.
Ce vigneron cultive 10 hectares de vigne en biodynamie. Pour lui, recourir à un traitement insecticide n’est pas neutre. « Cela revient à détruire une partie de la faune auxiliaire, tout ce qui génère les équilibres de nos vignobles, sachant que nous cultivons des parcelles en bio depuis 43 ans ! » Il constate, amer, les dégâts causés par ces traitements chimiques systématiques en Saône-et-Loire. Le département en est à sa troisième campagne contre la flavescence dorée, avec trois traitements dans la saison. « La faune auxiliaire, qui sont les prédateurs naturels des acariens, a été complètement détruite, souligne t-il. Les vignerons sont obligés de faire deux traitements acaricides supplémentaires. » Une spirale infernale... « Ceux qui prennent ces décisions ne sont pas ceux qui sont sur les tracteurs pour épandre ».
Harcèlement ?
Plutôt que de traiter automatiquement, Emmanuel Giboulot et d’autres vignerons privilégient la « prospection collective ». Ils surveillent les parcelles, recensent les pieds atteints, vérifient en laboratoire que les symptômes sont bien ceux de la flavescence dorée, impossible à diagnostiquer à l’œil nu, avant d’arracher les pieds.« Il faut que chacun fasse une prévention systématique et obligatoire », préconise t-il. Mais le Service régional de l’alimentation, une sorte de « police du vignoble » rattaché à la Direction régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt, ne l’entend pas de cette façon. Il le contrôle le 30 juillet dernier pour vérifier s’il a bien traité ses vignes. « Les viticulteurs en bio en Bourgogne représentent 13 % de la surface en vignoble. Or, 50 % des viticulteurs en bio ont été contrôlés », note t-il. Un de ses collègues dans le Beaujolais vient d’ailleurs lui aussi d’être contrôlé, « après avoir clamé haut et fort sur TF1 qu’il ne traitait pas ses vignes ».
Emmanuel Giboulot a été convoqué une première fois le 12 novembre par le substitut du procureur et attend une seconde convocation. Outre les nombreux témoignages de soutiens individuels reçus, il bénéficie de l’appui de plusieurs associations de protection de l’environnement. En juin dernier dans le Vaucluse, un vigneron bio qui avait fait le choix de ne pas respecter la loi a été reconnu coupable. Mais il a été dispensé de peine pour avoir accepté de reprendre des traitements d’insecticides...

Et, il est vrai que l'industrie pharmaceutique nous protège !

(source : wikistrike)

VENDREDI 22 NOVEMBRE 2013
La maladie causée par le vaccin de la polio est deux fois plus meurtrière !

Si l'info n'est pas nouvelle, elle mérite qu'on s'y attarde...

inde--1-.jpgSelon un nouvel article publié dans le numéro d’avril 2012 de l’« Indian Journal of Medical Ethics », le vaccin contre la polio semble provoquer une maladie cliniquement semblable à la polio et qui est deux fois plus meurtrière que cette dernière. Il avait d’ailleurs été demandé que le programme d’éradication de la poliomyélite soit arrêté.

L’article révèle l’absence d’enquête  au sujet des paralysies flasques aiguës (PFA) qui sont cliniquement indiscernables de la polio paralytique, mais deux fois plus meurtrières. Les données du Projet National Indien de Surveillance montre que le taux de paralysies flasques aiguës a augmenté en proportion du nombre de doses de vaccin administrées. Des études indépendantes montrent que des enfants ayant reçu le diagnostic PFA  « étaient plus que deux fois à risque de décéder que ceux qui avaient été touchés par le virus de la polio sauvage. »
En 2011, l’Inde a été déclarée libre de tout cas de polio, mais cette même année a vu apparaître 47.500 cas de paralysies flasques aiguës. L’incidence de ces maladies a augmenté dans les régions où plusieurs doses de vaccins polio avaient été administrées.
Les auteurs signalent que sur le plan national, le taux des PFA est douze fois plus élevé que ce qui avait été attendu. Dans les états d’Uttar Pradesh et du Bihar  les taux de PFA étaient respectivement de 25  et de 35 fois plus élevés que les taux internationaux.
… Bien que l’Inde n’ait pas connu de cas de polio pendant une année, on a néanmoins enregistré une énorme augmentation des cas de paralysies flasquesaiguës (PFA).
[Ed : Cet article ne semble-t-il pas confirmer que la prétendue éradication de la polio aurait pu être atteinte en redéfinissant (comme maladies différentes) les cas de polio paralytiques pour pouvoir les soustraire aux statistiques des cas de poliomyélites paralytiques qui auraient été provoquées par les vaccins ?
Voir: INSIDEVACCINES (*) Ce dernier article suggère que la campagne d’éradication de la « polio » organisée par l’OMS semble avoir toujours été une « course folle » dans laquelle le tiers monde et les autres pays sans méfiance auraient été dupés.]
[…] Selon les auteurs de l’article, la promotion de ce programme par l’OMS et Bill Gates ne correspondrait pas aux exigences de l’éthique parce qu’ils savaient depuis plus de 10 ans que le programme d’éradication ne réussirait jamais….CHILHEALTHSAFETY
Indian Journal of
MEDICAL ETHICS
Vol. IX, n°2, Apr.-Jun. 2012
Dr Neetu Vashisht, Dr Jacob Puliyel
Abstract :
Il avait été espéré qu’à la suite du programme d’éradication de la poliomyélite, l’immunisation pourrait prendre fin.
Cependant, la synthèse du virus de la poliomyélite en 2002 a rendu cette éradication impossible. Le fait d’avoir incité les pays pauvres à dépenser leurs maigres ressources pour un rêve irréalisable depuis une dizaine d’années est, selon nous, contraire à l’éthique.
En outre, alors que l’Inde venait, cette année, d’être déclarée exempte de tout cas de poliomyélite, on a assisté à un énorme accroissement des cas de paralysies flasques aiguës (PFA). En 2011, on a relevé 47.500 nouveaux cas de PFA Ces cas ne pouvaient cliniquement pas être différenciés des cas de poliomyélites paralytiques, mais s’avéraient deux fois plus meurtriers. L’importance des cas de paralysies flasques aiguës était directement proportionnelle aux doses du vaccin oral reçues. Le principe « primum non nocere » avait donc bel et bien été foulé aux pieds !
Les auteurs veulent faire comprendre que l’énorme montant de 8 milliards de dollars américains qui ont été dépensés pour ce programme, pourrait être considéré dérisoire si, dans le futur, il permettrait au monde de se méfier de pareils programmes verticaux de vaccinations…
(*) Quand la poliomyélite est déclarée éradiquée d’une région, à combien de cas de paralysies flasques aiguës peut-on s’attendre ?
Exemple :
En 1993 aux Etats-Unis, les enfants recevaient 3 doses du vaccin polio oral et la couverture vaccinale dans 33 des 38 états était de 87%. Une couverture minimale de 80% avait de toute manière été maintenue. La vaccination de routine avait lieu chaque année. Depuis le 21 août 1991, (quand le dernier cas de polio fut rapporté) on releva 6.000 cas de paralysies flasques aiguës ! 
Extrait éclairant d’un récent article de Sylvie Simon sur la poliomyélitique
« L’OMS affirme que 5 millions d’enfants ont été épargnés de la paralysie et il est instructif d’apprendre d’où ils tirent de tels chiffres. Selon le Dr Jacob Puliyel, en 1988, il y a eu 32 419 cas de poliomyélites paralytiques. De façon arbitraire, l’OMS a augmenté dix fois ce chiffre sous le prétexte de sous-déclarations, annonçant ainsi 350 000 cas. En 2004, avec le changement de définition, seules les cultures de paralysies positives au virus furent considérées comme des polios et il en resta donc 2 000. Si l’on enlève ces 2 000 cas des 350 000 déclarés, il reste donc 348 000 enfants sauvés de la paralysie cette année-là. Voilà comment on manipule les statistiques. » Sylvie Simon

LISTE D'ARTICLES


Et, pour finir.

(source :

Comment le lobby bancaire et le gouvernement français protègent les banquiers ..

Par  | on 25/11/2013 | 0 Comment
banquierAucun banquier n’a été inquiété durant la dernière crise économique.
Aux Etats-Unis, dans un article daté du 12 novembre, le juge américain Jed Rakoff pose la question de savoir pourquoi aucun banquier n’a été poursuivi à la suite de la crise des subprimes, huit cent d’entre eux l’ayant été, par exemple, dans le sillage de la crise des Savings and Loan, les caisses d’épargne américaines, au milieu des années 1990. Il suffit pour répondre à cette interrogation légitime de se poser une seule question.
Comment faire pour que les gendarmes que sont les régulateurs détournent  leur attention des individus responsables ?
La solution est très simple, accuser les firmes, et non les dirigeants et stratèges.
Mais les banques ne sont-elles pas « too big to fail » comme on nous le répète sans arrêt? Ainsi, le lobby bancaire a réussi à reporter la faute des coupables sur l’établissement  auquel ils appartenaient, tout en hurlant que la condamnation d’une firme mettrait forcément en péril l’économie.
C’est cela qu’évoquait l’Attorney General, le ministre de la justice américain, Eric Holder, quand il déclarait qu’« il nous est devenu difficile de poursuivre [des firmes] quand on nous fait comprendre que si nous les poursuivions – si elles étaient accusées de comportement criminel – cela aurait un impact négatif sur notre économie, voire même sur l’économie mondiale ».
Si bien qu’au final, ni les firmes, ni les individus ne sont plus inquiétés. Ce serait donc, si l’on comprend bien, au nom de l’intérêt général que les responsables de la crise des subprimes ne passeraient pas en jugement.
En France, le dédouanement des responsables de la crise sous forme de non-lieux implicites ou d’amnisties est assuré parl’article 60 du projet de Loi des Finances 2014.
Sous prétexte de défense de l’intérêt général, sous la forme très particulière de l’État garant de la banque en faillite Dexia, un projet de loi vise à attribuer à titre rétroactif un caractère légal aux « crédits structurés » vendus aux collectivités locales par Dexia et d’autres banques. Rappelons que ces contrats constituaient de véritables escroqueries puisque, présentés comme de simples prêts, ils transformaient en réalité les collectivités locales emprunteuses en assureurs des banques prêteuses, les couvrant pour des risques de change ou de taux auxquels elles pouvaient être exposées par ailleurs.
Le 14 novembre, Karine Berger (PS) déclarait en Commission des Finances : « Tout de même, si l’on adopte cette mesure, c’est l’ensemble des crédits actuellement accordés aux entreprises en France – soit 500 milliards d’euros environ – qui ne pourront plus faire l’objet d’un recours ! ».
Charles de Courson (UDI) ajoutait : « Je maintiens que cet article [60] revient à blanchir des banques ayant commis une faute, ce qui n’est pas acceptable ». On ne peut mieux dire.
L’exonération des responsables de la crise financière a pris au fil des ans des formes multiples, toutes également scandaleuses.

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