jeudi 23 octobre 2014

Salut aux consommateurs, si, vous ne voulez pas bouffer de la merde, n'en achetez plus, organisez vous avec les producteurs prêts à produire sans pesticides !

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, on le savait les services américains après l'ancienne guerre froide ont fabriqués un nouvel ennemi, les islamistes radicaux pour avant tout réduire les libertés fondamentales des citoyens américains et manipuler l'opinion public.
Aujourd'hui, ils en prévoit un nouveau : La Russie, qui permettra la pénétration du pétrole et gaz de schiste en Europe, puis, son exploitation. Sans compter que l'isolation de l'Europe par rapport à la Russie devrait faire basculer l'opinion en faveur de l'accord de libre échange avec les States livrant les citoyens mains et pieds liés à l'arbitraire des multinationales et de la finance américaine.
D'ailleurs, en Europe, ils commencent à réduire les libertés fondamentales au nom de la lutte contre l'islamisme radical.
Bientôt, les jeux seront faits !

(source : ICI radio canada.ca)

Le FBI aurait poussé des Américains musulmans à commettre des attentats

Mise à jour le lundi 21 juillet 2014 à 16 h 14 HAE
Reuters
Attentat du World Trade CenterAttentat du World Trade Center (archives)  Photo :  AFP/Craig Allen
La police fédérale américaine (FBI) a « encouragé, poussé et parfois même payé » des citoyens américains de confession musulmane pour commettre des attentats sur son territoire dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, selon un rapport de l'organisme Human Rights Watch (HRW).
« Le ministère américain de la Justice et le FBI ont ciblé des musulmans américains dans des opérations clandestines de contre-terrorisme abusives, fondées sur l'appartenance religieuse et ethnique », dénonce HRW. L'organisme a recensé plus de 500 affaires de terrorisme devant les tribunaux américains.
Appuyée par l'Institut des droits de l'homme de l'École de droit de l'Université de Columbia, HRW a particulièrement suivi 27 dossiers, de l'enquête au procès. Les deux organismes ont rencontré 215 personnes - inculpés, proches, avocats, juges et procureurs - en lien avec ces affaires.
« Dans certains cas, le FBI pourrait avoir créé des terroristes chez des individus respectueux de la loi en leur suggérant l'idée de commettre un acte terroriste », résume HRW, estimant que la moitié des condamnations résultent de coups montés.
« On a dit aux Américains que leur gouvernement assurait leur sécurité en empêchant et en punissant le terrorisme à l'intérieur des États-Unis », a déclaré l'un des auteurs du rapport, Andrea Prasow. « Mais regardez de plus près et vous réaliserez que nombre de ces personnes n'auraient jamais commis de crime si les forces de l'ordre ne les avaient pas encouragés, poussés, et parfois même payés pour commettre des actes terroristes. »
Quand le gouvernement fournit « l'idée et les moyens » du crime
Le rapport souligne que l'agent d'infiltration a joué un rôle actif dans la tentative d'attentat dans 30 % des cas étudiés.
HRW cite le cas des quatre suspects de Newburgh, accusés d'avoir fomenté des attentats contre des synagogues et une base militaire américaine. Le juge a finalement statué que le gouvernement avait « fourni l'idée du crime, les moyens, et facilité » les attentats en plus de transformer des hommes, « dont la bouffonnerie, était shakespearienne », en « terroristes ».
Le FBI a également ciblé des personnes vulnérables, dont certaines souffraient de problèmes mentaux et intellectuels. Le rapport souligne également le cas de Rezwan Ferdaus, qui a été condamné à 17 ans de prison pour sa tentative d'attaquer le Pentagone et le Congrès avec des mini-drones bourrés d'explosifs.
Un agent du FBI avait indiqué que Ferdaus avait « de toute évidence » des problèmes mentaux. L'opération avait été entièrement conçue avec l'agent d'infiltration." 
Et, oui, les services américains sont aussi es VRP des multinationales américaines comme le sont les ambassades américaines.
Et, le résultat est :

(source : l'Observatoire des multinationales)






PRIX PINOCCHIO 2014

Gaz de schiste : Shell veut fracturer la planète

 PAR OLIVIER PETITJEAN

De l’Argentine à l’Ukraine, de l’Australie à l’Afrique du Sud en passant par les États-Unis, la Chine ou la Tunisie, Shell - première entreprise pétrolière mondiale - est en train d’accumuler les concessions de gaz de schiste, dans des conditions souvent controversées du point de vue social et environnemental. Cet activisme contraste avec le profil bas adopté par Shell dans son propre pays, dont la population est résolument opposée à la fracturation hydraulique. Hypocrisie qui lui vaut cette année une nomination aux Prix Pinocchio, organisés par les Amis de la terre pour dénoncer les doubles discours des multinationales.
Du gaz de schiste, Shell en veut, et en veut beaucoup. La multinationale pétrolière a mis les moyens pour accumuler d’énormes concessions un peu partout dans le monde. Dans un bref rapportintitulé « Shell : méga-fractureur global », l’organisation anglaise Platform énumérait les investissements de Shell dans le secteur des gaz et pétrole de schiste aux quatre coins du monde : en Amérique du Nord bien sûr, mais aussi en Chine, Argentine, Afrique du Sud, Turquie, Égypte, Tunisie, Algérie, Australie, Ukraine et Russie… « Shell procède à des forages par fracturation hydraulique ou se prépare à le faire dans tous les continents, résume Platform. Ses activités de prospection et d’exploration se sont accompagnées d’une vaste campagne de relations publiques pour atténuer les controverses. »
Les controverses, l’entreprise anglo-néerlandaise, premier groupe pétrolier mondial en chiffre d’affaires [1], y est habituée. Elle a été l’une des premières multinationales à faire l’objet de poursuites internationales pour les violations des droits humains et les destructions environnementales occasionnées par ses activités au Nigeria [2]. Shell est également particulièrement active dans le secteur des sables bitumineux canadiens (lire notre article) et, plus récemment, ce sont ses projets de forages offshore dans l’océan Arctique qui ont suscité l’ire des écologistes. Greenpeace vient de mener avec succès une campagne de grande envergure pour forcer l’entreprise de jouet Lego à abandonner un accord de sponsoring avec Shell en place depuis des décennies.

Double standard

Dans ces conditions, Shell n’a peut-être pas grand-chose à perdre à investir à grande échelle dans le gaz de schiste sur tous les continents, malgré le caractère sulfureux de de cette technologie et sa fâcheuse tendance à susciter l’opposition résolue des populations affectées. L’entreprise fait partie de ces majors européennes, comme Total, qui ont le sentiment d’avoir « manqué » le boom du gaz de schiste américain. Elles y ont investi trop tard, au moment où la bulle se dégonflait, et y ont perdu beaucoup d’argent [3]. Elle ne s’en montre que plus empressée à chercher le « prochain eldorado » du gaz de schiste (pour l’instant totalement illusoire) partout où il pourrait se trouver. Quitte à s’arranger avec les gouvernants pour assurer ses positions, et à repousser à plus tard la prise en compte des risques environnementaux.
Cet activisme tous azimuts à l’étranger contraste avec le profil bas adopté par Shell dans sa patrie d’origine, les Pays-Bas. Une forte mobilisation populaire a permis d’y obtenir un moratoire de fait sur la fracturation hydraulique. Avant de prendre une décision sur un développement éventuel des gaz de schiste dans le pays, le gouvernement néerlandais attend les conclusions d’une grande étude scientifique officielle mandatée sur le sujet. Initialement prévue fin 2014, leur publication vient d’être repoussée à fin 2016... Pendant ce temps, 221 collectivités locales, selon le compte le plus récent, ont officiellement interdit la fracturation hydraulique sur leur territoire. Et selon les derniers sondages, seulement 6% de la population néerlandaise est favorable à l’utilisation de cette technologie aux Pays-Bas !
Il est vrai que Shell n’a jamais sérieusement envisagé chercher du gaz de schiste dans le pays ; la seule entreprise à avoir sollicité des licences pour procéder à des fracturations hydrauliques aux Pays-Bas est une junior, Cuadrilla, également active dans le gaz de schiste outre-Manche (lire notre article). Il en va de même dans l’autre pays où Shell a un siège social, le Royaume-Uni : au contraire de Total, qui a investi (de manière certes très symbolique) dans le gaz de schiste britannique, Shell se tient ostensiblement à l’écart [4]. En coulisses, cependant, selon Ike Teuling des Amis de la terre, Shell s’active pour éviter que les Pays-Bas n’interdisent officiellement la fracturation hydraulique, par crainte que cela ne l’empêche à continuer à s’étendre ailleurs. L’entreprise organise par exemple cette semaine une visite de parlementaires néerlandais sur ses sites de forage aux États-Unis, pour en démontrer la « sûreté » et l’absence de risques environnementaux. Vis-à-vis des journalistes, en revanche, c’est le silence le plus total : Shell refuse quasi systématiquement de répondre à leurs questions à ce sujet.
Le seul pays d’Europe où Shell ait développé pour l’instant des opérations de forage de gaz non conventionnel est l’Ukraine [5]. Les Amis de la terre Pays-Bas se sont rendus sur place fin 2013 et y ont constaté que Shell était loin d’y respecter les exigences environnementales les plus basiques, en totale contradiction avec ses assurances répétées au public et aux dirigeants politiques européens. Ils y ont en effet découvert des bassins ouverts où étaient stockées à l’air libre les eaux usées – extrêmement polluées – issues de la fracturation hydraulique (la vidéo ci-dessous - en langue néerlandaise - inclut plusieurs images de ces bassins). Celles-ci n’étaient séparées du sol que par une bâche en plastique.























Les substances toxiques contenues dans ces eaux usées présentent des dangers pour l’environnement et la santé humaine, à la fois en raison des risques de fuites vers les nappes phréatiques et lors de leur évaporation. L’évaporation à l’air libre des eaux usées issues de la fracturation libère également de grandes quantités de méthane, un gaz à effet de serre très puissant. Pour les Amis de la terre, de telles pratiques sont révélatrices du « double standard » appliqué par Shell : « Shell préfère chercher du gaz de schiste dans les pays où les régulations et leur application ne sont pas aussi strictes qu’aux Pays-Bas. Il est inacceptable qu’une entreprise néerlandaise comme Shell – qui n’oserait jamais s’investir dans le gaz de schiste dans son propre pays – puisse utiliser ces techniques nocives et dangereuses dans d’autres pays [6]. »

Passage en force

L’accord d’exploitation de Shell en Ukraine avait été conclu avec le président Viktor Yanukovych, chassé par la rue fin 2013, et notoirement corrompu. La multinationale néerlandaise est associée, pour ce contrat, à une firme ukrainienne appelée Nadra Yuzivska, propriété à 90% de l’État ukrainien et à 10% d’une société boîte aux lettres apparement liée au clan Yanukovych. L’arrangement ne plaît évidemment pas beaucoup au nouveau régime ukrainien. Shell a d’ailleurs dû cesser toutes ses opérations en Ukraine en juin, la zone de forage étant située dans l’Est du pays, à l’endroit même où se déroulent actuellement les affrontements entre l’armée ukrainienne et les séparatistes [7].
En Ukraine comme ailleurs, la perspective de l’exploitation des gaz de schiste suscite l’opposition des populations directement affectées. De nombreuses municipalités y ont interdit la fracturations hydraulique sur leur territoire. Mais, selon les Amis de la terre, il n’y avait jamais eu de véritable consultation publique. Shell a ses propres moyens de contourner l’opposition populaire, que ce soit en soignant ses relations avec les dirigeants politiques ou en lançant des campagnes agressives de relations publiques pour promouvoir le gaz de schiste et ses bienfaits économiques supposés.
En Algérie et en Tunisie, les gouvernements ont ainsi choisi de favoriser le développement des gaz de schiste sans véritable débat parlementaire ou public, malgré les réticences des scientifiques et de la population. Dans les deux pays, Shell est aux premiers rangs pour obtenir des licences [8]« Il y a des différences importantes dans la manière dont Shell opère selon les pays, explique Ike Teuling. En Afrique du Sud, l’entreprise a lancée une énorme campagne de relations publiques dans les médias. » Les efforts de propagande de Shell en Afrique du Sud sont allés tellement loin que l’entreprise néerlandaise s’est faite sanctionner par l’autorité de régulation de la publicité, pour son marketing « trompeur » ! « En Argentine par contre, le site web de Shell ne mentionne même pas ses forages de gaz de schiste. »

Quand Shell instrumentalise les conflits raciaux

Dans ce dernier pays, c’est la province de Neuquén, en Patagonie, qui abrite du gaz de schiste. Les concessions y sont octroyées aux multinationales pétrolières par le biais d’une entreprise provinciale créée pour l’occasion, appelée Gas y Petroleo de Neuquén. Une entreprise qui ne publie pas ses comptes et dont la gouvernance est tout sauf transparente, et qui crée en outre une situation de conflit d’intérêt, puisque la province se retrouve en position à la fois de régulateur et de bénéficiaire potentiel du gaz de schiste. Tout comme Total (à laquelle elle est d’ailleurs associée sur certaines concessions), Shell met à profit les lacunes juridiques ou les conflits entre administrations pour forer des puits non conventionnels dans des zones naturelles protégées (lire notre article). Les habitants traditionnels des concessions de Shell ne disposant pas de titres formels sur la terre, l’entreprise fait comme s’ils n’existaient pas.
En Afrique du Sud, Shell va plus loin encore puisqu’elle semble attiser délibérément les tensions raciales dans la région du Karoo, où elle détient une concession sur une zone de près de 90 000 kilomètres carré. Le Karoo abrite en effet de grandes exploitations d’élevage extensif, dont les propriétaires blancs ont été les premiers à se mobiliser contre les projets d’exploitation d’hydrocarbures non conventionnels. Shell n’a pas hésité à embaucher certains employés noirs de ces exploitations pour qu’ils aillent porter la bonne parole du gaz de schiste dans leurs communautés, en présentant la fracturation hydraulique comme une grande cause « noire ». L’efficacité de cette tactique reste limitée, dans la mesure où les organisations sociales noires militant pour la réforme agraire dans le Karoo, les évêques locaux et les indigènes Khoi et San, entre autres, se sont tous prononcés contre le gaz de schiste. Mais le gouvernement sud-africain, lui, y est largement favorable. Il faut dire que Shell a fait préparer un rapport promettant la création de 700 000 emplois si on l’autorisait à forer. L’entreprise néerlandaise n’attend plus que la promulgation officielle de régulations spécifiques à l’extraction de gaz de schiste pour se lancer.

L’eau, objet de toutes les inquiétudes

La plupart des régions où Shell cherche du gaz de schiste ont un point commun : elles manquent d’eau. Le Karoo en Afrique du Sud, la province de Neuquén en Patagonie argentine, l’Australie, l’Algérie et la Tunisie sont des régions sèches, dont les faibles ressources en eau sont vitales pour assurer l’approvisionnement en eau potable de la population et les activités agricoles existantes. Or la fracturation hydraulique requiert d’énormes quantités d’eau : plusieurs millions de litres par opération de forage. De quoi se poser des questions sur la manière dont Shell et ses consœurs pourront parvenir à y développer le gaz de schiste à grande échelle. Elles entretiennent sur la question un flou artistique, tout en assurant haut et fort qu’elles n’utiliseront jamais de sources d’eau servant à l’approvisionnement en eau potable ou à l’irrigation.
Pourtant, en Argentine, les études d’impact environnemental de Shell et Total omettent délibérément de préciser – comme c’est théoriquement requis – d’où provient leur eau et comment elles vont la traiter. De sorte qu’elles peuvent s’exonérer, par un simple « oubli », d’appliquer réellement les régulations apparemment strictes mises en place par la province de Neuquén, qui interdisent d’utiliser de l’eau issue de nappes phréatiques potables pour la fracturation [9]. Or Shell détient deux concessions importantes à proximité des lacs Mari Menuco et Lors Barreales, principales sources d’approvisionnement en eau potable de la zone, et à proximité d’une riche région horticole et vinicole alimentée par les eaux de la rivière Neuquén. Pire encore, les Amis de la terre signalent le cas d’une famille habitant dans une concession de Shell sans connexion au réseau d’eau potable, et à laquelle l’entreprise a néanmoins formellement interdit d’utiliser le réservoir d’eau douce qu’elle avait fait installer à proximité de chez eux...
La situation en Afrique du Sud est encore plus incertaine. La Karoo est situé juste au Sud du Kalahari... Non seulement les ressources en eau y sont extrêmement rares, mais, contrairement à la province de Neuquén où est déjà exploité du gaz conventionnel, l’Afrique du Sud est dépourvue de toutes les infrastructures nécessaires pour développer le gaz de schiste : ni moyens d’accès, ni gazoducs, ni installations d’export ou de liquéfaction. Même les résidences sud-africaines n’ont pas d’arrivée de gaz ! Interpellée sur le problème de l’eau, Shell se contente de vagues déclarations sur la possibilité d’utiliser de l’eau de mer dessalée, ce qui semble totalement irréaliste pour une simple raison de coût. Avec toutes ces dépenses supplémentaires, l’exploitation du gaz de schiste du Karoo pourra-t-elle jamais être économiquement viable [10] ? « C’est typique de la manière dont Shell aborde le gaz de schiste, souligne Ike Teuling. C’est comme une loterie. Ils estiment que si jamais ils trouvent des milliards de mètres cube de gaz exploitables, avec une concession de plusieurs milliers de kilomètres carrés comme au Karoo, alors ils auront les moyens de trouver des réponses aux autres questions. »
Pour toutes ces raisons, les Amis de la terre ont décidé de nominer Shell aux prix Pinocchio 2014, dans la catégorie « Une pour tous, tout pour moi ! », visant « l’entreprise ayant mené la politique la plus agressive en terme d’appropriation, de surexploitation ou de destruction des ressources naturelles ». Les votes sont ouverts jusqu’au 17 novembre sur le site des Prix Pinocchio.
Olivier Petitjean
Cet article est publié simultanément par Basta ! et l’Observatoire des multinationales dans le cadre de leur partenariat avec les Amis de la terre sur les Prix Pinocchio.

Photo : CC Sibylle Rüstig

D'ailleurs, la finance les banques américaines ont déjà piqué l'argent de vos assurance-vie. Comme, les banques constituant la FED ont piqué la réserve d'or des américains, des allemands et maintenant de l'Ukraine.

(source : Fortune)



Assurance-vie : Le conseil d’une ex-directrice de Goldman Sachs


Selon Natacha Valla, ancienne directrice exécutive chez Goldman Sachs de 2008 à 2013, l’argent placé sur les contrats d’assurance-vie est depuis longtemps évaporé et il faudra donc prendre les pertes, d’une manière ou d’une autre. 
Natacha Valla a été Directrice Exécutive chez Goldman Sachs de 2008 à 2013, après avoir été économiste à la BCE, puis à la Banque France. Elle a également été consultante pour le FMI et l’OCDE. Parallèlement elle a enseigné à HEC, l’IEP et l’université de Paris Dauphine. Elle a reçu le prix 2000 de la Society for Computational Economics.

Et, voilà, ce que donne un accord de libre échange.

(source : Observatoire des multinationales)


URANIUM

Areva menace de poursuivre l’Australie, qui l’empêche d’ouvrir une mine dans un parc national

 PAR OLIVIER PETITJEAN

Selon la presse australienne, le géant du nucléaire Areva - une entreprise propriété de l’État français - s’apprêterait à poursuivre en justice l’Australie. Motif ? Le groupe français souhaitait ouvrir une mine d’uranium dans le périmètre du Parc national de Kakadu, à l’extrémité Nord du pays. Après bien des controverses et des tergiversations, le Sénat australien a décidé en début d’année de réintégrer le gisement - acquis par Areva en 1995 - dans le Parc national, empêchant de fait toute exploitation minière.
Areva envisagerait de poursuivre le gouvernement australien devant la justice fédérale du pays, plutôt qu’auprès d’une juridiction internationale. Selon le Sydney Morning Herald, elle cherche « au minimum à recouvrir les coûts encourus sur le projet Koongarra, acquis en 1995, mais pourrait aussi exiger une compensation pour ses profits non réalisés, exposant le gouvernement à payer plusieurs centaines de millions de dollars ».
Avant cette nouvelle péripétie, le projet de mine de Koongarra avait défrayé la chronique en raison de l’opposition emblématique des aborigènes de la région aux velléités d’Areva. Une grande partie des terres étaient détenues par un propriétaire aborigène, Jeffrey Lee, auquel l’entreprise française aurait offert des millions de dollars. Mais celui-ci a refusé : « Le fait que les Blancs m’offrent ceci ou cela ne m’intéresse pas. » Au contraire, il a offert ses terres au gouvernement australien, à la condition qu’elles soient intégrées dans le Parc national classé par l’UNESCO, ce qui fut fait en 2011, malgré une campagne de lobbying d’Areva. (Sur toute cette affaire, voir ici.)
L’entreprise n’a pas souhaité répondre à nos questions. Elle a déclaré à la presse australienne que « dès lors que ce projet faisait partie des investissements commerciaux d’Areva en Australie, nous sommes en train d’étudier les options disponibles suite à cette mesure, en conformité avec les pratiques commerciales normales ».
Le Parc national de Kakadu, d’une superficie équivalente à la moitié de la Suisse, abrite déjà une autre mine d’uranium, Ranger, exploitée par Rio Tinto, et elle aussi contestée par les aborigènes et les écologistes [1].
Areva détient une cinquantaine de licenses d’exploration en Australie (où elle se heurte également à la résistance des aborigènes), mais le gisement de Koongarra était l’un des plus prometteurs [2].
Pour le moment, le groupe français n’exploite des mines qu’en Afrique (Niger-Gabon), au Canada et au Kazakhstan, mais il souhaite diversifier ses sources d’approvisionnement, notamment au regard de lalaborieuse renégociation de ses contrats au Niger et des investissements perdus à l’occasion de l’affaire Uramin. La Mongolieet l’Australie constituent ses principales cibles.
Olivier Petitjean

Photo : Glenn Campbell, mine Ranger.


[1Rio Tinto détient une autre concession dans le périmètre du Parc national, Jabiluka, dont l’exploitation est en suspens depuis des années. On rappellera qu’Anne Lauvergeon, ancienne PDG d’Areva, siège depuis cette année au Conseil d’administration de Rio Tinto.
[2Quelques jours plus tard, Areva annonçait d’ailleurs un accord avec la firme Toro Energy pour prospecter de l’uranium, toujours dans le Territoire du Nord australien.

Et, voilà pourquoi, la FED, Wall Street, les multinationales et les services américains foutent la merde partout dans le monde et veulent aborder la Russie pour la piller comme les pirates, juste pour retarder le moment de l'implosion du système financier américain (comprenez le système de la Fed et des banques qui réduisent les citoyens américains à la misère).

(source : Express.be)

'La Fed continuera à imprimer de l'argent jusqu'à ce qu'Hillary Clinton soit élue'


















































Et, pour finir, allez faire du tourisme en Chine avant que la CIA américaine ne provoque un clash !

(source : Le Quotidien du Peuple)

Chine : les "gîtes à la ferme" attirent 900 millions de touristes en 2013

( Source: Xinhua )

20.10.2014 09h24

Les "gîtes à la ferme", une forme émergente d'agritourisme appelée en Chine Nongjiale, ont attiré 900 millions de touristes en 2013, selon les chiffres publiés par le ministère de l'Agriculture.
Les 1,5 million de '"gîtes à la ferme" ont rapporté 29 millions de yuans (environ 4,7 millions de dollars) de revenus aux habitants ruraux, selon la même source.
Les "gîtes à la ferme", qui offrent de la nourriture et un hébergement de style rural, sont devenus très populaires chez les citadins qui souhaitent s'évader de l'agitation de la ville.
Les villages ayant des cultures folkloriques intéressantes, les parcs agricoles et les fermes de loisirs sont d'autres formes populaires d'agritourisme.


Bien le bonjour chez vous.
René.


Aucun commentaire: