lundi 13 octobre 2014

(blog à finir et à corriger)

Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, cela sert à cela les multitudes de fondations et d'associations d'aides diverses américaines, à diriger, à mobiliser, à manipuler des mouvements afin de les téléguider contre leur propre gouvernement. Dissimulés sous le titre "humanitaire" comme celle de Soros, elles sont "TOUTES" à objectifs politiques induits.
Leur titre "humanitaire" leur permet une pénétration en profondeur dans le pays, après, débute l'action psychologique.
Cela me fait rire quand bill gates promeut en Afrique les semences ogm dont des terres pauvres avec nécessité de moultes engrais chimiques et pesticides, mais, il ne le dit pas au détriment des semences traditionnelles et annonçant d'ailleurs leur disparition. Mais, il ne dit pas posséder plus de 500.000 actions de mosanto.
Par contre, il vient sauver l'Afrique en détruisant dix fois plus vite encore des terres pauvres.
Les myriades d'association d'aides au développement, à la santé américaines sont sujettes à caution, mais, quel gouvernement refuserait une aide alors que sa population est en grande difficulté.
Personne, mais, cela s'arrêtera quand le dollars ne vaudra plus un clou, ce qui entre-nous sera la chance d'un nouveau redémarrage pour le peuple américain pour une république à nouveau l'expression du peuple et non pas de la finance et des multinationales.

(source : The vineyard of the saker)


Photo Tony CartalucciLES ÉTATS-UNIS ADMETTENT AVOIR FINANCÉ LES MANIFESTATIONS ÉTUDIANTES À HONG KONG



 Au même titre que les États-Unis avaient admis (peu de temps après que le chaos du printemps arabe avait commencé à se propager au Moyen-Orient) qu’ils avaient, plusieurs années à l’avance, entièrement financé, entraîné et équipé les deux meneurs du mouvement [1], ainsi que lourdement armé les terroristes, il est maintenant admis que le Département d’État américain est derrière les manifestations de Hong Kong Occupy Central [2], à travers une myriade d’organisations et d’ONG.


Jihad : John Mccain est notre héros
Jihad : John Mccain est notre héros

Ainsi le Washington Post révèle, dans un article intitulé Hong Kong en feu, même si la Chine resserre les vis sur la société civile [3], que :
« Échaudées par plusieurs autres manifestations pendant l’année, les autorités chinoises avaient progressivement durci les contrôles sur les organisations civiques agissant sur le continent et qui étaient soupçonnées d’être le bras de puissances étrangères.
Selon les experts, ces contrôles visent à protéger la Chine d’idées Occidentales subversives telles que la démocratie et la liberté d’expression, ainsi que plus précisément de l’influence de groupuscules américains qui tentent peut-être de promouvoir ces valeurs en Chine. De tels contrôles existaient depuis longtemps, mais ils ont été renforcés sous le président Xi Jinping, en particulier après le renversement du président ukrainien Viktor Ianoukovitch après les manifestations qui avaient duré des mois à Kiev et qui avaient été perçues en Chine comme explicitement soutenues par l’Occident. »
Le Washington Post rapporte également que :
« Sous couvert d’anonymat, un expert en politique étrangère a déclaré que M. Poutine avait appelé Xi pour partager son inquiétude au sujet du rôle joué par l’Occident en Ukraine. Selon des membres de la société civile, ces préoccupations semblent avoir filtré, et faire désormais partie des conversations tenues autour d’une tasse de thé dans toute la Chine :
« Ils sont très préoccupés par ces ‘Révolutions de Couleur’, ils sont très préoccupés par ce qui se passe en Ukraine », déclarait le directeur d’une ONG internationale, dont l’organisation est en partie financé par la Fondation nationale pour la démocratie (National Endowment for Democracy, alias NED), organisation à laquelle on reproche ici d’avoir soutenu les manifestations de la place Maidan à Kiev. « Ils nous disent:« Votre argent provient des mêmes personnes. Il est clair que vous voulez renverser la Chine ». »
La Fondation nationale pour la démocratie, organisation financée par le Congrès américain dans le but explicite de promouvoir la démocratie à l’étranger, a longtemps été considérée avec méfiance ou hostilité par les autorités locales. Mais, aujourd’hui, le faisceau de suspicion s’est élargi pour englober des organisations américaines comme la Fondation Fordl’International Republican Institute, le Carter Center et la Asia Foundation.
Bien entendu, la NED et ses nombreuses filiales, dont l’International Republican Institute ou le National Democratic Institute, ne s’occupent pas tant de promotion de la démocratie [4] que d’activités qui visent à construire le réseau mondial d’une administration néo-impériale [5] qu’on nommera la société civile. Laquellesociété civile est noyautée par ce que d’aucuns appellent les institutions internationales, qui elles-mêmes sont à leur tour complètement contrôlées par les intérêts situés à Washington, à Wall Street, Londres et Bruxelles.

Même si le Washington Post aimerait que ses lecteurs pensent que le business de la Fondation nationale pour la démocratie est la promotion de la liberté d'expression et de la démocratie, il reste que les intérêts financiers représentés au conseil d'administration de la NED sont loin d'être les champions de ces principes, et sont même plutôt connus pour des principes précisément opposés.
Même si le Washington Post aimerait que ses lecteurs pensent que le business de la Fondation nationale pour la démocratie est la promotion de la liberté d’expression et de la démocratie, il reste que les intérêts financiers représentés au conseil d’administration de la NED sont loin d’être les champions de ces principes, et sont même plutôt connus pour des principes précisément opposés.

Le simple concept que les États-Unis sont en train d’œuvrer à la promotion de la démocratie peut sembler scandaleux, si l’on considère que les États-Unis sont impliqués dans un scandale mondial de surveillance, d’invasion dans la vie privée ; coupables de persécutions sur la planète entière (guerre après guerre et chacune plus impopulaire que l’autre) contre la volonté même de leur propre peuple, et en utilisant des mensonges avérés ; coupables de brutalités et de violences sur leurs propres citoyens, jusque dans leur propre foyer, par exemple à Ferguson dans le Missouri. En comparaison, les actions de la police chinoise contre les manifestants font pâle figure. Promouvoir la démocratie, c’est une façon de tout simplement cacher un programme d’expansion hégémonique, bien au-delà de ses propres frontières, au détriment des nations souveraines qui sont les cibles de ce programme, y compris au détriment des Américains eux-mêmes.
En 2011, dans un article intitulé Des groupuscules américains ont contribué à faire grandir les soulèvements arabes[6], le New York Times avait porté à l’attention du public des révélations similaires, quand il avait couvert l’ingérence des États-Unis dans ce qui a été appelé le printemps arabe. Le New York Times avait alors révélé que :
« Un certain nombre de groupes et d’individus directement impliqués dans les révoltes et les réformes qui balaient la région, y compris le « April 6 Youth Movement » [7] en Égypte, le « Bahrain Center for Human Rights » et des militants locaux comme Entsar Qadhi (un leader de la jeunesse au Yémen), ont reçu leur formation et leur financement d’organisations comme l’International Republican Institute, le National Democratic Institute etFreedom House, une organisation à but non lucratif de défense des droits de l’homme basée à Washington. »
Concernant plus précisément la Fondation nationale pour la démocratie, l’article du New York Times ajoutait alors que :
« Les mouvements républicains et démocrates sont plus ou moins affiliés aux partis républicain et démocrate américains. Ils ont été créés par le Congrès américain et sont financés par la Fondation nationale pour la démocratie. Cette organisation a été créée en 1983 pour rassembler les subventions pour promouvoir la démocratie, et distribuer ces subventions dans les pays en développement. La Fondation reçoit chaque année environ 100 millions de dollars de la part du Congrès américain. Freedom House obtient également la majeure partie de son argent du gouvernement américain, principalement du Département d’État. »

Le sénateur américain John McCain sur scène à Kiev, sous les ovations d'un public acclamant la partition (sous financement américain) de l'Europe de l'est. L'épisode de 2011 est resté célèbre, quand McCain avait raillé la Russie et la Chine en suggérant que la révolution financée par les Américains allaient les rattraper aussi. Occupy Central est l'une des nombreuses vagues qui ont frappé la Chine depuis.
Le sénateur américain John McCain sur scène à Kiev, sous les ovations d’un public acclamant la partition (sous financement américain) de l’Europe de l’est. L’épisode de 2011 est resté célèbre, quand McCain avait raillé la Russie et la Chine en suggérant que la révolution financée par les Américains allaient les rattraper aussi. Occupy Central est l’une des nombreuses vagues qui ont frappé la Chine depuis.

En 2011, lors d’un épisode célèbre, John McCain (le sénateur américain interventionniste et pro-guerre) avait raillé tout à la fois le président russe Vladimir Poutine et le prédécesseur du président Xi Jinping, suggérant que la révolution américaine qui balayait le Moyen-Orient allait être rapidement dirigée vers Moscou et Pékin.
Dans un article de 2011, intitulé Le printemps arabe : « un virus qui attaquera Moscou et Pékin » [7], le journal américain The Atlantic rapportait que :
« Il [McCain] a lancé: « Il y a un an, Ben Ali et Kadhafi n’étaient plus au pouvoir. L’année prochaine, à cet instant, Assad ne sera plus au pouvoir. Ce printemps arabe est un virus qui attaquera Moscou et Pékin » et c’est alors que McCain a quitté la scène. »
Compte tenu du financement extérieur manifeste du printemps arabe, mais aussi maintenant de Occupy central, et compte tenu du chaos, de la mort, de la déstabilisation et de l’effondrement subis par les victimes de la précédente révolution, on peut regarder Occupy central sous un jour différent : une foule de dupes utilisés pour détruire leur propre maison, et qu’on abuse avec les principes de la démocratie, derrière lesquels se cache en réalité une tyrannie insidieuse, imposée de l’extérieur par des intérêts financiers qui recouvrent la planète [8],alors qu’ils y craignent et détruisent activement toute concurrence. En particulier, cette hégémonie mondiale cherche à annihiler la réémergence de la Russie en tant que puissance mondiale, et à empêcher la montée de la Chine sur la scène mondiale.
Les dirigeants américains qui imposent [9] l’ordre du jour de Occupy central et leur exploitation éhontée des bonnes intentions de nombreux jeunes pris au piège par leurs combines, constituent une menace en réalité toute aussi dangereuse que la menace qu’ils prétendent que Pékin pose à l’île de Hong Kong et à ses habitants.
Espérons que le peuple de Chine et les nombreuses observateurs à travers le monde de Occupy centralcomprendront la partie d’échecs qui est jouée par ces forces extérieures, et contribueront à arrêter lesdites forces extérieures, avant qu’elles n’exigent le lourd tribut qu’elles ont obtenu des pays qui ont été auparavant leurs victimes, tels la Libye, la Syrie, l’Ukraine, l’Égypte, et bien d’autres.
Tony Cartalucci
Traduit par Alex pour vineyardsaker.fr
Source :  US Now Admits it is Funding “Occupy Central” in Hong Kong (landdestroyer.blogspot.ca, anglais, 01-10-2014)
Notes
[2] Hong Kong’s “Occupy Central” is US-backed Sedition (journal-neo.org, anglais, 01-10-2014)
[3] Hong Kong erupts even as China tightens screws on civil society (washingtonpost.com, anglais, 30-09-2014)
[4] NED & Freedom House are run by Warmongering Imperialists (landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 15-05-2013)
[5] mpire’s Double Edged Sword: Global Military + NGOs  (landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 18-02-2012)
[6] U.S. Groups Helped Nurture Arab Uprisings (nytimes.com, anglais, 14-04-2011)
[7] The Arab Spring: ‘A Virus That Will Attack Moscow and Beijing’ (theatlantic.com, anglais, 19-11-2011)
[8] Naming Names: Your Real Government – When dark deeds unfold, point the finger in this direction (landdestroyer.blogspot.fr, anglais)
[9] US Openly Approves Hong Kong Chaos it Created (landdestroyer.blogspot.fr, anglais, 30-09-2014)

Bon, mais, cela tout le monde le sait, et, en plus, on vous traite de complôtiste.
Ah, encore un terme qui sert à couvrir tous les crimes de la finance et des multinationales, notamment contre les citoyens américains.
Ah, mais, oui, c'est vrai, comment les citoyens pourraient-ils être opprimés puisque les Etats-Unis sont le pays de la liberté ?
C'est contradictoire, n'est-ce pas mes chers lecteurs ?
Sauf, que derrière cette soi-disante liberté se cache une opp
ression qui jette des millions d'américains à la rue au nom de Profit de quelques familles, pas des centaines, qui dominent l'économie et dirigent l'état américain.
Pas plus, pas moins que la Russie, la Chine, l'Inde. Finalement, un sale pays contrôlés par des oligarques qui n'ont en rien à foutre du peuple.
Qui désirent seulement maladivement la "DOMINATION".
Et, en ce qui concerne les Etats-Unis ont réussit à faire croire aux pauvres et à ceux qui le sont devenus grâce à eux que si, ils sont pauvres, c'est de leur unique faute.
Et, c'est pour ça qu'ils ferment leur "gueule" vautrer qu'ils sont dans leur culpabilité.
Mais, passons, parce que ça, c'est l'histoire de la nouvelle dictature et ce qui est risible, c'est que les américains sont pas au courant parce que des nids douillets comme la silicon valley leur font croire que le rêve américain est toujours réel.
Mais, passons plutôt à une belle nouvelle, en tout cas, on l'espère.

(source : Contrepoints)

Fusion froide : le chat (E-Cat) est enfin sorti de sa boîte

Publié le  dans Sciences
Par Jean-Pierre Cousty
Il y a plus d’une vingtaine d’années, déjà, la science découvrait une nouvelle forme d’énergie révolutionnaire, laquelle reste encore largement inexpliquée dans sa théorie. D’abord révélée par deux scientifiques de renom, MM. Pons et Fleischmann en 1989, la fusion froide, ou LENR (Low Energy Nuclear Reaction ou réactions nucléaires à basse énergie), cette découverte a rapidement été mise à l’écart par la physique nucléaire conventionnelle et officiellement oubliée.
Pas par tout le monde car il y a 4 ans, un ingénieur italien, Andrea Rossi, réussissait à mettre au point un appareil, empiriquement (il dit avoir essayé des centaines de combinaisons), avec l’aide du Prof. Focardi. Cet appareil baptisé, E-cat, pour « energy catalyzer » ne cesse d’émerveiller ceux qui l’ont vu fonctionner. Il s’agit d’un petit tube contenant une poudre mystérieuse, principalement du nickel en présence d’hydrogène, laquelle, échauffée au démarrage par une résistance, délivre une chaleur pouvant atteindre 1400°C et cela pendant plusieurs mois avec un très bon rendement (COP1).
Depuis, bien sûr, il y a eu de nombreux détracteurs avec des épisodes très virulents2 car la fusion froide ne rentre pas dans la bonne orthodoxie de la physique nucléaire classique. Comment peut-on imaginer la fusion froide alors que la science officielle ne considère la fusion des atomes d’hydrogène qu’à des températures extrêmement élevées, identiques à la température de surface du soleil, de l’ordre de plusieurs millions de degrés. Voir l’étude en cours avec la construction pharaonique du fameux Tokamak, d’ITER, de Cadarache.
Malgré l’enjeu considérable de la découverte ainsi que les congrès annuels répétés, dans plusieurs pays du monde, dont les États-Unis, la Corée, et bien d’autres, les médias traditionnels sont restés discrets et ont passé sous silence toutes les péripéties d’essais, de contre-essais, pendant presque quatre ans3.
Mais aujourd’hui, et pour la première fois, des essais ont été effectués par une équipe de scientifiques d’universités (italienne et suédoise) totalement indépendante et soumise au strict protocole des comités de lecture. Les essais ont commencé en mars 2014 et le rapport final vient juste de « fuiter », le 8 oct. 2014, sur le net, avec semble-t-il, l’approbation de l’ingénieur A. Rossi. Ce rapport devrait permettre à l’ingénieur Rossi de sortir de l’ombre pour marquer sa victoire totale sur ses nombreux détracteurs. Le but, pourtant, n’étant pas de faire taire les critiques mais d’apporter au monde la certitude d’une découverte extrêmement importante.
Vue de l’E-Cat (452 g – diam. 2cm – long. 20cm).
Vue de l’E-Cat (452 g – diam. 2cm – long. 20cm).
laboratoire d’essais à Barbengo
Vue du laboratoire d’essais à Barbengo (Lugano) en Suisse.

Voici quelques extraits du préambule du rapport :
« … Le réacteur nommé e-cat contient une petite charge d’hydrogène, de la poudre de nickel avec en plus quelques additifs, principalement du lithium. La réaction est amorcée par la chaleur de résistances autour du tube du réacteur. Les mesures de la puissance émise du réacteur ont été exécutées avec une image thermique à haute résolution. […] Les données ont été rassemblées pendant 32 jours de suite en mars 2014. Le réacteur a été mis à environ 1260 ºC dans la première moitié du test et à environ 1400 °C dans la deuxième moitié. Le bilan énergétique mesuré a apporté un COP* d’environ 3.2 et 3.6 pour respectivement les 1260 ºC et 1400 ºC des essais. L’énergie nette totale obtenue pendant les 32 jours exécutés était environ 1,5 MWh. Cette quantité d’énergie est beaucoup plus grande que celle qui pourrait être obtenue de n’importe quelle source chimique connue dans le petit volume du réacteur… La composition d’isotope dans le lithium et le nickel a changé considérablement après les tests… Aucune radioactivité n’a été détectée à l’extérieur du réacteur pendant l’essai. »
Les auteurs poursuivent : « Même dans les scénarios les plus conservateurs, nous avons des valeurs qui nous permettent de conclure que le réacteur étudié ici ne peut être considéré comme une source conventionnelle d’énergie. »
Ces spécialistes insistent pour dire que les performances n’ont pas été poussées à l’extrême, ce n’était pas l’enjeu, et que les 32 jours d’essais ne constituent pas une indication de durée maximale d’utilisation. Rossi a par ailleurs indiqué avoir fait des essais sur des durées de six mois en continu, avoir fait fonctionner son appareil en auto-alimentation et avoir obtenu des C.O.P supérieurs avec d’autres paramètres. Le rapport donne cependant beaucoup d’informations de tous ordres, même sur la composition de la poudre contenue dans le tube. Il s’agit d’une poudre très fine de nickel, avec du lithium, du fer, de l’aluminium et de la poudre donnant de l’hydrogène comme catalyseur, avec de l’oxygène et du carbone. Ce n’est pas avec ce type d’indications qu’il devrait être possible de copier le procédé de l’ingénieur Rossi.
Les auteurs concluent : « En résumé, la performance du réacteur E-cat est remarquable. Nous avons un dispositif d’énergie thermique généreux, compatible avec des transformations nucléaires, mais il fonctionne à basse énergie et ne donne ni déchets radioactifs nucléaires, ni n’émet de radiation. D’après la culture générale de base de la physique nucléaire ceci ne devrait pas être possible… Les résultats d’E-Cat sont trop remarquables pour ne pas donner suite. De plus, si l’E-Cat prouve ses performances dans la durée avec de nouveaux tests, l’invention E-Cat a un grand potentiel pour devenir une source d’énergie importante. »
Position E-Cat
Position de l’E-Cat (macaron rouge) par rapport aux autres énergies (Plutonium, essence, hydrogène, éoliennes, batteries lithium-ion, méthane…) D’après phys.org.

Ce que ne dit pas ce rapport c’est que le prix de revient de cette énergie nouvelle est absolument minime et que le nickel (très peu est consumé dans la réaction et il peut être recyclé) est un métal abondant sur terre.
Nous avons désormais une preuve officielle que l’avenir de l’énergie mondiale ne se fera peut-être pas dans un futur proche par des éoliennes ou du solaire mais par la mise en application de cette fusion froide même si cela prend plusieurs décennies. Plusieurs compagnies, comme Brillouin, sont déjà prêtes à commercialiser des appareils et les rêves futuristes vont bon-train puisque une entreprise suisse parle de faire tourner des voitures en continu pendant des mois avec un moteur de type Stirling. Par exemple, les problèmes de transformation d’eau de mer en eau douce auraient une solution décentrée et peu chère pour l’Afrique et les pays en voie de développement…
La vie de la fusion froide va pouvoir reprendre son cours avec la 19ème conférence annuelle (ICCF-19) qui se tiendra cette année à Padoue en Italie du 13 au 17 avril 2015 avec 500participants de prévus. Un bel hommage rendu à Andrea Rossi qui y sera, nul n’en doute, reçu en César.
Rossi
Rossi dans son unité de 1MW (crédit photo : preswiki.com)

Sur un plan plus pratique, Rossi a fait savoir qu’il commercialiserait bientôt une unité de 1MW montée dans un container standard. Il en aurait déjà vendu une à la Navy américaine et il parle d’en mettre une (en Suède peut-être) pour servir de vitrine commerciale.
En janvier 2014 Industrial Heat LLC (IH), une entreprise américaine basée à Raleigh, North Columbia, a annoncé avoir acquis « la propriété intellectuelle et les droits de licence » de l’E-Cat, Rossi en étant le directeur de recherches. Une douzaine de compagnies travaillent déjà dans le monde sur des projets concrets de fusion froide, les principales étant Defkalion et Brillouin (liste ici).
« Félicitations à Rossi et IH : Ils ont changé le monde » pouvait-on lire jeudi matin (9 oct.) sur le site spécialisé du net. Souhaitons qu’ils aient raison, le monde en a bien besoin.
On a du mal à savoir si les « verts » vont apprécier cette énergie décentralisée, sans CO2, sans rayonnement ni danger ? Certains ont déjà fait savoir qu’ils étaient contre, car cela irait dans le sens d’une fuite en avant d’une civilisation consommatrice d’énergie…
Il est évident que l’OPEP, l’EDF, AREVA etc. devront s’adapter aux nouvelles conditions d’une fusion froide qui pourrait se banaliser rapidement. Les années à venir devraient être passionnantes et porteuses d’espoirs en matière d’énergie mondiale.
  1. Le COP mesure l’efficacité énergétique. Par exemple, une pompe à chaleur avec un COP de 3,5 apporte 3,5 unités de chaleur pour chaque unité d’énergie consommée. 
  2. Le premier a avoir écrit un livre sur la fusion froide, le professeur du MIT Eugène Mallove, est décédé dans la force de l’âge, en 2004, de deux balles reçues en sortant de sa maison de campagne… 
  3. Sauf : Sciences & Vie de mars 2012. 

Et, une mauvaise nouvelle pour la France qui révèle que les députés sont d'accord pour la zone de libre échange avec les américains parce qu'ils préparent déjà le terrain alors que l'accord n'est pas signé. Merci aux députés socialistes de vendre les français au bon des multinationales et de la finance.....finalement comme aux Etats-Unis.
Et, oui, ils sont tous "POURRIS" et il n'y a que les médias français qui affirment que ce n'est pas vrai !

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