lundi 31 octobre 2022

 (Au bout de combien de millions de femmes victimes ? Il faut bien que quelqu'un paie pour ce crime, parce qu'il s'agit bien d'un crime commis contre les femmes. note de rené)


Les vaccins anti-Covid peuvent causer des troubles menstruels, admet l’agence du médicament


Publié par wikistrike.com sur 30 Octobre 2022, 09:25am

Catégories : #Santé - psychologie


Les vaccins à ARNm contre la Covid-19 peuvent provoquer des troubles menstruels, a enfin admis l’Agence européenne des médicaments (EMA) ce 28 octobre 2022. Un évènement indésirable sur lequel le collectif Où est mon cycle sonne l’alerte depuis sa création début 2022. Il en va de même pour des scientifiques en France et à l'étranger, à l'instar de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, qui abordait cette problématique dans un entretien avec FranceSoir dès le mois de décembre 2021.

Une annonce qui met à mal le journal Libération : en juillet dernier, celui-ci accusait le collectif Où est mon cycle ?, qui œuvre à faire reconnaitre la souffrance des femmes victimes des effets secondaires du vaccin anti-Covid sur leur cycle menstruel, de « covidoscepticisme ».

L’EMA reconnait l’impact du vaccin sur le cycle féminin

Ce vendredi, le comité de pharmacovigilance (PRAC) de l'Agence européenne des médicaments (EMA) a reconnu dans ses conclusions rapportées par l'Agence nationale du médicament (ANSM), que les vaccins à ARN-messager contre le Covid-19 peuvent être responsables des saignements menstruels abondants apparus chez certaines femmes post-vaccination.

Ces saignements « peuvent être considérés comme un effet indésirable potentiel des vaccins » de Pfizer et Moderna, explique-t-elle. Ces effets seront désormais ajoutés dans les résumés des caractéristiques du produit (RCP) et les notices de ces deux vaccins.

Les troubles menstruels déclarés concernent majoritairement des modifications de la durée et l'intensité des saignements associés ou non à des douleurs. Ils sont le plus souvent « non graves » et transitoires, soutient l'ANSM qui précise que chez certaines patientes, on observe toutefois une persistance possible de ces effets autour de 6 mois. Une analyse plus précise de ces cas se poursuit, a-t-elle ajouté. Sur Twitter, le Collectif Où est mon cycle a réagi aux conclusions de l'ANSM : « Nous n'avons pas la même définition du mot "grave" », a-t-il fustigé.


Pour rappel, le 19 octobre, l'EMA a donné son feu vert pour l'utilisation du vaccin anti-Covid dès l'âge de six mois.

Un lien entre troubles menstruels et vaccination anti-Covid déjà établi

Dans son rapport d'étape déposé le 9 juin 2022, l’Office parlementaire de l’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) avait déjà reconnu le lien entre les troubles menstruels et la vaccination anti-Covid, s’étonnant par ailleurs que les effets secondaires de l'injection sur le cycle féminin ne soient pas encore reconnus. Dans une tribune publiée dans FranceSoir le 15 octobre, des professionnels du droit rappelaient que les travaux complets de l’Office sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance, n’étaient toujours pas disponibles. Ils appelaient donc l’Office à la transparence et à rendre publics l’ensemble des auditions.

Le 14 septembre, l’avocate du Collectif Où est mon cycle, Me Diane Protat, a adressé le 14 septembre un courrier à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen demandant à ce que l’Agence européenne du médicament organise au niveau européen « une audition publique sur l’acceptabilité des risques que fait causer la vaccination contre le Covid-19 ». Pour en apprendre plus sur cette action judiciaire, cliquer ici.

Dès le mois de décembre 2021, Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, estimait dans un entretien chez FranceSoir qu’il fallait « arrêter cette fuite en avant avec la vaccination généralisée et les rappels réguliers » car une « bonne partie de la population » encourait le risque d’être « confrontée à ces effets secondaires latents et potentiellement irréversibles ». Soulignant « un possible effet direct ou indirect de la protéine Spike virale ou vaccinale sur le processus reproductif », Jean-Marc Sabatier signalait que « des problèmes menstruels et des fausses couches » avaient déjà été rapportés. Et d’ajouter : « À long terme, à force d'injecter ces produits, l’effet ne peut être que néfaste. Au mieux, il n'y a pas d'effet... »

« Après presque un an, mieux vaut tard que jamais », a lancé le scientifique sur Twitter.


Source F-S


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