mercredi 30 juin 2021

 (De toute façon, les vaccins comme le gardasil ne concerne que quelques papillomavirus sur une centaine. note de rené)


Le livre 8 « les Vaccins contre les Cancers : rôle des papillomavirus dans les cancers du col de l’utérus, de l’œsophage et ORL »

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par Michel de Lorgeril.

C’est le nouveau chef-d’œuvre du brillantissime docteur de Lorgeril.

Enfin des informations correctes et vérifiables sur les vaccins contre les papillomavirus supposés être des vaccins contre les cancers.

Voici la couverture :

Et aussi la dernière page dite 4ème de couverture.

Ce que ce Livre démontre – et j’attends qu’un expert intelligent vienne me dire où je me trompe – c’est que nous n’avons aucune évidence ferme que les vaccins antipapillomavirus diminuent le risque de certains cancers, notamment ceux du col de l’utérus.

En fait, l’ensemble du raisonnement est très simple : il est impossible de démontrer un effet anticancer d’un quelconque vaccin.

Il y a plusieurs raisons à cette impossibilité et je les explique dans le Livre.

J’en retiens une ici ; mais c’est peut-être la moins importante sur le plan méthodologique.

Selon les experts, pour empêcher l’implantation d’un papillomavirus cancérigène sur le col de l’utérus, il faut vacciner AVANT toute infection/exposition aux virus.

La cible de la vaccination est donc les adolescentes avant les premiers rapports sexuels. C’est un premier point.

Il faut environ 15 ans, à partir de l’infection, pour qu’un cancer se développe.

Aucun essai clinique testant un vaccin n’a duré 15 ans ; et ne peut pas durer plus que 3 ou 4 ans pour diverses raisons méthodologiques que j’explique dans le Livre.

Conclusion inéluctable : l’hypothèse anticancer ne peut pas être testée avec nos méthodes les plus sophistiquées.

Deuxième conclusion inéluctable : ceux qui prétendent que les vaccins contre les papillomavirus empêchent les cancers du col de l’utérus se trompent…

On peut expliquer ces « erreurs » de trois façons différentes non exclusives :

1) ils ne comprennent pas la médecine scientifique. Ils sont sans doute de bonne foi mais…

2) ils n’ont pas travaillé les documents accessibles et se contentent de répéter comme des perroquets. Ils sont de bonne foi mais…

3) ce sont des cyniques menteurs : ils ont tout compris mais…

Cette exposition rapide d’un premier problème avec ces vaccins contre les papillomavirus n’est qu’une ébauche. On retrouvera dans le Livre les références utiles et quelques graphiques (extraits des articles publiés par les industriels) qui ne peuvent laisser aucun doute.

Il s’agit donc d’une sorte d’escroquerie et je suis stupéfait du manque de réaction des autorités sanitaires et des universitaires (et autres experts) vis-à-vis de cette problématique vaccinale anticancer.

Mais, après une minute de réflexion en fumant un cigare cubain et en buvant un whisky écossais, il m’apparaît qu’il n’y a là rien d’étonnant : c’est exactement la même Médecine Spectaculaire et Marchande qui se déploie avec les vaccins anti-COVID.

Pourquoi les mêmes ne produiraient pas les mêmes avanies ?

Je sais que de nombreux scientifiques voient et savent ce que je vois et sait !

Question : pourquoi ne disent-ils rien ?

De quoi ont-ils peur ?


source : https://michel.delorgeril.info

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