(La même raison qui a obligé le précédent chancelier autrichien à démissionner. note de rené)
Canada : Un sondage louche financé par le gouvernement indique que les citoyens privilégient la censure
Faux récits.
La majorité des Canadiens veulent qu’internet soit censuré, selon un nouveau sondage réalisé par une agence gouvernementale.
Un rapport sur Blacklock’s Reporter affirme que le sondage de la Fondation canadienne des relations raciales réalisé en novembre a révélé que la plupart des Canadiens sont favorables à la censure d’Internet.
Le sondage n’a pas demandé aux répondants s’ils soutenaient le projet de loi sur la censure d’Internet proposé par le gouvernement. De plus, les répondants n’ont pas été informés que les soi-disant « discours haineux » et autres contenus nuisibles sont déjà illégaux dans le pays.
On leur a demandé s’ils étaient préoccupés par « la propagation des discours de haine en ligne » et par la prétendue montée en flèche de « l’extrémisme de droite et du terrorisme ». L’enquête demandait également : « Quelle est, selon vous, l’ampleur du problème des contenus et des comportements haineux et racistes en ligne au Canada ? »
Dans le rapport douteux, la fondation écrit : « La haine en ligne est un problème majeur selon une majorité de Canadiens et les gens veulent une législation pour combattre les formes sérieuses de contenu en ligne nuisible. »
Le sondage a été réalisé au début du mois de novembre, et a impliqué 2 018 répondants.
Le rapport ajoute : « Les Canadiens sont plus de deux fois plus susceptibles de dire qu’ils s’inquiètent davantage de l’impact des discours haineux et du racisme sur les personnes auxquelles ils nuisent et de l’impact sur la société en général (56 %) que de dire qu’ils s’inquiètent davantage de la capacité des gouvernements et des entreprises de médias sociaux à limiter les droits des citoyens à s’exprimer et à protéger la vie privée des utilisateurs (21 %). »
Kimberly Bennett, porte-parole de la fondation, a déclaré que le sondage n’a pas été réalisé en collaboration avec les libéraux. Selon elle, les répondants n’ont pas été informés que les contenus préjudiciables sont déjà illégaux car la fondation pose ses « questions avec un préambule limité. »
« De cette façon, nous n’influençons pas indûment les répondants. Il s’agit de mieux comprendre les opinions actuelles sur ces questions », a-t-elle expliqué.
Le gouvernement canadien prévoit de réintroduire les projets de loi sur la censure de l’internet qui sont tombés en désuétude lors de la dernière législature, y compris une proposition visant à infliger des amendes aux créateurs de contenus « préjudiciables ».
Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale
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