(Toujours aussi conne la mère harris, prête pour l'instauration de la dictature aux USA. note de rené)
Kamala Harris : « La démocratie est la plus grande menace pour la sécurité nationale »
La vice-présidente Kamala Harris a déclaré dimanche dans l’émission « Face the Nation » de CBS que « notre démocratie » est la plus grande menace pour la sécurité nationale.
TRANSCRIPTION :
MARGARET BRENNAN : Quel est, selon vous, le plus grand défi de sécurité nationale auquel sont confrontés les Etats-Unis ? Quelle est la chose qui vous inquiète et vous empêche de dormir la nuit ?
HARRIS : Franchement, l’un d’entre eux est notre démocratie. Et ça, je peux en parler parce que ce n’est pas confidentiel. C’est vraiment le cas. Il n’y a aucun doute dans l’esprit des experts en politique étrangère que l’année 2021 n’est pas l’année 2000. Vous savez, je pense qu’il y a tellement de choses sur la politique étrangère et intérieure qui, par exemple, ont été guidées et priorisées en fonction du 11 septembre 2001. Nous entrons dans une nouvelle ère où les menaces qui pèsent sur notre nation prennent de nombreuses formes, notamment la menace de voir des autocraties prendre le pouvoir et exercer une influence démesurée dans le monde. Je reviens donc à notre point de vue sur la nécessité de lutter pour l’intégrité de notre démocratie. En outre, il s’agit évidemment de ce que nous devons faire dans le cadre de la crise climatique. Nous venons de faire les réunions autour de la COP et de reconnaître – vous savez, certains riaient et disaient comment pouvez-vous dire que la crise climatique est une question de sécurité nationale ? Bien sûr qu’elle l’est. Et je peux vous expliquer en détail pourquoi. Mais ce que nous devons faire, face à toutes les menaces, c’est reconnaître que l’une de nos plus grandes forces est de renforcer nos relations avec nos alliés et partenaires dans le monde entier. Et cela a été l’une des plus grandes priorités de notre administration. Elle a été de réintégrer, par exemple, l’accord de Paris. Il s’agit de travailler avec nos alliés européens. Il s’agit de rétablir la confiance qui est nécessaire pour que nous puissions être membre d’une communauté de nations qui partagent des valeurs et des priorités. Et je pense que l’une des plus grandes menaces que nous avons vues récemment est que lorsque nous nous retirons de ces relations, nous affaiblissons notre position en tant que nation et donc, je crois, notre sécurité.
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