mardi 28 février 2023

"ON A REFUSÉ DE SOIGNER MON CANCER CAR JE NE SUIS PAS VACCINÉE !" AVEC S... (France)

 Il y a un vrai problème avec la big pharma, nous devons arrêter de nous cacher les yeux. Il est temps de bloquer nos dirigeants avec leur collaboration qui ressemble de plus en plus à de la complicité avec big pharma. N'oublions pas qu'avec l'Oms, ils nous préparent la cinquième dose.

rené 

via Mondialisation.ca

Covid-19 : Mon entretien avec France Soir et les chercheurs Vincent Pava... (France)

Ukraine. Military Summary And Analysis 2023.02.28

Covid19 : une fuite de laboratoire à Wuhan ? La réaction du professeur D... (France)

Des Géants Émergent Partout - Ils Ne Peuvent Pas Le Cacher (L'archéologie américaine devrait être honoré de la palme de l'hypocrisie. note de rené)

Putin's friend Iran dividing West? Brazil ignores US, allows Iranian war... (Il y a quelque chose qui est bizarre avec lula. Si, c'est la big pharma américaine qui l'a sauvé seule, cela veut dire qu'il n'est inféodé au gouvernement américain. note de rené)

'India our friend': Saudi Arabia seeks 'highest level' ties with New Del...

A city in crisis: How fentanyl devastated San Francisco - BBC Newsnight (USA)

Puluhan Tentara Ukraina Tertangkap Pasukan Rusia di Mariupol

Putin ready for 'peace deal' with Zelensky if Ukraine agrees to this con...

Tank Elite dan Marinir Rusia Buat Posisi Pasukan Ukraina Babak Belur di ...

Proses Evakuasi Pasukan Ukraina Digagalkan, Ruang Bawah Tanah di Bakhmut...

Professor warns Tucker of ‘very troubling patterns in society’ (USA)

"Je l'enlève avant d'utiliser le téléphone !" Edward Snowden

EU to send troops to Ukraine? NATO nation Hungary alarms Russia amid war...

Europeans staged huge anti-NATO protests prompting war in Ukraine

 (Si, c'est une préparation pour l'Ukraine, je signale qu'il y'a pas de largage de parachutistes en Ukraine, l'armée russe contrôle le ciel. note de rené)


Des centaines de "paras" largués dans le sud de la France pour un vaste exercice militaire

Auteur:
 
AFP - Castres
Publié le 26 février 2023 - 15:12
Mis à jour le 25 février 2023 - 18:11
Cet article provient directement de l'AFP (Agence France Presse)
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Des parachutistes participent à un exercice interarmées d'ampleur inédite, le 25 février 2023 à
Des parachutistes participent à un exercice interarmées d'ampleur inédite, le 25 février 2023 à Toulouse
 AFP - Charly TRIBALLEAU

Plusieurs centaines de parachutistes ont été largués samedi sur la région de Castres (Tarn), dans le cadre d'un exercice interarmées d'ampleur inédite simulant un engagement majeur et mobilisant 7 000 militaires, a constaté une équipe de l'AFP.

L'exercice Orion, qui se déroulera jusqu'au 11 mars et s'étendra sur 14 départements, simule une intervention dans un pays ("Arnland") déstabilisé par des milices, frontalier d'un État puissant orchestrant ces troubles ("Mercure").

"L'enjeu de cette 'entrée en premier' est d'offrir aux autres forces une porte d'entrée pour leur permettre de se déployer", explique le général Benoit Desmeulles, commandant de la 11ème brigade parachutiste, en soulignant l'aspect "assez inédit" de l'exercice militaire à grande échelle qui vient de démarrer.

L'opération aéroportée de samedi, menée au moyen de 6 avions de transport militaire A400M, a été précédée ces derniers jours d'opérations navales en Méditerranée, où croisent 30 bâtiments de la Marine nationale, dont le porte-avions Charles de Gaulle et deux porte-hélicoptères amphibie (PHA).

Les armées ont également prévu un débarquement amphibie sur la côte méditerranéenne au cours de cet entraînement en conditions réelles, qui a la particularité d'impliquer toutes les composantes des armées (terre, mer, air, spatial, cyber) dans l'ensemble des champs matériels et immatériels.

Des partenaires européens (Allemagne, Royaume-Uni, Belgique, Italie, Espagne) y sont associés, ainsi que les États-Unis.

L'enjeu est de durcir la préparation opérationnelle des armées françaises, qui, après deux décennies de lutte antijihadiste, doivent renouer avec des hypothèses d'engagement à grande échelle contre un adversaire à armes égales. Un scénario travaillé pendant trois ans, dont la guerre qui fait rage en Ukraine a confirmé la pertinence.

Au printemps, une deuxième séquence de l'exercice Orion prévoit la simulation d'un affrontement aéroterrestre de haute intensité contre l'Etat "Mercure", avec le déploiement de 12.000 militaires dans le nord-est de la France.

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L’UE confirme son projet d’un “portefeuille européen d’identité numérique”, un projet similaire est rejeté au Canada

Auteur(s)
France-Soir
Publié le 24 février 2023 - 11:00
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Un policier contrôle un certificat de vaccination digital
Un policier vérifie le certificat de vaccination d'un conducteur.
 Erwin Scheriau / APA / AFP

L’Union européenne (UE) fait un pas de plus vers l’identification électronique. Des eurodéputés souhaitent instaurer, pour « l'ensemble des citoyens, résidents et entreprises de l’UE » un « portefeuille européen d'identité numérique », qui leur permettrait de stocker toutes sortes d’informations, y compris médicales, sur leurs smartphones. Une démarche semblable suscite la controverse au Canada où deux États se sont formellement opposés à un projet d’identité numérique.

L’identité électronique en Europe est régie depuis 2014 par le règlement eIDAS. La Commission de l'industrie, de la recherche et de l'énergie (ITRE) du Parlement européen a proposé une réforme en juin 2021 et le Conseil a formalisé sa position commune en décembre 2022.

L’ITRE a approuvé ce projet de réforme lors d’un vote qui a eu lieu le 09 février 2023. Ses membres ont exprimé 55 voix favorables contre huit voix défavorables tandis que deux abstentions ont été annoncées par l’UE dans un communiqué.

Ce vote ne signifie pas l’entrée en vigueur des amendements, mais donne le feu vert pour les négociations interinstitutionnelles au sein de l’UE sur le projet de loi, en attendant son approbation formelle en mars en séance plénière.

Dans son communiqué, le Parlement européen rappelle que les services d’identité numérique sont actuellement proposés par des parties tierces. Le recours à ces « fournisseurs commerciaux », comme les banques ou les opérateurs privés, pour instaurer son identité numérique est « préoccupant » et « soulève des inquiétudes quant à la sécurité et la confidentialité des données ».

Les eurodéputés estiment que les solutions de ces fournisseurs tiers sont « déconnectées de l’identité physique » et leur partager ses données électroniques « compromet le contrôle de ses données personnelles et accentue les menaces de fraudes ».

« Des données sociales, financières, médicales et bien plus »

Le nouveau texte offrirait ainsi « aux utilisateurs le plein contrôle de leurs données et leur permettrait de décider quelle information partager et avec qui » le faire. Les citoyens de l’UE pourront alors « s’identifier et s’authentifier en ligne sans avoir à recourir à des fournisseurs commerciaux ». 

De quoi s’agit-il, concrètement ? Plusieurs services seront intégrés à ce portefeuille européen, qui ne se limiterait pas uniquement à stocker des informations d’identités (Nom, prénom, âge, etc...). Ce wallet« pourrait lire et vérifier des documents électroniques » grâce à des outils « essentiels pour instaurer la confiance » comme la signature électronique, l'estampille, le sceau, la carte d'identité et le certificat d'authentification web.

Le portefeuille pourrait aussi stocker d’autres documents comme le permis de conduire ou permettre d’ouvrir un compte bancaire, faire sa déclaration fiscale, s’inscrire dans une université, louer une voiture, une chambre d'hôtel ou conserver une prescription médicale.

Les députés envisagent d’obliger chaque État membre à instaurer dans les 24 mois suivant l’adoption du texte un modèle de portefeuille afin de le rendre interopérable au sein de l’Union européenne. Une telle procédure exige, comme le prévoit le projet de loi, de « demander, d’obtenir, de stocker, de combiner et d’utiliser en toute sécurité les données d’identification personnelle et les certificats électroniques » des citoyens. Ces derniers, promet-on, seraient libres de se doter ou non de ce portefeuille.

Les informations de chaque document introduit dans ce portefeuille pourraient ainsi être collectées. L’eurodéputée croate, Romana Jerković, membre du Parti social-démocrate de Croatie, le confirme en déclarant que ce wallet pourrait intégrer « des données sociales, financières, médicales, professionnelles et bien plus encore. Il permettra de stocker les informations personnelles dans un seul identifiant numérique ».

Au Canada, l’Alberta et le Saskatchewan disent non

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle deux États canadiens ont fermement rejeté un projet identique dans le cadre du Transfert canadien en matière de santé.

Le Premier ministre canadien, Justin Trudeau, avait annoncé que le gouvernement fédéral était prêt à investir 196,1 milliards de dollars dans les soins de santé au cours de la prochaine décennie, y compris 46,2 milliards de dollars en nouvelles dépenses en plus des fonds déjà prévus. En échange, les Provinces doivent s’engager à améliorer la manière avec laquelle les données sur la santé sont recueillies, partagées, utilisées et communiquées.

Le Premier ministre de l’État de Saskatchewan, Scott Moe, a été le premier à hausser le ton.

« Le gouvernement de Saskatchewan ne créera pas d’identité numérique et n’acceptera aucune exigence en relation avec le financement des soins de santé pour la création d’une identité numérique », lit-on dans un communiqué.

Scott Moe affirme que son gouvernement « ne communiquera aucun renseignement médical personnel au gouvernement fédéral », puisque, rappelle-t-il, « ces renseignements sont protégés en vertu de la Loi sur la protection des renseignements médicaux et le demeureront ». De son avis, une telle démarche revient à « abandonner et affaiblir le droit à la vie privée en matière de santé ».

C’est Danielle Smith, Première ministre de l’État de l’Alberta, qui exprime son accord avec son homologue en affirmant son intention de protéger les informations médicales privées de ses concitoyens. « Je veillerai à ce que les accords conclus avec le gouvernement fédéral ne prévoient pas le partage de ces informations personnelles avec le gouvernement fédéral ou avec une tierce partie », a-t-elle écrit sur Twitter.

Au Canada, le projet d’une identité numérique suscite des inquiétudes. « Cela commence par valider son identité pour des services gouvernementaux puis des projets se mettent à utiliser les données comme c’est le cas du Québec, où la Société de l’Alcool ou du Cannabis a recours à ces informations », a rappelé Sébastien Gambs, professeur au département d'informatique de l'UQAM, interrogé dans « Le Café show », une émission radio de Radio Canada.

Ce professeur estime que l’instauration d’une identité numérique doit faire l’objet d’un débat dans la société.

« Globalement, il y a plusieurs manières différentes d’implémenter l’identité numérique. Elles peuvent être respectueuses de la vie privée ou, au contraire, elles peuvent créer une espèce de “mini-Big Brother" (...) Il faut avoir un débat au niveau de la société. Quelle forme prendra, l’identité numérique ? Qu’est-ce qu’on va vouloir valider ? Quelles sont les données collectées ? Vont-elles être centralisées dans une base gérée par le gouvernement ou par une entreprise externe ? », s’interroge Sébastien Gambs.

La Poste a été la première entreprise française à lancer en janvier 2020 une identité numérique conforme au règlement eIDAS européen. Un service public, France identité numérique, est en phase bêta depuis mai 2022.

Selon le groupe Thales, 85% des Français sont « prêts à utiliser le portefeuille européen d’identité numérique ». Les craintes que soulève Sébastien Gambs à Radio Canada ont pourtant été exprimées par des Français au début du mois en cours, lorsque le ministre délégué en charge du Numérique Jean-Noël Barrot a annoncé que la France va imposer un outil de vérification de l’âge afin de bloquer aux mineurs l’accès aux sites pornographiques.

Il avait affirmé, dans une interview au Parisien, qu’un « certificat de majorité » sera instauré en septembre 2023. De nombreux internautes ont exprimé des inquiétudes que cette attestation soit utilisée à d’autres fins, comme le blocage d’accès à d’autres sites. Des réactions reconduites avec ce projet européen d’identité numérique, qui rappelle, pour certains, le passe sanitaire lors de la pandémie du COVID.

 (Ca dit tout sur la Franc, non ? En avant toute pour le nouvel ordre mondial. note de rené)


MARDI 28 FÉVRIER 2023      la vie hospitalière

 (Alors, lui, il est trop intelligent, il pense que les russes vont se précipiter à kherson en dégarnissant la zone qu'il compte attaquer, ça fait un peu enfantin, non ? note de rené)


Publié par wikistrike.com

Zelensky affirme que l’Ukraine se prépare à attaquer la Crimée

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré vendredi que l’Ukraine se prépare à lancer des attaques pour reconquérir la Crimée en formant de nouvelles unités militaires et en envoyant des troupes s’entraîner dans d’autres pays.

« Il y a des étapes militaires, et nous nous y préparons. Nous sommes prêts mentalement. Nous nous préparons techniquement : avec des armes, des renforts, la formation de brigades, en particulier les brigades d’assaut, de différentes catégories et natures », a déclaré Zelensky lors d’une conférence de presse, selon l’agence de presse ukrainienne Ukrinform.

Selon Ukrinform, Zelensky a déclaré que les troupes ukrainiennes étaient envoyées s’entraîner dans d’autres pays pour apprendre à utiliser de nouvelles armes. « Nous devons être prêts. Ensuite, des mesures de désoccupation équitables correspondront et, si Dieu le veut, elles seront couronnées de succès », a-t-il ajouté.

Zelensky et d’autres hauts responsables ukrainiens ont maintenu que chasser la Russie de la Crimée est l’un de leurs objectifs de guerre, mais la Russie contrôle une bonne partie du territoire au nord de la Crimée dans l’Oblast de Kherson. Le Pentagone a également estimé qu’il était peu probable que l’Ukraine puisse prendre la péninsule, que la Russie contrôle depuis 2014.

Malgré l’évaluation du Pentagone, les responsables de l’administration Biden disent toujours qu’ils soutiendraient les attaques ukrainiennes contre la Crimée. « La Russie a transformé la Crimée en une installation militaire massive… ce sont des cibles légitimes, l’Ukraine les frappe, et nous soutenons cela », a récemment déclaré Victoria Nuland, sous-secrétaire d’État américaine aux affaires politiques.

Le soutien des États-Unis aux attaques ukrainiennes contre la Crimée risquerait de provoquer une escalade majeure avec Moscou, un fait que même le secrétaire d’État Antony Blinken a reconnu en qualifiant la péninsule de « ligne rouge » pour le président russe Vladimir Poutine.Le dirigeant russe a montré sa volonté d’intensifier la guerre en raison des attaques contre la Crimée, puisque les bombardements russes sur les infrastructures ukrainiennes n’ont commencé qu’après le bombardement par camion du pont de Kertch, qui relie la Crimée au continent russe.

La Russie a annexé la Crimée en 2014 à la suite du coup d’État soutenu par les États-Unis à Kiev qui a chassé l’ancien président ukrainien Viktor Ianoukovitch. Les sondages réalisés depuis ont montré que la majorité des habitants de la péninsule sont heureux d’avoir rejoint la Fédération de Russie.

Traduction d’AntiWar par Aube Digitale

 (Si ils doivent sélectionner les fonctionnaires corrompus, des fonctionnaires  honnêtes, cela va prendre au moins deux mandats présidentiels, mieux vaut supprimer directement le service pour en faire un autre sans réembaucher aucun des anciens des CDC. N'oublions pas la FDA, pire depuis plus longtemps. Par contre, cela ne doit pas les protéger d'actions en justice. Après, il faut faire le nettoyage dans toutes les organisations gouvernementales. note de rené)


CDC Spreads False Information About COVID-19 Vaccine Safety Monitoring

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BY TYLER DURDEN    zerohedge    
TUESDAY, FEB 28, 2023 - 03:00 AM

Authored by Zachary Stieber via The Epoch Times (emphasis ours),

A top U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC) official gave false information about COVID-19 vaccine safety monitoring to the agency’s vaccine advisory panel, and a spokesperson for the agency refused to correct the misinformation.

Dr. Tom Shimabukuro, director of the CDC’s Immunization Safety Office, presented on COVID-19 vaccine safety to the Advisory Committee on Immunization Practices on Feb. 24.

Shimabukuro went over updates to the safety signal for ischemic stroke following Pfizer bivalent booster vaccination that CDC officials detected in one of the agency’s monitoring systems.

After sharing the updates, Shimabukuro made the false statement.

No safety signals were detected for ischemic stroke for the primary series or monovalent boosters for Pfizer or Moderna COVID-19 vaccines in U.S. and global monitoring,” Shimabukuro said.

That’s not true. The CDC identified ischemic stroke as a safety signal following Moderna and Pfizer vaccination after analyzing reports to the Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), a different system, which the agency co-manages.

Asked for comment, Shimabukuro did not respond. But a CDC spokesperson doubled down on the false claim.

“The statement from Dr. Shimabukuro’s slides is correct. There have not been any safety signals detected at this time in the U.S. for ischemic stroke for the primary series or monovalent boosters,” Katherina Grusich, the spokesperson, told The Epoch Times in an email.

The CDC has previously offered misinformation and refused to correct it.

Barbara Loe Fisher, president and co-founder of the National Vaccine Information Center, said what unfolded was concerning.

“Those of us who worked with Congress to secure vaccine safety informing, recording, and reporting provisions in the 1986 National Childhood Vaccine Injury Act—of which VAERS was one—are deeply concerned that federal health officials are deliberately ignoring signals in VAERS and that mRNA COVID shots are causing ischemic strokes and other potentially fatal complications,” Fisher told The Epoch Times in an email.

The Pfizer and Moderna vaccines utilize messenger RNA, or mRNA, technology.

Bivalent boosters from both companies were authorized in the fall of 2022, but the primary series are still composed of the original vaccines, sometimes referred to as monovalent shots.

Shimabukuro’s statement had an impact. After his presentation, while the slide with the false information was on the screen, a member of the panel highlighted it.

I think it’s important to note [the statement] for the public,” Veronica McNally, president and CEO of the Fanny Strong Foundation, said, before reading it in full.

Another False Statement

Dr. Helen Keipp Talbot, a member of the advisory panel, also offered false information about the safety signal.

Read more here...

 (J'ai vécu à San Francisco quand j'étais gamin avec mes parents, c'était une ville agréable. Maintenant, cela donne plutôt l'impression d'une poubelle à ciel ouvert. Naturellement, des quartiers comme Palo alto où j'ai vécu  restent protéger. Finalement, je parle beaucoup de la Russie, mais je n'y ai jamais vécu. note de rené)


Sequoia Capital Exec Admits "Even Democrats Like Me Are Fed Up With San Francisco"

Tyler Durden's Photo
BY TYLER DURDEN  zeroedge
TUESDAY, FEB 28, 2023 - 04:20 AM

Authored by Olivia Murray via AmericanThinker.com,

I guess all that “culture” (human feces and heroin needles) and “excitement” (rampant crime) of life in a big city is getting a little old for Michael Moritz, a partner at Sequoia Capital.

But, don’t you smug conservatives get any ideas, these blights aren’t a byproduct of Democrat ideas — San Francisco is merely “held hostage” by “political classes.”

In an essay published by The New York Times today, Moritz acknowledged the city was indeed “crippled” by “homeless encampments” and “drug addicts” before he blamed conservatives for rubbing Democrat noses in the mess. Moritz opened his piece with this:

Few subjects please Tucker Carlson more than sticking a shiv into the city of his birth - San Francisco. Sadly, Mr. Carlson has plenty of reasons for portraying San Francisco as a crippled city, hence his fondness for broadcasting clips of homeless encampments and drug addicts. But Mr. Carlson and his ilk have less interest in understanding why these problems exist.

Let me stop Mr. Moritz right there: conservatives lack neither interest in nor understanding about the sorry state of San Francisco. In fact, we care immensely about human suffering, undignified existences, and burdensome realities, but we don’t allow reason and logic to fall by the wayside in pursuit of a utopia that we know exists only in fiction. This balance is what makes us believe a limited government and conservative principles yield the most prosperous results for the greatest number of people. If we were to elevate our feelings over the facts, and in doing so, jettison logic and reason… we’d be Democrats like Mr. Moritz.

Moritz notes:

Like it or not, San Francisco has become a prize example of how we Democrats have become our own worst enemy. Causes that we have long espoused… have all been crippled by a small coterie who knows how to bend government to its will.

He describes this phenomenon as “tyranny of the minority.” Is this a prelude to reinvigorated efforts to abolish the Electoral College? His verbiage leaves room for theorizing…. Funny enough though, in the same essay, Moritz asserts that negative changes have been brought about by “referendums that are a staple of the city’s elections” — is it just me or isn’t that the exact definition of “tyranny of the majority”? Referendums bypass a representative government, usurping lawmaking authority from elected lawmakers. The voters themselves head to the ballot box, and the impulses of the majority decide.

Perhaps this San Francisco Democrat ought to read the words of James Madison, as the Founder expounded on “the mischiefs of faction” in Federalist 10:

From this view of the subject it may be concluded that a pure democracy, by which I mean a society consisting of a small number of citizens, who assemble and administer the government in person, can admit of no cure for the mischiefs of faction.

Hence it is that such democracies have ever been spectacles of turbulence and contention; have ever been found incompatible with personal security or the rights of property; and have in general been as short in their lives as they have been violent in their deaths. Theoretic politicians, who have patronized this species of government, have erroneously supposed that by reducing mankind to a perfect equality in their political rights, they would, at the same time, be perfectly equalized and assimilated in their possessions, their opinions, and their passions.

Moritz also states this:

The core of the issue, in San Francisco and other cities, is that government is more malleable at the city level than at higher levels of government.

If the U.S. Constitution requires decades and a chisel and hammer to change, San Francisco’s City Charter is like a live Google doc controlled by manipulative copy editors.

Again, that seems like a Democrat policy problem to me…. Remind me again which political faction consistently asserts the “need” to “rewrite the Constitution”? Can Moritz’s observation noting that perpetual revisions of foundational documents is a recipe for disaster please be the nail in the coffin for any more leftist cries to scrap our national Constitution? A girl can dream.

Moritz is right, San Francisco is held hostage by political classes, but what “classes” those could possibly be other than leftist ones, I can’t say — and apparently neither can Moritz. 

 (La Hongrie fait ce que l'Allemagne ne veut pas faire. Il est vrai qu'avec plus de 35.000 soldats américains, nombre en augmentation, l'Allemagne a une marge de manoeuvre réduite. On dit que les pays européens vont entrer directement dans le conflit en Ukraine, en tout cas ce qui est clair est que les Etats-Unis s'apprêtent à entrer en conflit avec la Russie sur le sol européen. note de rené)


Hungary Demands UN Investigation Into "Scandalous" Attack On Nord Stream Pipelines

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BY TYLER DURDEN  zerohdge
TUESDAY, FEB 28, 2023 - 08:00 AM

Authored by Paul Joseph Watson via Summit News,

Hungary has called for a UN investigation into the “scandalous” attack on the Nord Stream pipelines, which journalist Seymour Hersh asserted were destroyed by the United States.

Three of the four natural gas pipelines connecting Russia to Germany were sabotaged in September last year, an attack that must have been carried out by a state actor.

The attack left Germany and other European countries dependent on US energy, prompting them to support escalation of the war in Ukraine.

Pulitzer Prize-winning investigative journalist Hersh published an article earlier this month in which he asserted that the pipelines were destroyed by the US as part of a covert operation.

According to Hersh’s sources, the explosives were planted in June 2022 by US Navy divers under the guise of the BALTOPS 22 NATO exercise and were detonated three months later with a remote signal sent by a sonar buoy.

One source told Hersh that the plotters knew the covert operation was an “act of war,” with some in the CIA and State Department warning, “Don’t do this. It’s stupid and will be a political nightmare if it comes out.”

After China demanded that the United States “explain itself to the world” over the claims, Hungary has now added its voice to the call for a full and proper investigation.

“This is basically the first time when such a major European critical infrastructure was attacked. By whoever – but it was attacked,” Hungarian Foreign Minister Peter Szijjarto told RIA Novosti.

Szijjarto added that the sabotage was a “scandalous” act of terrorism and the truth as to finding out who was responsible should be of the utmost international importance.

Budapest wants know “who committed it and why,” asking for a “comprehensive, deep, structured and detailed” probe conducted under the auspices of the UN.

“I think the UN should give a framework for such kind of an investigation,” said Szijjarto, adding that the international body should act as a “platform for countries to talk to each other, who even consider each other as enemies.”

As we previously highlighted, former NSA whistleblower Edward Snowden responded to the White House’s denial that US intelligence agencies were responsible for blowing up the Nord Stream pipelines by pointing out that they also once denied involvement in the Bay of Pigs invasion and other false flags.

*  *  *

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 (Normal, il s prépare à la fin de la voiture thermique. Sauf que cette fois-ci, il n'y aura pas de coccinelle, de voiture du peuple. note de rené)


Tesla's Germany Plant Is Producing 4,000 Cars Per Week, Three Weeks Ahead Of Schedule

Tyler Durden's Photo
BY TYLER DURDEN  zerohedge
TUESDAY, FEB 28, 2023 - 10:15 AM

If Tesla's new plant in Germany is any indication, not only is demand not a problem, but the company is moving along efficiently and firing on all cylinders. 

The company's new plant in Brandenburg has reportedly "reached an output of 4,000 cars per week", according to Bloomberg this week. The milestone is three weeks ahead of planned schedule for the new production facility, according to a production plan Bloomberg reviewed. 

Volume from the new plant amounts to about a third of Tesla's Model Y production in Shanghai. The company's Model Y was the last new model to be released, in 2020. The Cybertruck is next, and deliveries might not begin until late 2023 or early 2024. 

We will also continue to look for more details as to whether or not Germany will be involved in producing Tesla's new subcompact car, which we wrote about just hours ago. We noted that a corporate video released by Tesla for the opening of its new engineering headquarters in California might have leaked design drawings of its upcoming new electric compact car. 

The original idea for an affordable Tesla was announced by Elon Musk back in 2020:

"Tesla will make a compelling $25,000 electric vehicle that is also fully autonomous," Elon Musk said at the time. 

After an ugly start to the 2023 campaign, Tesla shares have now more than doubled off their lows this year. The company has seen price cuts spur demand in large markets like China, as well. We wrote in the beginning of February that the company's China segment shipped 66,051 vehicles in January.

That figure was up 18% from December, while China's new energy passenger vehicles, in total, were down 45% month over month from December to January. The company is now reportedly planning to increase output at its Shanghai plant - bringing its run rate back toward where it was in September 2022 - in order to continue meeting the demand from price cuts on its best selling models. 

We'll continue to keep an eye on Germany as it spools up as well.