(Normalement, les variants d'un virus sont de moins en moins virulent jusqu'à ne plus l'être. Mais, magiquement, médiatiquement, concernant le covid au contraire, ils seraient de plus en plus meurtriers. Et, plus, ils sont "meurtriers", plus la big pharma américaine fait du profit. La question est "Pourquoi nos gouvernants occidentaux adhère à cette stratégie ?"note de rené)
Le monde atteint un record de cas quotidiens de COVID alors que le variant moins meurtrier Omicron détrône Delta
Le monde vient de signaler un nombre quotidien record de nouveaux cas de COVID, la vague omicron ayant franchi une nouvelle étape.
Après qu’une équipe d’éminents épidémiologistes sud-africains a alerté l’OMS de l’arrivée d’omicron alors que des millions d’Américains s’installaient pour leur dîner de Thanksgiving, les experts se sont immédiatement mis au travail pour rassembler et analyser les quelques données recueillies.
L’une d’entre elles comportait la notion d’espoir suivante : comme l’omicron semblait moins virulent que le delta, il pourrait évincer la souche la plus dangereuse et provoquer une explosion de nouveaux cas sans l’augmentation des hospitalisations et des décès qui l’accompagne. Les scientifiques ont décrit cette théorie comme un aspect positif potentiel de la nature du virus : à mesure que l’immunité de l’homme s’améliore considérablement, le virus pourrait évoluer pour devenir plus nuisible et moins menaçant, au lieu de l’inverse.
Bloomberg vient de rapporter que le nombre de nouveaux cas d’omicron signalés lundi dans le monde a atteint un nouveau record. Le nombre de cas recensés lundi était de 1,44 million. Ce chiffre dépasse de loin le record précédent (les données excluent un jour de décembre dernier où la Turquie a antidaté un nombre important de cas).
La moyenne mobile à 7 jours, plus conservatrice, qui est destinée à lisser les pics dans les données, est également à un niveau record grâce au raz-de-marée de cas d’omicron.
Des millions de personnes aux États-Unis et ailleurs apprennent de première main qu’omicron est le variant le plus infectieux à ce jour, car il traverse l’immunité induite par la vaccination comme du beurre. Elle est en train de devenir rapidement la souche dominante au niveau mondial, avec une moyenne mobile sur 7 jours de 841 000 cas, soit une augmentation de 49 % par rapport au mois dernier, lorsque omicron a été identifié pour la première fois.
La dernière vague virale a pris des millions de personnes par surprise et a forcé les Américains à annuler leurs réunions de Noël, au grand dam du président Biden. Le président a depuis renoncé à sa promesse de « fermer » le virus, concédant plutôt qu’il s’agit d’un problème pour les États.
Des études suggèrent que si omicron infecte 70 fois plus vite que les souches précédentes, la maladie qu’il provoque n’est pas aussi grave, en particulier pour les personnes qui ont été vaccinées et ont reçu un rappel (ou qui ont déjà été infectées). Nombreux sont ceux qui craignent que la facilité de transmission et l’explosion du nombre de cas ne continuent à grever la capacité des hôpitaux du monde entier, laissant dans l’embarras les personnes non vaccinées et celles qui ont besoin de soins médicaux pour d’autres raisons.
La bonne nouvelle, selon Bloomberg, c’est que le nombre de décès quotidiens dus au COVID n’a pas augmenté de manière significative : La moyenne mobile sur sept jours des décès se maintient à environ 7 000 depuis la mi-octobre, après avoir chuté depuis un pic dû au delta. Cela n’a pas changé du tout depuis l’émergence d’omicron, même si le nombre total d’infections a augmenté.
Les premiers signes en provenance d’Afrique australe ont montré un certain « découplage » entre les cas et les décès, ce qui suggère que cette tendance sera plus durable que certains prophètes de malheur (le Dr Fauci) ne l’ont prévu.
Pour ce qui est de la date de fin, les projections sont actuellement centrées sur une période comprise entre début janvier et début février.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire