mercredi 31 août 2011

Aujourd'hui, deux réflexions qui me prennent la tête, là, tout de suite.
La première, "Il serait temps que les états arrêtent de financer la spéculation nationale ou internationale au détriment de leur population".
Car, la spéculation va finir par ruiner les états en transformant la planète en leur terrain de chasse.
Cela, c'est la première réflexion et un ministre allemand vient de dire, "Qui va sauver les sauveurs ?"
Deuxièmement, cette question basique, "les délocalisations servent-elles à réduire le coût du travail ou à augmenter les dividendes des actionnaires ?"
Bon, je ne vous parlerais pas du rôle insipide des médias pour la plupart rachetés par le capital. Aujourd'hui, j'ai lu le journal le Monde, beuh, rien d'intéressant. D'une nullité incommensurable.
De toute façon, je n'ai pas envie d'écrire aujourd'hui, j'ai plutôt envie de contempler le ciel et me demander quand la prochaine pluie ou orage va me tomber dessus.
Ce qui m'étonne pourtant, c'est que le gouvernement français, celui de sarko, commence à trouver le service de la dette insupportable.
Pas la dette, mais, le service de la dette.
Se retrouver dans la situation d'un pays en sous développement pour la France me paraît sidéralement dramatique.
Bon, que Pierre Bérégovoy, ministre de l’Économie, des finances et du Commerce extérieur dans le gouvernement Édith Cresson, sous Mitterand, ait décidé que les épargnants français ne puissent plus financer la dette de l'état directement, mais, qu'ils faillent passer par des institutions financières pour conforter la bourse, sans rire, c'était aidé les banquiers.
Alors, et, je vais m'arrêter là pour aujourd'hui.
"Ou, c'est eux, ou, c'est nous !"
Il va falloir que les politiques choisissent ou bien, cela va péter grave.
De toute façon, mes impôts viennent d'augmenter, j'ai plus de fric, donc, j'en ai plus rien à foutre !
René.

mardi 30 août 2011

Salut, aux traders, ceux, qui, comme les apparatchiks soviétique, préparent la fin d'une époque et d'un système.

Alors, il paraîtrait que trois ministres vont se présenter aux sénatoriales et qu'ils ne veulent pas démissionner du gouvernement, alors, que leur vote pourrait déterminer la présidence du sénat.
Selon, eux, la présidence du sénat ne dépendrait pas de trois voix, les leurs.
Hélas, SI !
Cette élection des sénateurs dépendant du suffrage des grands électeurs soit, sera serré, soit, verra une nette victoire des socialistes.
Et, si, elle est serrée, leur voix manquera.
Alors, messieurs les ministres concernés, un peu de hauteur d'âme. Pensez à l'avenir du bateau Ump qui prend l'eau de toute part.
Parce que si, la présidence bascule à gauche, le bateau se mettra à tanguer, tellement, il prendra l'eau et des élus risqueraient de se décider à le quitter pour tenter de se sauver.
Rendez-vous compte, mes trois chers lecteurs, même les plus endurcis risquent de flancher, avant même la présidentielle.
Alors, rendez-vous compte de l'enjeu, mes trois chers lecteurs, les élections sénatoriales, sont la clé de la défaite malgré tout annoncée.
Cependant, cependant, parce qu'il y a un cependant, la victoire de l'opposition ne dépend plus des socialistes avec le retour de strauss kahn.
Il va les plomber grave.
C'est bien pour cela que Jean Luc Mélanchon devient le candidat le plus intéressant.
Pourquoi ?
Parce que les socialistes nous ont déjà fait le coup et que la droite, même, lorsqu'ils ont accentué la précarisation des français, n(ont fait que rester dans la ligne que le Parti Socialiste avait tracé lorsqu'il était au pouvoir.
Alors, pourquoi, ne pas changer, dîtes-moi, mes trois chers lecteurs ?
Les beaux discours des socialistes, qui au début parlaient de rigueur et maintenant parlent de faire payer les riches et la spéculation, ne donnent l'impression que d'un miroir aux alouettes.
Mis, part Arnaud Montebourg.
Pour lequel, j'invite les militants socialistes à voter aux primaires socialistes.
Pourquoi ?
Parce que le candidat socialistes ne passera pas le deuxième tour. Voilà, pourquoi.
Bon, je mens, mais, si, il passe, cela sera pour un nombre d'entre-nous en désespoir de cause et sans rien en attendre.
En tout cas, moi, si, candidat socialiste, je reste chez moi et je ne serais pas le seul autour de moi.
Parce que le chantage, "Nous ou sarko", cela me pompe et ne me paraît pas "juste" comme dirait Ségolène.
En attendant et pour finir, les rivières anglaises se portent bien.
Nous attendons que cela se passe de même en France ou même aux Etats-Unis qui détruisent leurs rivières avec l'exploitation du gaz de schiste.

(source : Sciences et Avenir)

"En Grande-Bretagne, saumons et loutres prolifèrent dans 10 rivières, anciens égouts
30-08-11

Truites, saumons et loutres s'ébattent dans des rivières autrefois véritables égouts à ciel ouvert: l'Agence britannique de l'environnement a publié mardi une liste des dix rivières dont la qualité de l'eau s'est le plus améliorée ces dernières années (c) Afp
Truites, saumons et loutres s'ébattent dans des rivières autrefois véritables égouts à ciel ouvert: l'Agence britannique de l'environnement a publié mardi une liste des dix rivières dont la qualité de l'eau s'est le plus améliorée ces dernières années.
Les dix rivières sont localisées un peu partout, de la Tyne au nord à la rivière Dee à l'ouest et à la Tamise qui traverse Londres.
Cette dernière, déclarée "biologiquement morte" dans les années 50, a fait l'objet d'un travail considérable, au point d'être distinguée par un prix international (Theiss Riverprize).
Depuis avril 2005, 500 projets de restauration d'habitats naturels ont été menés, et 90 km de la Tamise remis en état. Des réglementations plus strictes ont encadré les rejets industriels.
Résultat: la Tamise accueille 125 espèces de poisson et le promeneur aura plaisir à parcourir le "Thames Path National Trail" qui longe notamment le château de la reine à Windsor."

A bientôt.
René.

lundi 29 août 2011

Salut au rêve. Il habite de moins en moins les nuits de l'humanité.

Bon, je vous laisse réfléchir sur la nouvelle ci-dessous. A mon avis, mes trois chers lecteurs, vous êtes capables de faire un projection sur les trois années à venir sur la région proche de la Libye.

Quel impact pour la région des évènements en Libye et surtout de toutes les armes en circulation.

(source : El Watan)

"Mort de Brahim Ag Bahanga : Une disparition qui ouvre la voie aux pires scénarios. le 29.08.11

Les révélations au sujet des circonstances de son accident ne peuvent que conforter la thèse de l’assassinat. En effet, selon certains de ses plus proches collaborateurs, Bahanga n’était pas seul.

Avec ses compagnons les plus fidèles, il se trouvait ce vendredi dans son fief à Tinassalak, lorsqu’il a eu cette information selon laquelle, deux véhicules tout-terrain, à leur bord une importante quantité d’armes, avaient franchi la frontière libyenne. Ils se dirigeaient vers la région de Tombouctou, connue comme étant le fief d’AQMI et des contrebandiers.
«C’était en milieu d’après-midi. Bahanga avait pris sa Toyota Station et s’est lancé à leur recherche. Il n’a pas voulu déplacer tout le groupe, préférant aller vérifier cette information. A quelques dizaines de kilomètres, il a effectivement remonté les traces des deux véhicules qu’il a interceptés. Les occupants sont des jeunes de la région, dont un est le fils d’un député. Ils n’ont pas voulu lui dire à qui étaient destinées les armes. Il les a sommés de les remettre. Nous ne savons pas ce qui s’est passé par la suite.

Lorsque nous avons remarqué que Brahim n’était pas rentré et que son téléphone ne répondait pas, nous sommes allés à sa recherche. Nous avons trouvé son véhicule renversé et son flanc gauche touché par des balles tirées par un Seminov. L’ont-ils tué et simulé un accident ? Nous n’en savons rien. Nous sommes en train d’enquêter sur cette affaire et nous ne voulons pas qu’elle soit utilisée pour mener des actions de représailles. Il est encore trop tôt pour agir», révèle notre interlocuteur. En tout état de cause, la mort suspecte de ce chef rebelle intervient dans un moment crucial pour la population du Nord malien.


Bahanga s’affairait depuis des mois à préparer le terrain pour reprendre l’action armée, dans les semaines qui suivent le Ramadhan. Les 22 et 23 août, il avait réuni quelques centaines de jeunes cadres dans son QG pour arrêter définitivement une stratégie sur le terrain que ses proches comptent mettre à exécution, dès sa succession. Deux noms circulent, ceux de Mohamed Ould Bibi et Tena. Les compagnons de route du défunt sont les plus fidèles à sa politique de retour aux armes. L’avenir de la région est pour l’instant incertain. Bahanga, faut-il le rappeler, était craint et respecté par tous les Touareg de la région. Il s’imposait à tous. Il était révolté par la situation dramatique à laquelle fait face sa population. Les promesses d’intégration et de développement non tenues du président malien, l’occupation inquiétante du terrain par les troupes d’AQMI et la sécheresse qui a affamé des pans entiers de la société n’ont suscité que révolte et colère."

Donc, à part ça, parce que j'ai fini mon boulot de commis de cuisine.
Il faut que la BCE prête directement aux états.
Et, si, les épargnants veulent spéculer, il faut qu'ils puissent se passer des banques et des traders.
Après, si, ils prennent des risques, cela, les regarde.
Mais, il faut que les conneries depuis Pierre Bérégovoy cessent.
Et, si, vous voulez savoir ce qu'il a fait pour renforcer les marchés, renseignez-vous, mes trois chers lecteurs.
C'est vrai, quoi, je ne suis pas toujours obligé de vous servir la soupe.
Et, c'est bien pour cela que j'appelle à voter Jean-luc Mélanchon.
Je m'excuse, mais, je suis fatigué.
Aussi, je vous souhaite, bien le bonjour chez vous.
René.

dimanche 28 août 2011

Salut à la France qui souffre. Notre espoir renaît, sarko s'en va avec sa clique de néo conservateurs républicains.

Attention, mes chers trois lecteurs, mes paroles vont être comme une langue de feu qui parcourt la terre et la chauffe au rouge, comme le vent qui hurle et arraches toits et maisons, comme une chanson douce murmurée à un enfant.
Bon, d'accord, je vous vois inquiets et dans vos yeux cette affirmation insidieuse, "Mais, il nous a pété une durite".
Eh, bien, non, mes trois chers lecteurs, soyez rassuré.
Par contre, j'ai écouté le discours du candidat du Front de Gauche, Jean-Luc Mélanchon lors de la cloture de leur université d'été et l'espoir à nouveau s'est remi à battre en mon coeur.
Quel tribun !
Nom de dieu, mais, quel tribun.
Alors, voilà, j'ai trouvé mon candidat, je vais voter pour lui pour l'élection présidentielle.
Et, comme Dominique Strauss Kahn va se repointer chez les socialiste, j'appelle tous les absentionnistes et les autres à voter massivement pour lui.
Il faut qu'il se retrouve au deuxième tour. De toute façon, les socialistes ne m'inspirent pas confiance, surtout, avec le boulet qu'ils vont traîner avec eux.
Naturellement, j'ai écouté Eva Joly, la candidate écologiste sur la chaîne parlementaire, un bon discours un peu décousu, des propositions intéressantes et pour finir un appel à Nicolas Hulot.
Par contre, l'appel à Hulot qui apparaît de plus en plus comme un opportuniste, ce n'était pas une bonne idée.
Et, le discours était plus lu qu'affirmé.
Donc, un manque de force, non de conviction, mais, voilà.
Pourtant, il faut que cela change. Sauf que les socialistes qui parlent de changement nous parle de rigueur également.
Depuis, quand la rigueur fait-elle rêver ?
Depuis, que François Hollande nous a promis de réduire la dette en 2013 ?
Mélanchon, lui, nous promet de faire payer les riches et les grosses boîtes qui s'arrangent pour ne pas payer l'impôt.
J'ai trouvé qu'à certain moment, il avait des accents et une intonation gaullienne.
En tout cas, je pense qu'il peut soulever les foules.
Et, plutôt qu'un candidat socialiste, je le préferais lui, au deuxième tour. A mon avis, lors d'un débat télévisé avec notre président national, il n'en fera qu'une bouchée.
Mais, passons, parce de l'autre côtée de la méditerranée, en Libye, l'après kadhafi pourrait se passer sans trop de dégâts, car, la société civile s'organise à une vitesse grand V.

(source : Irin News, dimanche 28 août)

LIBYE: Émergence de la société civile

L’organisation Attar (donner) a été fondée par des professionnels de Benghazi pour venir en aide aux personnes touchées par la crise humanitaire (photo d’archives)BENGHAZI, 18 août 2011 (IRIN) - Mises sur la touche sous le régime de Mouammar Kadhafi, les organisations de la société civile libyenne commencent à jouer un rôle important en venant en aide aux habitants des zones « libérées » les plus vulnérables.
« Après 42 années passées à mal agir, les gens agissent désormais dans le bon sens », a dit Khaled Ben-Ali, le directeur du Comité libyen pour l’aide humanitaire (LibyanAid).
Depuis Benghazi, M. Ben-Ali a dit avoir été surpris par la capacité des Libyens à se mobiliser et à s’organiser, en mettant sur pied des organisations à partir de rien.
Les organisations non gouvernementales (ONG) internationales expriment également leur admiration face au volontarisme dont il est fait preuve à Benghazi et dans les autres zones administrées par les rebelles du Conseil national de transition (CNT). « J’ai déjà connu cela dans le cadre d’autres conflits, mais jamais dans de telles proportions », a dit à IRIN un haut responsable de la santé qui a préféré garder l’anonymat.

(...)L’impasse du mois de février à Benghazi entre les manifestants anti-Kadhafi et les forces de sécurité cherchant à étouffer les protestations a fait de nombreuses victimes, mais a également marqué un véritable changement de pouvoir. « Il n’y a pas eu de chaos », a souligné Mme Megheirbi. « La société civile a contribué à maintenir l’ordre ».
Dans les mois qui ont suivi les premières manifestations de masse, des dizaines d’organisations et de réseaux ont émergé, travaillant souvent en parallèle avec de nouveaux médias d’information, des chaînes de radio et de télévision, des journaux et de simples bulletins d’information farouchement opposés à Kadhafi.
Le phénomène ne s’est pas limité à Benghazi. D’importantes mobilisations ont également eu lieu tout à l’est du pays, à Darnah, aussi bien de la part de groupes laïques que religieux, tous profondément engagés en faveur d’une Libye post-Kadhafi. Mme Megheirbi a indiqué que les activistes de Benghazi étaient en contact avec des confrères de Misrata à l’ouest, et on parle par ailleurs de l’émergence de nouveaux groupes dans les montagnes de Nafusa."

Alors, prions Allah, qu'il leur accorde enfin le "bonheur".
Si, le futur gouvernement répartit mieux dans la population la rente pétrolière, cela deviendra un pays où il fait bon vivre et envié de la terre entière.
Merci, pour eux.
En attendant, la Chine révise la réglementation concernant la venue d'entreprises étrangères.
Alors, je pousse ce cri insupportable, "Camarades chinois, virez la grande distribution française. Ce sont des mécréants comme disent les musulmans.

(source : le Quotidien du Peuple)
Mise à jour 28.08.2011

"Chine : révision des fusions-acquisitions étrangères des entreprises nationales en raison de risque pesant sur la sécurité nationale

Le ministère chinois du Commerce a publié vendredi une nouvelle réglementation, selon laquelle le gouvernement va réviser les fusions et acquisitions des entreprises domestiques par les investisseurs étrangers, en raison de risque pesant sur la sécurité nationale.
Si une fusion ou acquisition impliquant des investisseurs étrangers est jugée comme une menace à la sécurité nationale, les accords devront alors prendre fin, d'après la réglementation.
Cette nouvelle réglementation s'applique également aux fusions-acquisitions déjà conclues. Le ministère devra prendre "des mesures, telles que le transfert d'actions et d'actifs pour éliminer l'influence (des fusions et acquisitions) sur la sécurité nationale.
La réglementation va entrer en vigueur à partir du 1er septembre, a annoncé le ministère."

Et, voilà, messieurs les diables étrangers, laissez les chinois exploiter les chinois. Vous ne faites pas couleur locale.
A bientôt.
René.




samedi 27 août 2011

Aujourd'hui, peu de mots.

Lorsqu'un système se met en place, il produit des aberrations. Et, si, celui-ci n'est pas contrôlé par des régulations en aval et par des contres-pouvoirs en amont, il s'auto-détruit.
Tel est l'histoire de la saga communiste qui a produit les apparatchiks.
Tel est l'histoire de la saga capitaliste qui produit des états sans nations.
Alors, essayez mes trois chers lecteurs à réfléchir à cela parce qu'en Afrique, il existe des états sans nations et que nous, en occident, nous prenons le même chemin.
Ce qui devrait vous faire deviner le chemin que nous devons prendre pour changer le système en n'en gardant que ce qui fait son originalité, notre capacité au changement et le respect des iniatives individuelles.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
René.

vendredi 26 août 2011

Aujourd'hui, juste, cet article.
Avec un cri, boycottez les produits Unilever !

(source : Rettet den RegenWald.e.V en ligne)

Fruit d'Or et Planta Fin - les margarines sanglantes du groupe Unilever
Depuis le 26.08.2011 442 personnes ont signé la pétition

L'huile de palme contenue dans les margarines Fruit d'Or et Planta Fin est synonyme de déforestation et violence contre les populations
Ils vinrent sur le coup de midi, armés comme pour une opération anti-terroriste: les brigades mobiles spéciales (Brimob) et les forces de sécurité du groupe Wilmar ont envoyé au total 700 soldats armés dans le petit village de Sungai Beruang situé sur l'île de Sumatra en Indonésie. En quelques minutes fut détruit et saccagé ce que les habitants avaient péniblement construit. Dans la panique générale, hommes, femmes et enfants se sont réfugiés dans la forêt pour fuir les bulldozers et les fusils. Il reste à ce jour encore 40 personnes portées disparues. Ces indigènes, appartenant au peuple de Suku Anak Dalam, vivent là-bas depuis plusieurs générations. Ils doivent pour leur propre survie de plus en plus souvent lutter contre leur propre gouvernement, les producteurs d'huile de palme et leurs chiens de garde.

Le déclenchement de cette action violente a suivi un schéma dont la répétition est symptomatique de l'histoire tourmentée de la production d'huile de palme en Indonésie: des populations sont expulsées de leurs terres, la forêt tropicale où elles vivaient disparaissent pour donner place à des plantations géantes de palmiers à huile. Quiconque résiste est intimidé, emprisonné ou abattu. Un des pires producteurs d'huile de palme est aussi le plus grand du monde: Wilmar International, tristement célèbre pour ses déforestations illégales et ses violations des droits de l'homme, qui exploite plus de 600.000 hectares de plantations sur les îles de Sumatra et Bornéo, .

Informations supplémentaires

« Wilmar fait appel à des brigades mobiles armées pour réduire au silence les personnes qui se défendent contre l'accaparement de leurs terres » selon Feri Irawan. « Wilmar se prête à des pratiques sanglantes ». L'organisation de Feri et d'autres associations ont ensemble montré au grand jour cette violence et organisé une manifestation devant le parlement de la province de Jambi.

Unilever est, avec 1,3 millions de tonnes utilisées chaque année, l'un des plus gros consommateurs d'huile de palme au monde. De Fruit d'Or, en passant par Dove et Signal, l'huile de palme se retrouve dans presque tous les produits d'Unilever. Et Wilmar International compte parmi ses principaux fournisseurs.

De combien de victimes supplémentaires a donc besoin la multinationale Unilever pour enfin prendre ses responsabilités? Sauvons la forêt appelle les dirigeants du groupe à remplacer systématiquement l'huile de palme dans ses produits par des huiles produites localement.

Signez notre pétition adressée au PDG d'Unilever France."

A part ça, deux choses, notre président national a accepté que le drapeau kanak flotte à côté du drapeau français.
Merci, pour eux.
Ensuite, si, il ne flingue pas kadhafi, les français et les anglais qui iront en Libye sont morts.
Et, voilà, c'est tout.
A bientôt.
René.




jeudi 25 août 2011

Salut à tous ceux qui rêvent encore. Faites donc avant qu'ils ne vous collent une puce dans la tête pour même contrôler vos rêves.

Bon, hier, j'ai eu une grosse flemme. Pas eu envie d'écrire.
Pourtant, il y avait matière.
Par exemple pour parler de l'introuvable kadhafi. Il est passé par ici, il repassera par là.
Son histoire de souterrain me rappelle, ceux des châteaux forts qui serpentaient jusque dans la campagne pour permettre aux seigneurs de s'échapper.
Lui, non, seulement, il a fait comme Nicolae Ceausescu en Roumanie, il a couvert la ville de souterrains pour mener une possible guerrilla urbaine, mais, en plus, il a du en aménagé d'une longueur de plusieurs dizaines de kilomètres pour lui permettre de s'échapper plus sûrement.
Par, contre et toujours pour parler de la Libye, les occidentaux qui s'imaginent se partager le gâteau risque de déchanter.
D'abord, parce que si kadhafi n'est pas arrêté, il y a juste un changement de rôle, ses fidèles se retrouvant en position de harceler les "troupes" ex-rebelles sur des positions stables, les leurs, d'ailleurs, avant.
Dans ce cas de figure, évidemment, l'aviation de l'Otan ne pourra plus jouer de rôle parce que les tanks et l'artillerie lourde seront passés du côté du CNT.
Et, qu'ensuite, les libyens n'ont sûrement pas envie de se faire dépouiller par les occidentaux. Sans compter qu'ils peuvent se faire la guerre entre eux aidé ou pas par le père kadhafi en sous-mains.
Donc, la prudence s'impose avant de monter des châteaux en Espagne.
Car, si, notre président national pense qu'il va pouvoir obtenir des monceaux de contrats, ceux, d'ailleurs que kadhafi n'a pas honoré, à mon avis, il se trompe.
Mais, passons, parce que en France, il continue de faire des cadeaux aux riches. Tout le monde va payer, les très riches même pas 300 millions et les riches, peanuts !
Sauf, qu'en France, plus personne n'est dupe de ses discours ou annonces bidons.

(source : le Monde de ce jour en ligne)

"Directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) et professeur à l'Ecole d'économie de Paris, Thomas Piketty est aussi l'auteur, avec Camille Landais et Emmanuel Saez, du livre Pour une révolution fiscale (éd. Seuil, 134 p.).

La mesure visant à taxer de 3 % les très hauts revenus vous paraît-elle juste et utile ?

Thomas Piketty : Non, tout cela me paraît totalement absurde. Quelques mois après avoir perdu 2 milliards d'euros d'argent public au bénéfice des contribuables de l'impôt sur la fortune, pourquoi inventer une contribution de 3 % pour récupérer 200 millions d'euros, soit dix fois moins que l'argent qu'on vient de dilapider ?

Soyons clair : d'après les propres chiffrages du gouvernement, la réforme de l'impôt sur la fortune décidée avant l'été va faire passer ses recettes d'un peu plus de 4 milliards d'euros à moins de 2 milliards d'euros. Le degré d'irresponsabilité budgétaire de ce gouvernement est flagrant alors que la situation des finances publiques est grave.

Le gouvernement n'a-t-il pas changé de cap ? Jusqu'à présent, il refusait de taxer les plus riches ?

On peut essayer de chercher les changements de cap à l'intérieur de chaque saison, de chaque mois, de chaque semaine… Mais quand on voit les sommes perdues par la faute de cette réforme de l'ISF sortie du chapeau en 2011, ce n'est même pas la peine de discuter de la dernière mesure Fillon qui est totalement anecdotique. Il y avait une façon simple – et encore, très modeste ! – de faire un changement de cap, c'était d'ajourner la réforme de l'ISF.
Au total, 2011 aura été une excellente année pour les plus riches et une très mauvaise année pour la France. Je ne suis pas seul à le dire. La banque Credit Suisse a montré dans une étude que la France était le leader européen pour le nombre de millionnaires en dollars. Une chose est claire : il n'y a aucune hémorragie fiscale liée à l'ISF en France."

Bon, cela sera tout sur le plan de rigueur, tellement, il me paraît à côté de la plaque. Parlons plutôt de cette nouvelle colonisation larvée et pire qui se joue en Afrique avec la complicité des gouvernements locaux.
Et, à cette occassion, je lance un appel au renversement de tous les gouvernements qui ont vendu des centaines de milliers d'hectares, pour ne pas dire des millions à des sociétés étrangères.
Virez-moi, ces pourris !

(source : le Quotidien du Peuple)
25.08.2011

"La Chine qualifie de "sans fondement" les allégations sur sa responsabilité dans la famine en Afrique
Le porte-parole du ministère chinois du Commerce (MCC) a réfuté mercredi les allégations selon lesquelles l'achat de terres par la Chine sur le continent africain aurait contribué à la famine qui ravage la Corne de l'Afrique.
"J'ai visité l'Afrique l'année dernière et cette année. J'ai constaté que les produits céréaliers des projets sino-africains ont été vendus en Afrique pour satisfaire la demande locale. Aucun grain de riz n'a été exporté vers la Chine", a indiqué Shen Danyang, porte-parole du MCC lors d'une conférence de presse.
Il a souligné que les investissements chinois dans les projets agricoles en Afrique visaient à augmenter la capacité de production agricole de ce continent.
Des médias français ont rapporté récemment les déclarations de Günther Nooke, le chargé des affaires africaines du gouvernement allemand, qui affirment que les investissements chinois se concentreraient sur une agriculture pour l'exportation, ce qui peut conduire à "de grands conflits sociaux en Afrique, si de petits paysans perdent leurs terres et leurs moyens de subsistance".

Allez, nous allons être gentil et croire les affirmations du gouvernement chinois. Mais, il serait que l'exception qui confirme la règle.
En effet, que vont faire les grands propriétaires terriens brésiliens au Mozambique ?
En sachant que chez eux, ils paient des tueurs pour liquider les leaders paysans, cela, m'étonnerait qu'ils ne fassent pas la même au Mozambique où des populations risquent d'être déplacées.
Sans compter la destruction de l'environnement que cela va engendrer.

(source : Planète 89)

Mozambique : des terres cédées à de grands proprios brésiliens
Par Global Voices Online | En français | 21/08/2011 |

Le gouvernement du Mozambique est en train de concéder l'usage de six millions d'hectares de terres, soit l'équivalent des deux tiers de la superficie du Portugal, afin que de grands exploitants agricoles brésiliens cultivent du soja, du coton et du maïs dans le nord de ce pays africain, dans les provinces de Niassa, Cabo Delgado, Nampula et Zambézie.

Cela avec l'intention de tirer profit de l'expérience brésilienne dans le Cerrado, où, à partir des années 60, la frontière agricole a progressé vers l'intérieur, avec l'élevage extensif et les grandes plantations de soja.

Au Brésil, cette progression de l'élevage vers l'intérieur a entraîné la destruction de 80% du Cerrado, qui est considéré comme la savane la plus riche du monde en biodiversité. La dégradation de ce biome, qui couvre un quart du territoire brésilien, vient recouvrir et polluer les principaux bassins versants du pays, qui se situent justement dans cette région, considérée comme le château d'eau du Brésil.

(...) L'agrobusiness brésilien, basé sur l'épuisement des ressources naturelles, envisage maintenant d'exporter son modèle insoutenable de semences génétiquement modifiées, d'utilisation dégradante du sol et de grands domaines exploités aux dépens d'un modèle de réforme agraire ayant échoué. En 2006, le site Reporter Brasil indiquait déjà une nouvelle voie pour la frontière agricole brésilienne :

« La rapide dégradation du sol est un exemple [de pertes irréversibles dans la région, ndlr]. Selon un rapport de Conservaçao Internacional, la culture traditionnelle du soja, comme elle est pratiquée dans le Cerrado, entraîne la perte de près de 25 tonnes de sol par hectare chaque année. Si des techniques de conservation, comme le labour minimal, étaient employées, ce chiffre pourrait être réduit à 3 tonnes par an. »

Et, voilà, mes trois chers lecteurs, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.






mardi 23 août 2011

Salut aux âmes ébouriffées par la grandeur de notre président national. Croyez-moi, vous n'êtes pas les seuls, sa femme aussi est en pâmoison.

Décidément, ce Dominique Strauss Kahn a des moyens que nous n'avons pas. A peine libérer, son retour en France est annoncée en France par "ses" camarades socialistes.
Certains s'en réjouissent et à mon avis, plus nombreux sont ceux à qui cela ne fait pas plaisir.
En tout cas, c'est sûr, il va repointer son museau.
Va-t-il se mêler de la présidentielle ?
Certainement.
Le problème qui se pose, en sachant que du peuple, il en a rien à foutre et que tous le savent en France.
De plus, deux images, désormais le marque, la première, FMI égal misère pour le peuple, la deuxième, sérial abuseurs de faibles femmes.
Ces deux images qui lui collent à la peau colleront à la peau du parti socialiste, si, jamais, il intégre leur équipe pour la campagne et qu'il lui est promi un poste éminent dans leur futur gouvernement.
Au point que le candidat socialiste puisse en perdre les élections.
Ce type a été innocenté, mais, il n'est pas innocent.
Je crois que l'on va bien rigoler avec le retour de Strauss Kahn. Et, encore à mon avis, les socialistes ont du mouron à se faire.
Parce qu'entre sa politique et celle de sarko, il n'y a pas l'épaisseur d'une feuille à rouler les cigarettes.
Ce n'est pas tant que l'effet Strauss Kahn dont la notoriété était d'ailleurs toute fabriquée, poussera les électeurs à voter à droite lors du deuxième tour, par contre s'abstenir, pourrait être leur réponse.
Au premier tour, évidemment, ils se reporteront massivement entre Eva Joly et Mélanchon. Au deuxième, avec l'autre dans le futur gouvernement, c'est mort.
C'est bien pour cela que les électeurs à qui sa futur implication dans le futur gouvernement socialo ne sera pas demandé, doivent se porter le plus possible sur la candidature Arnaud Montebourg qui est le seul à tenir un discours non seulement original et intéressant.
Justement, pour dire au parti socialiste, "Vous devez tenir compte de notre opinion, nous ne voulons pas de Strauss Kahn".
En tout cas, cela sert d'avoir de l'argent et dans son cas, c'est beaucoup.
Mais, passons parce que vous savez bien, mes trois chers lecteurs, que je n'ai jamais apprécié le personnage, sa suffisance et sa certitude de l'impunité.
Ce sont ces gens-là qu'il faut combattre partout où il se trouve.
Demandez à sarko, il est train d'en virer un alors que lui même a une âme de dictateur.
Paradoxal, non ?
En tout cas, les problèmes des dictatures moyen orientales ont un effet inatendu en Birmanie. La junte discute désormais avec l'opposante

"Aung San Suu Kyi a rencontré le président birman
LEMONDE.FR avec AFP | 19.08.11

L'opposante birmane Aung San Suu Kyi va rencontrer, vendredi 19 août et pour la première fois, le nouveau président "civil" Thein Sein, a annoncé un responsable gouvernemental, au moment où le régime semble chercher à améliorer ses relations avec elle.
L'opposante birmane Aung San Suu Kyi a rencontré, vendredi 19 août et pour la première fois, le nouveau président "civil", Thein Sein, a annoncé un responsable gouvernemental, au moment où le régime semble chercher à améliorer ses relations avec elle

Prudents, ces généraux birmans, même, si, ils ne vont rien lâcher et leur geste est juste pour amuser la galerie occidentale.
Remarquez, vu que l'Otan se prend pour zorro, mieux vaux faire semblant de lâcher du lest avant qu'elle ne lâche ses missiles.
Car, au mieux, leur armée n'est bonne que pour le peuple. Leur armement doit être au même niveau que celui de kadhafi, pauvre en qualité, grand en quantité pour le léger et obsolète ou inutilisable pour le pointu. Même, si, de pointu, l'armée birmane n'en possède pas.
Une bonne target, finalement, comme diraient les américains.
Tous les ingrédients sont là pour faire un coup à la libyenne.
Du coup, il font semblant et s'arrangent pour que tous les médias publient leur bonne relation avec Aung San Suu Kyi.
Allez, messieurs les américains ou l'Otan, deux, trois missiles tomawaks et les généraux iront se réfugier en Chine.
Même plus besoin de débarquer des troupes, c'est comme au flipper. Un, deux, trois, "BOUM !"
Et, cela sera tout pour aujourd'hui, parce que ma pause est terminée et je dois retourner au taf.
A bientôt.
René.

PS : C'est quoi, la règle d'or ?
Une idée idiote concoctée par un personnage qui ne marche que par coup médiatique.
Question : Qui est-il ?

lundi 22 août 2011

Salut à tous les fatigués. Un de vos frères vous salue.

Je dois dire que parfois, je ne comprends pas. En Ethiopie, en période de famine, le gouvernement cède à des compagnies étrangères, des centaines de milliers d'hectare, pour qu'elles pratiquent la culture intensif pour des denrées à destination de leur pays.
De plus, dans une délire mégalomanique, le gouvernement a l'intention de se lancer dans la construction de barrages et de canaux afin de permettre à ces gens-là, d'irriguer les terres.
Mais, mon dieu, pourquoi ne l'a-t-il pas fait pour les éthiopiens eux-même ?
Ils sont trop cons ?
Ils sont trop laids ?
Ils ont un pois chiche dans le cerveau ?
Non seulement, ces barrages vont assécher et saliniser les terres en aval. Mais, cela obligera encore plus les compagnies étrangères a usé et abusé des engrais chimiques. Sans compter les pesticides et toutes les autres saloperies qui finiront par polluer l'eau issue des barrages et les nappes phréatiques.
Sans compter, que les emprunts pour financer ces projets pharaoniques vont alourdir la dette de l'Ethiopie.
A mon avis, le rapport sera tellement disproportionné que les gouvernements successifs n'arriveront pas à la rembourser. Déjà, qu'ils n'arrivent pas à rembourser celle existant présentement.
Alors, ce n'est pas en la multipliant par cent qu'ils y réussiront.
C'est du délire.
Délire qu'encourage évidemment les étrangers intéressés à profiter d'eux.
Il serait peut-être temps d'arrêter de nous bassiner avec le développement durable lorsqu'il n'est même pas possible de bloquer toutes ces industries ou spéculateurs prédateurs.
Plus, on parle de préserver l'environnement, plus, ils s'ingénient à le détruire plus rapidement.
La période qui s'ouvre, sera la pire que la planète aura connue, et, celle-là sera en accélérée.
Même, moi, qui me suis réfugié dans la France profonde, dans une campagne perdue, je peux être rattrapée par des puits d'exploitation de gaz schisteux, et où, irais-je après, vu qu'ils organisent une exploitation prédatrice de l'environnement du Pôle Nord ?
Sans compter, que par exemple, en France, où nous sommes déjà en campagne présidentielle, tout le monde parle de comment, nous allons faire des économies pour cela, ressembler à notre président national.
Mais, personne ne parle des paradis fiscaux, de moraliser la finance internationale, enfin de ce genre de truc.
A part chercher à lui piquer du fric avec une taxe sur les transactions internationales.
Voilà, le fond du discours.
Chercher à les empêcher d'avoir des comportements prédateurs, même pas en rêve.
Car, même, en prenant les socialistes, à part des ponctionements fiscaux sur les hauts revenus, rien, juste, une saine gestion de l'économie de marché, comme, ils disaient à l'époque de Lionel Jospin.
Par contre, là, on peut dire qu'ils ont réussi. Son gouvernement a obtenu la médaille des privatisations.
Après, ça, ils pouvaient dire qu'ils avaient bien géré, vu, qu'ils avaient vendu les bijoux de famille.
Mais, je m'égare, revenons-en plutôt à notre sujet, l'Ethiopie.

(source : Survival International)

"Ethiopie : spoliation de terres en période de famine

Des milliers de personnes souffrent de la famine en raison d’une grave sécheresse qui affecte actuellement le sud de l’Ethiopie, la plus sévère dans cette région depuis ces soixante dernières années. Or, selon une enquête de l’ONG Survival International, de grandes étendues de terres fertiles dans la vallée de l’Omo, au sud-ouest de l’Ethiopie, ont été cédées à des compagnies malaisiennes, italiennes et coréennes, ou sont directement gérées par l’Etat, pour y pratiquer une agriculture intensive d’exportation. Le gouvernement projette, en outre, d’étendre encore à 245 000 hectares la superficie des terres qu’il destine principalement à la culture de la canne à sucre.
Dans cette région, 90 000 autochtones dépendent de leurs terres pour subvenir à leurs besoins. Si, à l’heure actuelle, les tribus de la vallée de l’Omo sont encore épargnées, leur sort reste incertain. En effet, les décrivant comme des « arriérés », le gouvernement entend convertir ces fermiers auto-suffisants, éleveurs et chasseurs en ouvriers agricoles dans les plantations. Nul besoin de préciser qu’en cas d’opposition, les réfractaires seront tout bonnement expulsés. Le projet gouvernemental implique également la construction d’une série de barrages le long de la rivière Omo, dont celui de Gibe III destiné à devenir le plus grand barrage du continent africain. La construction de centaines de kilomètres de canaux d'irrigation, nécessaires à ce projet colossal détournera les eaux dont dépendent les tribus, qui ne pourront plus compter sur les crues annuelles pour cultiver."

Bon, je sais, j'ai déjà parlé de ce qui se passait en Ethiopie ou partout ailleurs en Afrique en ce qui concerne les cessions de terre. Sauf, que c'est l'une des raisons pour lesquelles, je reste dubitatif concernant les écologistes.
C'est vrai, il faut le dire, que leur poids à l'assemblée européenne n'est pas assez important pour pouvoir constater, si, il y aurait changement.
Mais, nous sommes engagé dans une course de vitesse avec tous les prédateurs, et, cette course, nous sommes en passe de la perdre.
Surtout, lorsque, nous avons des présidents comme sarko qui font des annonces bidons et qu'il n'y a rien derrière. Et, en ce qui le concerne l'affaire libyenne ne devrait pas nous rassurer, au contraire.
Mais, passons, parce que je suis fatigué, je sors du boulot, je fais une pause et je reprends jusqu'à ce soir 23 heures.
A bientôt.
René.




samedi 20 août 2011

Salut, à tous les commis de cuisine, cuistots et autres. C'est vrai qu'il fait chaud en cuisine, surtout en période de canicule.

Aujourd'hui, premier repas avec quatre vingt dix couverts et une chaleur d'enfer. Tout à mettre en place, puisque nous faisons les repas dans un village et les servons dans un autre.
Vue formidable, puisque, nous dominons toute la vallée de la Durance.
Sans compter que j'ai mon fils de 18 ans qui est venu, nous donner un coup de main. Ce qui me permet de le voir pendant une semaine. Donc, d'une certaine façon, d'être présent pour lui et lui pour moi.
Alors, je n'entends que de loin, les bruits de la ville et du monde.
Je prends un recul qui me permets de distiller une opinion sans être influencé par l'agitation tyrannique des médias qui s'affolent à notre place.
Comme, si, loin, du monde, les bourses s'écroulaient, non pas dans notre indifférence, mais, sans, que, ni, on le sache, ni, qu'on s'en aperçoive.
Comme, si, nous n'avions pas besoin de tous ces gens-là.
De toute façon, la provence a toujours été une terre de révolte, la seule d'ailleurs qui s'est révoltée lorsque Napoléon III s'est déclarée empereur.
Révolte, qu'il a d'ailleurs réprimée dans le sang à la pointe du sabre de ses dragons.
Encore un qui privilégiait les classes sociales aisées. Comme, notre président national, qui, malheureusement pour lui, ne finira jamais empereur.
Mais, mais, pour le moment, il refuse d'augmenter les impôts de ses amis les riches, tout en les laissant dire dans les médias, qu'eux même, en ces temps troublés, ils sont prêts à faire un effort.
Ils ne parlent pas de solidarité avec l'ensemble des français. Non, ils disent simplement qu'ils sont prêts à faire un effort fiscal sur une durée déterminé, car, ils sont conscient que la conjoncture les oblige à un tel geste.
Et, cela, permettra à notre président d'aller au devant de leur souhait, "Puisque, vous me le demandez, j'irais jusqu'à renier ma parole en accédant à votre souhait".
Alors, que, c'est lui qui les "télécommande".
D'ailleurs, à ce sujet, il y aura certainement un grand effet d'annonce et le résultat sera piètre.
Mais, les riches et sarko auront tenté de nous faire croire qu'ils font un effort.
A pleurer de rire, tellement, c'est prévisible.
(source : Eco89)

Le patron de la BNP soutient l'appel à payer plus d'impôts
Par Zineb Dryef | Rue89 | 19/08/2011

Michel Pébereau, le président de BNP Paribas et proche de Nicolas Sarkozy, est favorable à la hausse des impôts pour les plus riches. Dans un courte déclaration envoyée à Rue89, il exprime son soutien à l'idée lancée par Maurice Lévy dans Le Monde :
« Le pays traverse une période difficile. Il est impératif d'accélérer le redressement des finances publiques par un programme d'ensemble visant à maîtriser la dépense et les déficits et comportant un accroissement de l'impôt pour une période déterminée.
Dans ce cadre, il est équitable que la fiscalité demande aux plus fortunés un effort plus important qu'aux autres. Je soutiens donc l'idée en ce sens du président de l'AFEP Maurice Lévy. »

Par contre, je dirais, tiens donc, nous ne sommes pas les seuls au monde à connaître des températures aux variations capricieuses, canicule au sud et puies constantes au nord. Les chinois aussi :

(source : le Quotidien du peuple)

"Mise à jour 21.08.2011
Chine : de fortes pluies et la canicule continueront à s'abattre ces trois prochains jours
Le Centre météorologique national (CMN) a annoncé samedi que de fortes pluies s'abattraient sur le nord-ouest et le sud du pays dans les trois prochains jours.
De fortes pluies sont attendues dans le nord-ouest de la Chine, la province du Shanxi, les régions le long du fleuve Jaune et de la rivière Huaihe, selon un communiqué publié sur le site Internet du CMN.
Des pluies torrentielles frapperont l'ouest du bassin du Sichuan, le sud de la province du Sichuan, l'est des provinces du Gansu et du Henan, le nord des provinces du Jiangsu et de l'Anhui, ainsi que les régions le long des rivières Yangtsé et Huaihe.
Par ailleurs, la canicule persistera dans le bassin du Sichuan, la municipalité de Chongqing, les provinces du Guizhou, du Hubei et de l'Anhui, ainsi que les régions au sud de la rivière Yangtsé. Les températures pourraient dépasser les 40 degrés Celsius dans certaines régions méridionales du pays."

Comme nous en France.
Et, croyez-moi, ce n'est pas une consolation.
Bon, sur ce, je vous laisse pour prendre une douche avant la reprise du travail.
A bientôt.
René.





(blog à finir)

Bon, les médias nous rabattent les oreilles avec les cours boursiers. Mais, que les bourses chutent, que les spéculateurs perdent une bonne foi pour toute leur fric pourri, que les politiques arrêtent de nous bassiner avec tous le fric qu'ils sacrifient pour sauver tous ces salopards, qu'elles disparaissent une bonne foi pour toute. Parce que y'en a marre, mais, vraiment marre !
Que les valets de la finance comme sarko arrêtent avec leurs discours mielleux et pontifiants. Cela pue trop le mépris qu'il nous porte.
Que la Société Générale disparaisse, j'en ai rien à "Foutre !"
C'est leur système, c'est leur Europe.
Un système, une europe qui n'a pas de considération pour le citoyen.
Que tout cela se casse la gueule, et, j'espère que cela va se casser la gueule, eh, bien, me convient parfaitement.
Ils ont voulu être les valets de la finance. Sans doute, cela leur rapporte quelque chose, puisqu'ils se vautrent en faisant la roue pour attirer l'attention de ses représentants.
Sauf que maintenant, ils n'ont plus rien à vendre pour leur faire plaisir et, même, plus d'argent à leur donner ou prêter, si, vous voulez.
Ils ont tous vendus et tout donner.
Maintenant, la finance n'a plus rien à attendre d'eux. Elle n'a plus qu'à les éliminer et prendre leur place. Elle n'a plus besoin d'eux.
Bon, c'est tout pour aujourd'hui. Pas le temps, à cause du boulot.
René.

vendredi 19 août 2011

Peu de mots, aujourd'hui. Comme, chaque année, je vais travailer pour deux copains comme garçons de cuisine pendant une semaine.
En attendant, les bourses vont plonger.
Est-ce important ?
Qu'ils perdent de l'argent, est-important ?
Question :
Est-ce que nous avons besoin d'eux ou eux de nous?
A mon avis, il n'y a que nos politiques qui ont besoin d'eux.
Pourquoi ?
Parce qu'ils sont tous pourris, même les socialistes.
Et, voilà, j'ai fini, je suis à Longo Maï et bien content d'y être.
René.

mardi 16 août 2011

Salut à la décroissance. Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité !

Ah, que voilà, une opinion intéressante, venant d'un suisse, d'autant plus précieuse. Marc Faber ne craint, ni, une faillite des banques, ni, celle des états.
Une bonne occasion, d'après lui, pour rebâtir quelque chose de nouveau.

(source : le Courrier International)
11.08.2011 | Propos recueillis par Daniel Eskenazi | Le Temps
Docteur Catastrophe
Marc Faber est un analyste et entrepreneur suisse connu pour ses prédictions catastrophistes – il est surnommé Dr. Doom. Il tient un blog et publie une lettre financière mensuelle : "Gloom, Boom & Doom".

"Il faut laisser les Etats et les banques faire faillite"
Le gourou de la finance zurichoise Marc Faber estime qu'une faillite des banques et des Etats ne signifierait pas la fin du monde mais permettrait au contraire de repartir sur de bonnes bases.

Le Temps : Les marchés ont dégringolé. Comment analysez-vous la situation ?

Marc Faber : Ils sont très survendus à court terme. Je m'attends à un rebond, puis à un nouveau ralentissement dès octobre ou novembre. Le S&P atteindra environ 1 100 points. Le troisième volet du programme d'assouplissement monétaire devrait ensuite être lancé [dit "QE3"].

Le dollar ne cesse de dégringoler. Anticipez-vous sa fin ?

Oui, j'ai toujours pensé que la valeur terminale du dollar était zéro, car le gouvernement, le Trésor et la Réserve fédérale n'ont aucun intérêt à maintenir un dollar fort. Depuis 1913, année de création de la Fed, le billet vert a perdu 97 % de son pouvoir d'achat. Sur le long terme, il a été faible par rapport à la grande majorité des autres devises, tout comme la livre sterling. La fin du dollar ne se produira pas du jour au lendemain, elle sera graduelle.

Croyez-vous aussi à la fin de l'euro ?

Je n'en ai aucune idée, car il s'agit d'une décision politique. Aussi longtemps que l'Allemagne a la volonté de soutenir la Banque centrale européenne et de financer le fonds de stabilité, l'euro survivra.

Aux côtés de la Grèce figurent le Portugal, l'Irlande, l'Espagne et l'Italie. Devrait-on aussi laisser ces pays faire faillite comme vous le préconisiez avec la Grèce ?

Oui, même si cette solution est douloureuse. Cela ne me gêne pas que des assurances, des gouvernements et des banques ayant acheté des obligations de la Grèce perdent de l'argent. Si certains pays font faillite, ils entraîneront les banques avec eux. Mais laissons ces établissements faire défaut tout en protégeant les épargnants. Ce choix est nettement meilleur que de sauver les banques avec l'argent du contribuable et de se rendre compte deux années plus tard que les banquiers reçoivent des bonus record. Il faut punir les banquiers ! Le secteur financier est devenu bien trop gros par rapport à l'économie réelle. A mon avis, le secteur financier doit s'occuper de garder l'épargne des gens et de la prêter à d'autres. Les banques ne devraient pas s'occuper de trading. Est-ce que le sauvetage des banques aux Etats-Unis a apporté quelque chose à l'économie ? Non.

Les nouvelles règles de Bâle III [qui préconisent de tripler la part des fonds propres bloqués par les établissements bancaires des pays du G20 d'ici à 2013] suffiront-elles à stabiliser le système bancaire international ?

Ces nouvelles règles sont bonnes, mais le timing est mauvais. Il aurait fallu les introduire il y a dix-quinze ans et les assouplir maintenant. Or les gouvernements n'ont rien fait durant ces dernières années, et maintenant que les banques devraient être encouragées à prêter de l'argent, ces réglementations les en empêchent. Au lieu d'être proactifs, les Etats sont réactifs. En fait, le problème n'est pas tant le manque de réglementations que les politiques monétaires beaucoup trop laxistes qui encouragent la spéculation. Il serait mieux d'avoir des politiques plus restrictives avec des taux d'intérêt plus élevés que des gouvernements qui ne cessent d'augmenter leurs dépenses et de baisser les taux(...)."

Voilà, je suis d'accord, nous nous dirigeons inéluctablement vers une faillite des états et du système bancaire à leur suite.
Et, ça me fait jouir !
Mais, non, je déconne, prenez pas cela à la lettre surtout.
En tout cas, ils le mériteraient bien, tous à courir après un profit surréaliste, tous à se couvrir entre eux, les politiques, les financiers, les industriels.
Dire que les générations précédentes étaient plus prompts à se révolter. Nous, il doit nous manquer une âme ou un coeur.
Nous sommes prêts à croire toutes les imbécilités que nous sortent les hommes politiques, les scientifiques et les médias.
Bon, vous me direz qu'il y a un progrès, on n'écoute plus les curés, c'est déjà ça. Faut dire qu'ils ont perdu une manne en perdant le chemin de la repentance qui leur permettait de soutirer des sous aux croyants.
Faudrait faire la même avec les politiques et les financiers. Car, ils s'agitent, ils s'agitent tous ces gens-là. Sauf que les financiers, lorsqu'ils font des coups tordus ne demandent pas l'avis des politiques et surtout ne vont pas le leur expliquer. Mais, quand ça foire, ils demandent aux politiques du fric pour leur sortir la tête de l'eau.
"NOTRE FRIC", entre parenthèse !

AFP - 17/08/2011 à 09:43
"Le mini-sommet franco-allemand ne rassure pas les Bourses européennes
es Bourses européennes se sont montrées déçues mercredi matin par les mesures annoncées par l'Allemagne et la France pour renforcer la zone euro, et notamment par le rejet d'euro-obligations pour endiguer la crise de la dette.
Paris a ouvert en baisse de 0,58%, Londres de 0,78%, Francfort de 1,41%, Madrid de 0,59%, Milan de 1,02% et Lisbonne de 0,57%. La Bourse suisse a perdu 0,91%.
"La réunion entre les dirigeants allemand et français a échoué à atténuer les inquiétudes sur la crise de la dette en zone euro", a commenté Ker Chung Yang, analyste pétrole chez Phillip Futures à Singapour."

Ah, là, là, toujours dans la représentation, notre président national. Il ne sait plus où donner de la tête pour sauver ses amis banquiers et préserver ses amis riches.
Par contre, tous les nous autres, il ne nous épargne pas. Ce qui est bête, c'est qu'il ne sait pas trop quoi faire, à part demander à l'Europe de sortir, toujours et encore des fonds pour garantir les prêts et les taux d'intérêts des banques et de la spéculation privée.
Que les taux d'intérêts étranglent les états, n'est pas la question.
La question est de donner l'impression qu'ils font tous bonne figure pour qu'il puisse imposer l'image d'un grand homme d'état.
Peut-être que si, il arrêtait de suriner, "Imposez les riches et ils prendront leurs jambes à leur cou" pour fuir notre douce France, cela serait déjà un bon début.
Par ailleurs, il pourrait arrêter d'intégrer dans son parti des politiques à la limite plus à droite que le Front National qui suintent des relents nauséabonds passéistes, cela aussi, serait bien.
Sauf, que lui, si le docteur Folamour lui assure son vote, il va le chercher.
Mais, passons.
Parce que la crise s'inscrit dans le temps, quelque soit la forme qu'elle prendra. Tout est lié comme disait Napoléon, la grandeur et la décadence.
Mai, non, je mens il n'a jamais dit ça.
En fait, il faudrait un changement radical de mentalité, en tout cas, nous pourrions le penser en lisant les déclarations de Jeremy Graham.

(le Monde.fr)

"18 mai 2011
L’ère de l’abondance est « finie », annonce un gourou clairvoyant de la finance
"Il est temps de se réveiller : l'ère des ressources abondantes et de la baisse des prix est finie pour toujours." Tel est l'avertissement lancé par l’un des analystes financiers les plus respectés de la planète, Jeremy Grantham. A la tête du fonds d'investissement GMO de Boston, gestionnaire de plus de 100 milliards de dollars de capitaux, M. Grantham estime que la croissance de la demande mondiale de matières premières surpasse "à un rythme alarmant" la croissance de l'offre.

Un "changement de paradigme" est très probablement en train d'avoir lieu, "peut-être l'événement économique le plus important depuis la révolution industrielle", avance l'investisseur britannique, célèbre pour avoir anticipé la bulle internet et la bulle des subprimes.

Jeremy Grantham écrit dans la lettre trimestrielle de GMO parue en avril :

"La croissance de la population, la multiplication par dix de la richesse dans les pays développés, et l'actuelle croissance explosive dans les pays en développement ont rapidement entamé nos ressources finies en hydrocarbones, en métaux, en fertilisants, en terres arables et en eau."

La suite de l'argumentaire de M. Grantham tranche radicalement avec le discours attendu de la part d'un financier, aussi avisé et atypique soit-il :

"Le fait est qu'aucune croissance cumulée continue n'est soutenable. Si nous continuons désespérément à nous concentrer sur la croissance, nous allons nous retrouver à court de tout, y compris d'argent. Nous devons substituer la croissance qualitative à la croissance quantitative.
Mais Mme Marché est en train de nous aider, et en ce moment, elle nous envoie la mère de tous les signaux prix. Les prix de toutes les matières premières importantes, à part celui du pétrole, ont décru de 70 % en moyenne en cent ans, jusqu'en 2002. De 2002 à aujourd'hui, ce déclin a été entièrement effacé par une hausse des prix plus forte que celle qui a eu lieu au cours de la seconde guerre mondiale."

Donc, donc, la crise financière actuelle dissimule la future crise des matières premières à venir puisque les industries ne renouvellent leur stock que prudemment.
Pourtant, nous en avons eu un avant goût avec la recherche effrénée de la Chine pour s'assurer un maximum de ressources.
Il suffirait que la situation sur les marchés se calment, que la croissance repointe son nez pour que la course aux ressources redémarre.
Avec tous les drames que provoqueront une raréfaction des denrées agricoles entre autre.
Alors, faut-il prôner la décroissance ?
A mon avis, oui.
Nous aurons l'occasion d'en reparler et je vous laisse sur ce sujet passionnant.
A bientôt.
René.
Salut aux manifestants israéliens. J'espère que vous demandez la justice sociale aussi pour les palestiniens israéliens.

Oh, mon dieu, mais, comment les républicains américains n'entendent pas ce cri désespéré de quelques milliardaires qui appellent le gouvernement à plus les taxer en certifiant que cela ne génera, ni, leurs investissement, ni, les emplois.
Oh, mon dieu, ce cri me vrille dans les oreilles et m'abasourdit, surtout de la part de Warren Buffet.
N'est-ce pas lui qui a déclaré un jour, qu'eux les riches avaient gagné la guerre contre les pauvres, entendu comme concernant, même les classes moyennes et la démocratie protectrice et contraignante contre leurs intérêts.
Mais, voilà, si, ils veulent continuer à gagner de l'argent, il est nécessaire qu'il y ait de la valeur ajoutée quelque part.
Si, la croissance n'est plus.
Si, la consommation n'est plus.
Si, il n'y a plus de classe intermédiaire entre les pauvres et les riches.
Si, si, si.
Eh, bien, il font de l'argent dans le vide.
Et, le système selon, son aveu même, qu'ils ont construit au détriment des états s'effondre.
Et, ils se retrouvent avec des révoltes populaires qui pourraient être sanglantes.
Mauvais pour les affaires....au final.
En tout cas, les républicains devraient finir par réfléchir, sans se bloquer sur leur désir de virer Obama en faveur d'un de leur candidat.
Après, tout, les républicains, au lieu d'avoir des postures partisanes, devraient plus réfléchir au bien des Etats-Unis et cela passe finalement par le bien du peuple américain..aussi.

(source : Liberation en ligne)

Hier à 15h45
"Warren Buffet: «Taxez-moi!»
Dans une tribune publiée par le New York Times, le milliardaire américain a appelé lundi les parlementaires à augmenter les impôts pour les plus riches.
Warren Buffet (AP)
L'investisseur milliardaire Warren Buffett a appelé lundi les parlementaires américains à augmenter les impôts pour les plus riches afin de réduire l'énorme déficit budgétaire du pays, affirmant que cela ne nuira ni aux investissements, ni aux emplois.
Dans une tribune publiée par le New York Times, le patron du fonds d'investissement Berkshire Hathaway propose une hausse d'impôts pour les Américains dont les revenus dépassent au moins un million de dollars par an, et une hausse encore plus élevée pour ceux qui gagnent plus de 10 millions de dollars annuels.
"Nos dirigeants ont appelé à +un sacrifice partagé+. Mais quand ils ont fait cette demande, ils m'ont épargné. J'ai vérifié auprès de mes amis méga-riches pour savoir à quels sacrifices ils s'attendaient. Eux non plus n'avaient pas été touchés", écrit le milliardaire.
"Pendant que les pauvres et les classes moyennes combattent pour nous en Afghanistan, et pendant que de nombreux Américains luttent pour joindre les deux bouts, nous, les méga-riches, continuons à bénéficier d'exemptions fiscales extraordinaires", poursuit-il.
M. Buffet explique que son taux d'imposition par l'Etat fédéral représentait 17,4% de ses revenus imposables l'an dernier, alors que celui des 20 personnes travaillant dans son bureau était compris entre 33 et 41%.
Le taux d'imposition des riches était "beaucoup plus élevé" dans les années 1980 et 1990, et pourtant près de 40 millions d'emplois ont été créés entre 1980 et 2000, rappelle M. Buffett.
"Vous savez ce qui s'est passé depuis: des impôts plus bas et beaucoup moins de créations d'emplois".
"Les gens investissent pour gagner de l'argent, et une imposition potentielle ne les a jamais fait fuir", écrit-il encore."

Eh, oui, notre président national devrait en prendre de la graine, lui, qui veut faire peser les conséquences de la dette, qu'il a lui même accentué, par l'ensemble des français en préservant les riches.
Tout ce qu'il va réussir à faire, c'est à détruire ce qu'il reste des services publics. Sauf, que la dette étant tellement "énorme", que, même comme ça, il n'arrivera pas à la réduire. Par contre, il aura paupérisé un maximum de français et creusé un fossé qui pourrait s'avérer dangereux entre les classes aisées et les autres.
Finalement, je l'avais dit un jour, il est le pire président que la France ait connu et sans doute, un être dangereux.
Sans doute, faudra-t-il faire attention lors de l'élection présidentielle de 2012 à de possibles fraudes électorales, vu, que ce n'est pas le genre de personne à accepter de perdre le pouvoir.
Et, nous verrons, si, nous sommes ou pas dans une république bananière.
Mais, cela sera pour 2012, pour l'instant, nous sommes en 2011.
En attendant, sur notre planète bleu, des évènements formidables se passe. Par exemple, enfin, les astronautes pourront se beurre la tronche dans l'espace.
Mais, attention, l'ivresse ne sera pas une excuse pour tamponner une planète, vu, que leur véhicule coûte plus cher qu'une simple voiture.
Et, rendez-vous compte, si, jamais, ils rencontrent une espèce hostile, ils pourront faire comme les colons ont fait aux indiens des Etats-Unis ou les français aux kanak de Nouvelle Calédonie, ils pourront enfin leur offrir de l'alcool pour leur voler leur planète.

(source : 20 minutes.fr)

"On peut maintenant boire de la bière dans l’espace!

Bonne nouvelle pour les astronautes amateurs de houblon. Il est maintenant possible de boire de la bière dans l’espace. C’est une brasserie australienne qui a créé la première bière capable de supporter la pression atmosphérique. Plusieurs types de bières ont été testés avant de trouver la bonne. Les principaux points travaillés? Les bulles et le goût. «Nous avons du faire une bière corsée pour contrer le manque de sensibilité au goût dans l’espace», explique le directeur général de l’opération. Pour l’instant, les essais de consommation ont été concluants."

Je vous l'avais dit, mes trois chers lecteurs, on n'arrête pas le progrès.
Avec, cette bière, c'est sûr, les extra-terrestres n'ont qu'à bien se tenir. Une fois, KO et malades, on leur balance une ou deux couvertures infectées par la variole, et, ils vont tous crever comme des mouches nous laissant leur planète pour nous y installer au nom de Jésus Christ.
Ca, au moins, c'est une vraie bonne nouvelle, plutôt que le feuilleton interminable des crises boursières, qui va durer autant que "Dallas, un monde impitoyable".
Mais, plus sérieux, à quand une cuite en orbite, dans l'espace pour multimilliardaires ?
Cette idée, je vous l'affirme, c'es un scoop pour un petit ambitieux qui voudrait monter d'un seul coup en haut de l'échelle sociale.
Mais, passons.
Par contre, une dernière chose avec cette dernière question, "Sommes-nous encore utiles dans leur société ?"
Réfléchissez et envoyez-moi vos commentaires.
A bientôt.
René.

PS : Un problème sanitaire à venir ou déjà présent. (source : les Inrockuptibles, n° 816 du 20 au 26 juillet 2011, p 55 à 59)

"Nous retrouvons Jacques Poirier (...) Ce vétérinaire microbiologiste de 60 ans fut un homme clé de Sanofi-Adventis, le géant français du médicament. Il s'occupait de la sécurité biologique des médicaments.
(...) Jacques Poirier a voulu lui aussi dénoncer un médicament qui pouvait faire du mal au consommateur. (...) Ce médicament, c'est le Lovenox (la première autorisation de mise sur le marché date de 1987 et son fabricant était Aventis, anciennement laboratoire Rhône Poulenc). Cet anticoagulant se fabrique avec une hormone que l'on trouve dans des intestins de vache, de mouton, ou de cochon : l'héparine.
En 1996, quand éclate la crise de la vache folle, interdiction absolue d'extraire l'héparine des intestins de vache. Tout ce qui en sort est peut-être infecté par le prion, cette protéine tueuse née de l'alimentation des bovins par des farines fabriquées à partir de cadavres d'animaux.
Mais, Sanofi-Aventis doit fournir des héparines à des millions de patients. Le marché génère un chiffre d'affaires d'un peu plus d'un milliard d'euros par an et il n'est pas question de le réduire.
Une solution consiste à acheter l'héparine en poudre en Chine, qui possède un inépuisable réservoir d'intestins de cochons. Mais, Jacques Poirier avertit : les héparines chinoises ne sont pas sûres !
Les fournisseurs chinois achètent les intestins dans des abattoirs qui mélangent vaches et cochons."

Sanofi-Aventis affirme que les chinois prennent des précautions...depuis peu.
Est-ce sûr ?



lundi 15 août 2011

Salut à tous les nous autres qui croyons que les animaux ont une âme.

Alors, il paraît que la crise qui dure depuis 2008 est comme Vishnou. Elle génère des avatars. L'une apparait, semble disparaître, pour aussitôt laisser la place à une autre.
Quel dommage pour les peuples de l'occident pour lesquels l'apparition et l'utilisation des ces avatars signifie la fin de tous leurs acquis sociaux.
Parce qu'il semble évident que tant que, les codes du travail, le temps de travail légal n'auront pas disparu, ainsi qu'à venir les baisses des pensions de retraite et des salaires, nos gouvernants laisseront faire les places financières.
Eh, mes trois chers lecteurs, les peuples ne sont pas responsables, mais, à travers, leurs gouvernants inféodés à ces même place financières, ils nourrissent l'hydre qui supprime au fur-à-mesure leurs droits.
Vous ne me croyez pas, mes trois chers lecteurs ?
Alors, dites-moi, pourquoi nos gouvernants font des annonces de moralisation et de cadrage de la spéculation internationale et dans les faits ne font rien.
Oui, dites-le moi.
Ils se réunissent tous en G8 en G20, en G truc et rien n'apparaît à l'horizon, à part la suppression de nos droits. Parce que nous sommes traités au final comme les coupables au lieu qu'eux le soient.
Est-ce que cela ne prouve pas la collusion réelle qui existe entre eux et les marchés financiers, eux et les multinationales qui jouent contre nous.
Lorsque, nous perdons un droit ici et là, eux, en gagnent un nouveau pour nous asservir, pour nous soumettre.
Tout le reste, c'est du baratin comme en produit à la tonne, notre cher président national qui tous les jours se regardent dans le miroir comme la belle mère de Blanche Neige en lui demandant, "Existe-t-il quelqu'un de plus intelligent que moi ?"
Et, le miroir de répondre, "Non, à part toi, personne n'est plus intelligent que toi !"
Du coup, notre cher président grimpe sur le mont Etna pour se jeter dans la bouche du Volcan, parce que comme Narcisse, il n'a pu être plus intelligent que lui-même.
Mais, arrêtons-là, les digressions pour en revenir à notre sujet dans la rubrique, "Je ne suis pas tout seul à penser ce que je pense".

(source : Challenge)

Entretien avec Daniel Lebègue.
Comme Michel Camdessus ou Jacques de Larosière, Daniel Lebègue fait partie de ces grands serviteurs de l'Etat à la retraite qui ne s'ennuient pas. A 68 ans, l'ex-directeur du Trésor (1984-1987) et ex-directeur de la Caisse des dépôts (1997-2002), avec qui nous déjeunons,

(...) "Mais Daniel Lebègue, qui a l'élocution lente et précise, manie aussi l'acide. Et cela m'a réveillé pour de bon. Notre énarque est un indigné. Et son courroux concerne nos mœurs politiques. La vraie gouvernance. Comme président de l'ONG Transparence International il est à l'origine de la procédure dite des « biens mal acquis » qui cause tant de soucis à certains présidents de la Françafrique dont nos gouvernants ne cessent de répéter qu'elle n'existe plus. Mais l'indignation de Lebègue porte aussi sur notre façon à nous de faire de la politique. En commandant sa crème brulée, il nous réveille pour de bon en dressant un tableau sans concession de nos chers parlementaires. Absence d'encadrement du lobbying, cumul de mandats, conflits d'intérêts à tous les étages ; le parlement français, qui compte 60 avocats d'affaires en exercice, est selon lui nettement en dessous des normes d'une grande démocratie donneuse de leçons. Pour la justice, ce n'est guère mieux, avec un parquet aux ordres de la Chancellerie et un gouvernement qui a tenté, sans succès il est vrai, de supprimer le dernier contre-pouvoir que sont les juges d'instructions. Ce cordon entre le parquet et le politique, une spécificité française que le Conseil de l'Europe a condamné, Lebègue veut le couper pour de bon. Son idée est de réformer la constitution en créant un poste de Procureur général de la Nation. Désigné à la majorité qualifiée des deux chambres pour un mandat non révocable et non renouvelable, cette personnalité indépendante remplacerait le Garde des Sceaux comme patron du parquet. Idée un peu folle ? Peut-être pas. Transparence International à bien l'intention de demander à chaque candidat à la présidentielle de 2012 de s'engager sur la question. Le simple fait de refuser pourrait faire mauvais genre.
Après l'addition- que je paye au nom de l'indépendance de la presse- l'indignation de notre homme monte encore d'un cran. On parle de la finance cette fois. Et l'ex-DG de la BNP s'étrangle presque du fait que les engagements pris par le G20 n'ont pas encore été tenus. Bien sûr les bilans des banques sont un peu plus surveillés. Mais l'essentiel est précisément en dehors du bilan. Hedge funds, marhés dérivés et places off-shore, qui devaient être encadrés, ne le sont toujours pas. Et tout risque de sauter. Pour Lebègue, il n'y a plus de filet. Les Etats, au bord de la faillite, ne seront plus là pour sauver la planête des folies de la finance. Le prochain krach sera le « big one ».
Sur ce on retourne observer le sauvetage de l'euro.

Pierre-Henri de Menthon, directeur délégué de la rédaction de Challenges."

Alors, mes trois chers lecteurs, qu'en pensez-vous, nous ne sommes pas tous seuls en ce bas-monde, finalement.
Et, ce ne sont pas les socialistes qui vont me démentir, vu, qu'à son époque de ministre de l'économie, Strauss Kahn était cul et chemise avec les puissants de notre cher pays. Sans parler du meeting de Martine Aubry où on a retrouvé Bernard Tapie en train de faire l'accueil des militants. Il y a là, un mélange des genres qui ne présage rien de bon pour la suite des évènements.
En tout cas, je suis d'accord avec Daniel Lebègue, il faut moraliser ce qui ressemble de plus en plus aux écuries d'Augias, l'assemblée européenne, les différentes assemblées représentatives du vote populaire dans nos pays.
Lorsque, cela sera fait, le lobbying aura le coup tordu.
Mais, en attendant, et pour finir, une news qui me fait tordre de rire de l'AFP. Je vous la livre en direct.

15/08/2011 à 17:07
"Les Bourses temporisent avant le sommet Sarkozy-Merkel".

Et, cela, sera tout, mes trois chers lecteurs. Mais, n'êtes-vous pas comme moi, mort de rire.
Et, sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.

dimanche 14 août 2011

Salut aux compagnons du coquelicot. Continuons de lutter pour la fin de l'espèce humaine. Notre seul regret sera de ne pas avoir eu le temps de visiter les étoiles.

Eh, oui, c'est trop tard, une enquête sur les agences de notation, il fallait le faire avant. Surtout, que lors de la dernière crise des subprimes, elles se sont plantées gravissimo. Sans compter qu'elles ont donné leur aval à des créances pourries pour que "certains spéculateurs" gagnent un maximum d'argent.
Trouvons à qui ses notes dévoyées ont servi et l'on saura qui les dirigent en sous-mains. Car, ce n'est pas, maintenant, que les agences de notation ont ruiné l'Europe et menace les States, qu'il faille se réveiller.
C'est avant qu'il fallait se poser les bonnes questions.
Par exemple, "Est-ce qu'un outil "privé" au service des marchés est là pour faire de l'angélisme ou servir les marchés spéculatifs ?

AFP-14/08/2011 à 09:18
"Le gendarme boursier américain enquête sur les méthodes de Standard & Poor's
e régulateur boursier américain, la SEC, a lancé une enquête sur les méthodes de calcul employées par l'agence Standard & Poor's (S&P) pour abaisser la note de solvabilité des Etats-Unis, a affirmé samedi le Wall Street Journal."

Donc, la SEC se donne la moyens et pour savoir les dessous des agences de notation, elle utilise la bonne vieille méthode....la délation, dirons-nous, citoyenne.
Peut-être, va-t-elle passer au peigne fin également et en toute discrétion, les avoirs des employés de ces agences de notation. Les faire suivre à la trace, écouter leurs communications et, Oh, mon dieu, découvrir le pot au rose !
C'est-à-dire, "les agences de notation n'ont qu'une seule déontologie, servir la spéculation internationale" et pas seulement l'américaine.
Quoique ?

(source : le Figaro)

USA: la Sec lance un nouveau site
AFP Publié le 12/08/2011 à 19:13
Le régulateur boursier américain (SEC) a commencé à mettre en oeuvre de nouvelles règles récompensant les informateurs ou "lanceurs d'alerte" vendredi et a lancé à cette occasion un site internet visant à faciliter la dénonciation de fraudes sur les marchés financiers.
Le site www.sec.gov/whistleblower fournit des informations sur la façon de signaler un délit ou de déposer une plainte ainsi que les conditions requises pour recevoir une récompense, précise la SEC dans un communiqué. L'organisme avait adopté ces mesures lui permettant de rémunérer les individus révélant "délibérément" des infractions aux lois et règlements, avec des "preuves suffisantes" le 25 mai."

Eh, oui, Eh, oui, ils ont raison, il faut tout vérifier. On ne peut se fier à personne, surtout, que grâce à Reagan, Bush senior, Bush junior, Thatcher, il n'y a plus de règle.
Notre président national veut nous faire la même en France. Sauf, que les conséquences des dérégulations commises par la Banque des quatre, oh, un lapsus, en fait, c'est la bande des quatre, a failli faire exploser le système.
Du coup, le sarko, il est obligé de mettre la pédale douce, ce qui ne l'empêche pas d'avoir ou de s'approprier les idées à la con, comme, si, il en pleuvait dans un caadie, pour utiliser une image moderne du self made man.
Mais, non, je rigole.
Oh, là, là, si, on ne peut même plus rire, maintenant, euh, euh, ça, y'en être vraiment pas drôle.
En fait, faut mieux les petites combines africaines. Elles pompent l'état camerounais par exemple, mais, elles ne risquent pas de ruiner la planète.
Peut-être, faudrait-il revenir aux vieilles méthodes, après tout, cela avait son charme. En évitant quand même de se retrouver devant un tribunal comme Jacques Chirac.
Ou alors, modifier la Constitution pour se protéger.
Oups, il paraît que Sarko l'a fait concernant sa personne. Intouchable, il serait, même, si, il n'est pas réélu. Encore que, cela puisse une rumeur malveillante.
A vérifier !

(source : le Quotidien du Peuple en ligne)

Mise à jour 12.08.2011 10h10
"Cameroun : 15 000 agents et fonctionnaires fictifs recensés en 2010

Un recensement effectué en 2010 dans la fonction publique camerounaise a permis de détecter 15 000 agents et fonctionnaires fictifs, a révélé jeudi à Xinhua un cadre au ministère camerounais de la Fonction publique et de la Réforme administrative.
Ces personnes émargeaient à hauteur de 8 milliards de Fcfa (16 millions de dollars) par mois dans les caisses de l'Etat, selon Emmanuel Sawé, chargé de mission dans la région du Littoral ( centre ouest du Cameroun) pour vulgariser la nouvelle procédure de recensement en ligne d'agents publics entamée le 10 août et devant s'achever le 10 octobre 2011.
Selon cette procédure de recensement, chaque fonctionnaire pourra remplir un formulaire disponible sur un site Internet destiné à la mise à jour permanente du fichier des personnels de l'Etat.
Une opération d'assainissement de la gestion des finances publiques lancée courant 2009 a déjà permis d'attraper "15 000 individus qui ont touché, sans raison, l'argent de l'Etat", selon le ministère de Finances. Le montant total des sommes ainsi soutirées malhonnêtement du trésor public à travers diverses primes non méritées et autres bulletins de solde fictifs, n'avait pas été révélé à la presse."

Alors, qu'est-ce que vous en pensez mes trois chers lecteurs. Ah, d'accord, des gagnes petits. Vous me faites quoi, là ?
Vous me la faites dans le mépris. Mais, eux, au moins, ils n'iront pas en prison, et, même les ministres qui ont mis tous ces gens, leur clientèle à des postes fictifs, c'est normal.
C'est pareil au Gabon et la même dans toutes l'Afrique.
Une histoire de culture en somme.
De culture des peuples premiers, comme dirait Jacques Chirac.
Mais, je sens que je vous ennuie.
Alors, bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.

samedi 13 août 2011

Salut aux philosophes encore libres de ce monde. Je parle de ceux qui ne passent pas à la télé.

Quoi, qu'est-ce ?
Je lis, sorti du contexte de l'article, publié par Challenge en ligne, "Pourquoi la Société Générale est la cible des marchés", de Jérôme Lefilliatre du 11-08-11.
Ceci :

"Une activité très européenne

Autre facteur d'explication, le cœur de l'activité de la Société Générale est en Europe, là où la crise de la dette est la plus aigüe. "Elle est exposée sur la Grèce avec Geniki, sur les pays de l'Est, et sur des marchés moins matures que la BNP", ajoute Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Meeschaert.
Au final, bien que BNP Paribas soit davantage exposée qu'elle aux dettes des pays fragiles de la zone euro, c'est bien la Société Générale qui est la cible première des attaques spéculatives. "Si vous pensez, comme les marchés actuellement, que les obligations d'Etat françaises sont devenues des actifs quasi-toxiques, commente Michel Fleuriet, vous visez d'abord la banque qui semble la plus fragile..."

Et, j'apprends donc que "les obligations d'Etat françaises sont devenues des actifs quasi-toxiques", pour reprendre les termes de Michel Fleuriet (professeur gestion-finance à l'université Paris-Dauphine).

Mon dieu, mon dieu, mais, il faut absolument que j'annonce cela à un ami trader à moi. Parce que, cela va faire un foin du diable, tous les cons qui ont investis dans ces machins vont perdre du pognon et moi, avec mon pote, nous allons peut-être en gagner, si, l'on s'y prend bien.
Et, là, c'est pas une rumeur, y'a un mec super calé qui l'a dit.
Après, il sera toujours temps de s'expliquer sur une phrase sortie de son contexte.
Et, si, le mec est connu, c'est sûr, ça va marcher d'enfer !
Quelques coups de téléphone à des journalistes, sans en avoir l'air et les laisser mariner. Attention, en leur faisant croire que l'imminence de la chose en fera un scoop, d'enfer, lui aussi. Attendre un début d'agitation à la bourse, genre affolement général qui courre sur une rumeur logique, "Si, obligations devenues toxiques, baisse de la notation triple A de la France".
Et, c'est parti.
Bon, comme, nous sommes des petits, soit, on profite de l'arrivée massive des spéculateurs, soit, par l'intermédiaire de mon ami, nous trouvons des partenaires qui nous apportent la puissance de feu.
Et, voilà, le tour est joué, "JE SUIS RICHE !"
Euh !!!!!
Sauf, que, j'avais oublié un truc, mon ami trader avait omis de me spécifier un truc, c'est qu'il a investi tout mon pognon en obligations d'Etat à la suite de ma demande qu'il me trouve un placement pépére sans risques.
Malheureusement, dans le feu de l'actionEt, lui aussi, l'avait oublié.
"JE SUIS RUINE !!!!"
Et, maintenant, en plus, je dois un tas de pognon !
Mais, où est le vingt cinquième étage de la Tour Montparnasse que je puisse m'y jeter avec délectation en oubliant à jamais que mes enfants vont être obligé d'émarger à l'aide sociale, au RSA !
Et, c'est ainsi que le rez de chaussée de la Tour Montparnasse vit s'entasser des monceaux de cadavres qui servirent d'engrais à des plantes, non seulement sans Ogm, et, sans pesticides.
Fin de l'histoire.
Alors, vous avez apprécié, mes trois chers lecteurs, l'art et ma manière de mettre en scène un krach financier ?
Non, pas vraiment, décidément, vous avez pas d'humour, ou, alors, vous l'avez dans les chaussettes.
Mais, passons, parce que, il faut bien un coupable, du moins en France ou en Europe. Si, nos dirigeants ne le sont pas, c'est parce qu'ils sont mal soutenus. Et, au dessus, d'eux, qui, y-a-t-il, évidemment, le président de la Banque Centrale Européenne, Jean-Claude Trichet.
Eh, bien, moi, mes trois chers lecteurs, si, l'Europe veut faire un geste fort en direction des marchés pour leur faire comprendre que la fête est finie, serait de le virer !
Et, oui, à mon avis, il est obsolète, d'une autre époque, un de la génération Reagan.
Lui, son credo, c'est les marchés, les marchés et encore les marchés.
Sauf, que les marchés ne sont pas la croissance. Alors, de sauver les spéculateurs, la BCE ferait bien de s'occuper d'adopter un plan quinquennal de relance industrielle pour les pays européens.
Après, tout, il n'y a qu'à laisser les spéculateurs jouer à touche pipi dans les bourses. L'Europe a autre chose à faire.
Et, pour ce faire, et pour la première fois, je vais faire un compliment concernant Ségolène Royal, il faut reprendre ses sept propositions.
Mais, quelles sont-elles ?
Alors, mes trois chers lecteurs, faites un effort et allez voir sur le net. En tout cas, je les approuve à 100%.
Une fois, n'est pas coutume, comme le dit la sagesse populaire.
Et, sur cette maxime d'une stupéfiante sagesse populaire, je vous souhaite bien le bonjour chez vous.
René.

PS : Et, si, les déréglements mentaux qui provoquent la schyzophrénie devaient être étudiés, non pas seulement dans un but thérapeutique, mais, aussi, pour déterminer des mécanismes qui nous permettent d'ouvrir le mental ?
Vers quoi, en est la question !

vendredi 12 août 2011

Salut, Caesar, ceux que tu ne fais pas mourir de rire, te saluent !

Bon, trêve de plaisanterie, hier, je me suis un peu lâché en me moquant de la situation de la banque, la Société Général en me servant du Crédit Lyonnais pour ce faire.
Mais, il faut un temps pour tout, la satire et le sérieux.
Et, le sérieux, aujourd'hui, c'est que notre président national nous pompe l'air avec sa nouvelle marotte, "la règle d'or".
C'est-à-dire, inscrire dans la constitution un article sur la nécessité du retour à l'équilibre des déficits publics.

"tous les Gouvernements seront désormais obligés de s'engager sur une date de retour à l'équilibre et de soumettre au Parlement des lois-cadres d'équilibre des finances publiques, qui définiront, pour au moins trois années, les plafonds de dépense et un effort minimal de recettes supplémentaires nécessaires pour atteindre cet objectif." (source : Portail du gouvernement)

Bon, bien, et alors ?
A mon avis, ce n'est pas cela qui va relancer la croissance, et, s'il n'y a pas de croissance, ni, de politique fiscale appropriée, qui nous permettrait de réduire la dette, ce sont les services publics, une nouvelle fois qui vont être visés.
Et, comme le pouvoir d'achat des occidentaux continuent à baisser, dont celui des français, je ne vois pas la fin du tunnel.
Par contre, ce que je vois, c'est une simple opération politique pour dissimuler le fait que notre président national pédale dans la choucroute au sujet du redressement économique.
Pour moi, cette règle d'or n'est qu'un pare-feux politique, pas plus, pas moins.
Et, un moyen de réduire les propositions sociales des socialistes pris dans un carcan qui les obligeraient à ne pas faire très différents que notre président national.
En attendant, dans la réalité, les prévisions gouvernementales sur la croissance à 2% reste du une notion, c'est le moins que l'on puisse dire, vague.
Mais, comme sarko consomme du discours au kilomètre, on est mal barré !
Par contre, si, les socialistes de droite veulent le conforter dans sa nouvelle lubie, grand bien leur fasse. J'attends avec impatience le moment où ils se représenteront devant les électeurs. Avec l'espoir que ceux-ci, sauront choisir entre Charybde et Scylla, c'est-à-dire, ni, l'un, ni l'autre.
Parce qu'entre-nous, si, c'est pour faire comme les States convoquer le Congrès pour demander une autorisation d'augmentation de plafond de la dette avec la droite en embuscade, c'est pas très malin, mais, essentiellement politicard.
Et, il faudra bien qu'un jour, notre président national arrête de vouloir faire comme les States. A mon avis, à l'école, il a dû zapper les cours de culture française.
Mais, passons, parce que la contagion grecque n'est au final pas celle que l'on croit. Et, la pression des marchés qui manipulent les cours comme levier de persuasion pour faire sauter toutes les politiques sociales européennes avance, et, nous, nous reculons.

"En Italie, le ministre de l'Economie, Giulio Tremonti, a promis des mesures d'austérité "très fortes", notamment des coupes dans les aides sociales et les retraites ou encore des taxes sur les gains financiers de 12,5% à 20%." (AFP, 12/08/2011 à 12:04)

Et, devenez ce que le gouvernement italien va choisir, je vous le donne en mille.
Mais, je m'arrête là, mes chers trois lecteurs, car, cela serait vous faire offense. Cependant, je me demande quand même, quelles retraites vont être concernées, les petites, les moyennes ou les grosses.
Ah, là, là, quel dilemne !
Moi, à la place du gouvernement italien, je choisirai les petites et les moyennes. Les petites, parce que de toute façon, un retraité ne peut pas vivre décemment avec, donc, un peu moins, il ne s'en rendra même pas compte. Les moyennes, du fait que les plus bases les jalousent et les plus hautes, les méprisent. Donc, avoir le cul pris entre deux chaises, c'est une position inconfortable, autant qu'ils remplacent les plus basses.
Et, voilà, mes trois chers lecteurs, en deux temps, trois mouvements, j'ai réglé le problème de l'endettement italien. Youppii !!
Je suis trop, trop fort !
Par, contre, notre président national a intérêt à moins critiquer ses adversaires politiques et à plus agir, parce que, comme le dit le Quotidien du Peuple d'aujourd'hui, "Attention, Pan, Pan, cul cul !"

"Or, avec cette crise qui ne cesse de s'aggraver, les risques auxquels la France est confrontée ne sont pas négligeables. Selon les chiffres publiés en juin dernier par le gouvernement français, le taux de la dette publique de la France est passé à 85,4 % du PIB. Ce niveau est certes inférieur à celui de la Grèce, complètement submergée par sa dette, mais dépasse de loin les 60 % fixés par la Convention sur la stabilité et la croissance de l'Union européenne. Avec la progression continue de la crise européenne, la confiance des marchés s'est fragilisée, et il n'est pas exclu que la dette française en fasse prochainement les frais."

A bientôt, et surtout, si, vous êtes banquiers français, attendez un peu, avant de vous jeter du haut de la Tour Montparnasse.
Mais, non, je plaisante, surtout, que ce n'est pas le genre de nos banquiers. Eux, au moins, ils sont prudents, ils ont mis de la monnaie de côté.
René.


jeudi 11 août 2011

Salut à ceux qui rêvent encore. Nous ne sommes qu'au début !

Ben, dit donc, le monde tremble. Ouh, là, là, j'ai peur.
Qu'est-ce qu'il se passe, les bourses dévissent et en France, les banques chutent.
Cela veut dire quoi, chutent ?
Ah, oui, que les actionnaires perdent, du fait que l'action chute.
Ah, bon, je croyais que les gesticulations de notre président national allaien les protéger. Au final, cela, ne les protègent pas.
Ah, bon, c'est bête !
Pourquoi, parce qu'elles ont cru que s'investir dans les dettes des pays européens, cela allait leur permettre d'avoir une couverture ?
Mais, pourquoi ?
Pour leur créances pourries avant la crise de la dette grecque.
Est-ce qu'il y a quelqu'un qui a pu leur faire semblable promesse pour les inciter à s'engager ?
Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre.
Sauf, que, c'est dommage, les principales banques françaises, bientôt, ne pourront plus payer leur petits comptes. Dont, le mien, lorsque, je vais produire des chèques ou payer en carte bleu.
A mon avis, le gouvernement français, surtout sarko, n'aurait pas dû les aider à dissimuler leur situation réelle.
Moi, je m'en fous, j'ai planté des légumes et des pommes de terre. Sans compter que dans la région, il y a du gibier. Donc, je vais revenir à l'époque de Robin des bois, je vais me faire un arc en bois de noisetier.
Et, tant pis, pour sarko, je vais faire dans l'autonomie.
Et, tant pis, pour les animaux, si, j'ai faim, j'ai faim.
Mais, si, ils veulent que cela change, ils coulent le crédit lyonnais qui m'a volé et ils me filent l'argent pour le racheter.
Après, ça, je leur dirais comment faire.
Mais, non, je plaisante.
Ils vont juste plonger un peu plus, les banques avec.
Sauf que, s'ils coulent le crédit lyonnais et qu'ils me filent le fric pour le racheter, peut-être que ......?
Et, vous, mes trois chers lecteurs, cela ne vous fait pas un peu de bien de délirer de temps en temps ?
A bientôt.
René.

PS : Et, s'ils se décident, qu'ils me contactent sur mon blog.
PS 2 : La menace du krach financier permet aux abrutis d'accepter, sans protester, d'avoir perdu de l'argent.
PS 3 : Je précise, j'achète le crédit lyonnais pour un euro symbolique.

mercredi 10 août 2011

Salut aux oiseaux migrateurs, la mondialisation, vous connaissez. A chaque frontière, des coups de fusils. Pour nous, c'est la même.

Et, voilà, encore des consommateurs en moins !
Décidément, si, même en tant que producteurs en ne peut plus consommer, qui va-t-il rester ?
Les précaires, c'est mort !
Reste, les classes moyennes, mais, pour combien de temps encore ?
Le Brésil et la Chine ont raison de s'inquiéter de savoir qui va acheter leurs productions.
Parce que ce qui nourrit la croissance, c'est la consommation "de masse" et si, il n'y a plus que la consommation sélective des gens aisés et des riches, eh, bien, la croissance finira par régresser.
Regardez-moi, je ne vais pas en vacances parce que le gaz oil coûte trop cher et les paiements autoroutiers sont trop élevés. A choisir, entre passer des vacances pourries par manque d'argent et rester chez moi et me payer le minimum dont j'ai envie, le choix est vite fait.
Même, si, cela peut faire rire les militants de l'Ump de sarko.
Finalement, nous, la masse de ce qui fut un jour des consommateurs, nous allons en revenir au troc, à des échanges de services ou des échanges de biens contre des services.
Ce n'est pas une anti-société, c'est la société des pauvres.
Car, nous pouvons nous passer de la télé, que je n'ai pas, et préférer la lecture. Nous pouvons nous passer des légumes et des fruits hors saisons pour privilégier les locaux de saison et ainsi de suite.
Parce que de toute façon, nos gouvernants ne nous défendent plus. A nous, de faire différent. En ignorant surtout la publicité et en évitant les fausses vérités des communicants professionnels.

(source : les Echos)

09/08 | 07:00 | Thomas Baietto
Les producteurs de légumes de nouveau en crise

Sous l'effet de la concurrence européenne et d'une mauvaise conjoncture, les prix à la production ont chuté sur le marché des légumes. Les producteurs estiment que leur chiffre d'affaires du premier semestre a reculé de 20 % en un an.

(...) A un moment, nous allons laisser tomber. » Maraîcher à Sélestat (Bas-Rhin), Dominique Bauer cultive sur une dizaine d'hectares salades, tomates, concombres et courgettes. Il voit l'avenir de son exploitation sans optimisme. « Cela fait une petite dizaine d'années que les prix à la production n'augmentent plus », explique-t-il, alors même que le coût de production grimpe, avec le prix des engrais, des caisses, et du gazole. Résultat : aujourd'hui, cultiver une salade lui coûte entre 35 et 45 centimes d'euros mais ne lui rapporte que 30 centimes. « Nous travaillons sous le prix de revient », résume celui qui est également président du syndicat local.
Dominique Bauer n'est pas le seul producteur de fruits et légumes à perdre de l'argent. « Cette année, le marché est extrêmement difficile et tendu », souligne Angélique Delahaye, présidente de Producteurs de légumes de France. Selon ses estimations, le chiffre d'affaires du premier semestre est inférieur de 20 % à celui de 2010 - une bonne année -, et de 10 % à celui de 2009, un exercice « déjà difficile » pour les cultivateurs. Le secteur se voit donc retomber dans la crise, et le mécontentement monte. Fin juillet, les producteurs des Pyrénées-Orientales, inquiets de la concurrence espagnole, ont ainsi déversé une cargaison de pêches devant le consulat d'Espagne à Perpignan, pour lancer un « appel au secours ».
Renvoi de responsabilités
De fait, les prix de certains produits sont fortement en dessous de la moyenne. D'après le ministère de l'Agriculture, plusieurs fruits et légumes sont en situation de « crise conjoncturelle ». Le prix à l'expédition des tomates, en particulier, est inférieur de 28 % à la moyenne des 5 dernières campagnes. Pour l'artichaut, l'écart atteint même 47 %. Des fruits comme la pêche, la poire et la prune sont également touchés.
Pour de nombreux agriculteurs, la grande distribution est responsable de cette situation. Dans une lettre ouverte publiée le 2 août, la fédération des producteurs accuse les distributeurs de leur imposer des tarifs, « sans aucun respect de [leurs] coûts de production ». Quant au Modef, un syndicat proche de la gauche communiste, il compte profiter de sa vente annuelle de 40
tonnes de fruits et légumes, le 18 août à la Bastille, pour rétablir la vérité sur les prix. « 2011 est la pire crise que connaissent les producteurs de fruits et légumes, assurent ses dirigeants. Ils sont mis en concurrence par les centrales d'achats avec des produits venant de tous les coins du monde. Les producteurs et les consommateurs sont victimes financièrement des marges abusives prises par les grandes surfaces. »

Bon, ce n'est pas que je vais pleurer sur eux parce que je n'oublie pas que leurs fruits et légumes sont imprégnés de couches de pesticides qui nous empoisonnent lentement. C'est vrai, si, ils veulent qu'on pleure sur eux, ils feraient bien d'en arrêter l'utilisation. Au moins, on pourrait faire un effort pour acheter français, si, il y a une garantie que leur production est saine.
Parce que l'on sait qu'à l'étranger, en Espagne ou au Chili, ils utilisent des pesticides encore plus dangereux pour la santé et interdits en France.
Mais, ils ne font pas cet effort là, de nous vendre de la qualité.
Et, si, ils disparaissent, alors, j'espère qu'ils disparaîtront au bénéfice de jardins ouvriers ou quelque soit la dénomination que l'on pourra leur donner, et non pas au profit d'exploitation de gaz et d'huile de schiste.
Ce qui est drôle, c'est que tout le monde se précipite pour sauver la planète finance alors que c'est la planète finance et son appât du gain qui la remodèle en sciant la branche de la consommation de masse.
Plus de consommation de masse, ok, c'est terminé. Mais, plus de plein emploi avec une croissance stagnante et une société remodelée où la valeur travail ne sera plus que l'apanage d'une élite et de ses clientèles.
Voilà, pas très réjouissant, en somme.
La civilisation bouge.
Où son mouvement va-t-il nous entraîner ? Je l'ignore.
En tout cas, elle prend un sale chemin.
Et, sur cette réflexion complètement traumatisante, je vous salue bien.
A bientôt.
René.

lundi 8 août 2011

Salut aux trouffions qui sont en Afghanistan. Ils ont défendu un régime pourri !

Ce blog déconne, nous sommes le Mardi 9 août, aujourd'hui.

Bon, alors, quoi, mes trois chers lecteurs, y aurait-il panique à bord après l'abaissement de la note américaine.
Les boursicoteurs craignent le naufrage alors qu'il ne s'agit que d'un geste de justice. Après, tout, pourquoi, seuls les pays européens devraient-ils subir les affres dues aux mauvaises notes décernées.
La dette de l'Amérique et sa prévision de croissance sont tels qu'il aurait été paradoxal qu'elle passe à travers les mailles du filet.
Evidemment, problème, un service de la dette qui la placerait dans l'impossibilité de réduire sa dette, tout, en lui permettant que de nourrir son service.
Une situation que connaisse très bien les paysans indiens qui d'ailleurs finissent par se suicider.
Mais, les Etats-Unis ne vont pas se suicider, comme le dit Obama, ils vont combattre et toujours, selon lui, ont les moyens et les perspectives pour le faire.
Je veux bien le croire, sauf, si, qu'une seule catégorie sociale met la main à la poche, la classe moyenne oblitérant le devoir des riches et des très riches à participer à cet effort national.
Qu'il me semble, ces gens-là, ne représentent qu'une minime partie du peuple américain, mais, possèdent une très large partie de la richesse nationale.
Obama a raison, ce combat pour les obliger à participer est fondateur du contrat de la nation et aussi de fait, fondateur de sa future réélection.
Car, pour les américains précarisés, il participe aussi de la justice sociale. Ils lui pardonneront des coupes budgétaires, si, les riches et les très riches mettent la main au portefeuille.
Cependant, il faudra les assurer que le temps de ces sacrifices, qu'ils subiront de plein fouet, ne sera que limité dans le temps et même en fixer la date limite.
Car, il faut arrêter dans les pays occidentaux de privilégier les riches su détriment du peuple.
Car, nous ne sommes pas dans les pays émergents, nous ne pouvons regretter ce que nous n'avons pas connu, mais, rechercher plutôt à reconquérir ce qu'on nous a enlevé.
Et, tudieu, mes trois chers lecteurs, ils nous ont enlevé un max, déjà en détruisant les services publiques pour nourrir le secteur privé.
Un domaine où se vautre notre président national.
Sauf que de la posture de sauveur du monde, il est passé à celle de pompiers, éteignant éternellement, comme Sisyphe de la mythologie grecque, les incendies financiers.
Eh, oui, n'est pas sauveur du monde qui veut.
Quoique là, au final, ce n'est plus l'euro qui est en jeu, mais, leur Europe, à lui et aux socialiste. Et, lorsque l'on sait comment à finit Europe, donnée par Zeus au roi de Crête. Finalement, l'histoire de l'Europe commence par la Grèce et finit par la Grèce.
Alléluia !
Mais, passons, parce qu'en Somalie, les shebab se sont retirés de Mogadiscio, simplement, parce qu'ils sont incapables de nourrir la population et l'aide alimentaire leur permettra aussi de survivre.
Et, c'est tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.

PS : Soyons clair, dans tout ce mic-mac financier, ce qui est visé, c'est l'Europe. Même, si, pourtant, ils ont voulu faire plaisir aux marchés financiers. Seulement, la raison pour laquelle, la finance ne coulera pas, c'est que l'objectif n'est pas celui que l'on croit.
Et, c'est, pour ça, que dès le départ, l'Allemagne avait raison !