(Quand le ministre de l'économie français fume la moquette. note de rené)
Bruno le Maire serein pour la croissance économique. Il n’est pas inquiet ! (France)
il y a 6 heures1 206 2 minutes de lecture Buisiness Bourse
« Face au rebond des cas de Covid-19, le ministre de l’Economie a assuré que la croissance française était « solide » et s’est dit davantage préoccupé par les difficultés d’approvisionnement et de recrutement qui touchent certains secteurs.
« Les places boursières sont toujours des hyper sensibles et des hyper réactives. Notre devoir est de garder notre sang-froid. Je n’ai pas d’inquiétude pour la croissance française, elle est solide et repose sur des fondamentaux qui sont bons ».
Pour Bruno le Maire, il n’y a donc rien à voir ou presque, il nous faut donc circuler.
Bon, le Maire n’a pas totalement tort. A court terme nous avons ce que l’on appelle un acquis de croissance. La croissance déjà réalisée pour faire simple, alors même si notre PIB décroche, nous avons déjà gagné de l’argent et ce qui est pris n’est plus à prendre !
Le sujet va se poser nettement plus pour 2022 année qui était dans les prévisions, censée marquée la fin de la « crise » et le retour à la normale.
Ce retour sera-t-il contrarié par ce nouveau variant omicron, dont on ne connait pas grand-chose et qui semble semer la panique chez nos autorités alors que dans les faits, pour le moment ce variant ne semble pas plus dangereux que les précédents en termes de mortalité humaine. Il semble plutôt dangereux pour l’efficacité des vaccins.
La question devra donc se poser autour de la vaccination. Est-elle encore non seulement souhaitable et peut-on « vacciner » contre deux variants en circulation ? Quelle dose d’ARN est-elle tolérable par les organismes ? Faut-il même poursuivre la vaccination si elle ne permet pas d’éradiquer le virus et donc les futurs variants et mutants puisque cette dernière exerce une pression de sélection pour faire émerger les variants les plus résistants.
Bref, au delà de la croissance il va falloir commencer à réfléchir de façon plus large.
Hélas, ce ne sera sans doute pas le cas.
Charles SANNAT
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire