(Que dire, ville démocrate ? En ces temps incertains où nos gouvernements nous trahissent, la ville est un piège à cons. note de rené)
Des images étonnantes révèlent que le centre-ville de San Francisco s’est barricadé dans un contexte de pillages massifs (USA)
Par Tyler Durden pour Zero Hedge,
San Francisco est en train de devenir incontrôlable à cause d’une vague massive de gangs de « smash-and-grab » qui s’en prennent aux magasins de détail. Les progressistes ont transformé la région métropolitaine en un enfer libéral où les crimes violents sont en hausse. Les vols dans les magasins ont augmenté de façon spectaculaire en raison de l’adoption récente de la « Proposition 47 », qui réduit les peines pour les vols.
Les lecteurs connaissent maintenant bien les deux douzaines de magasins Walgreens de San Francisco qui ont fermé leurs portes en raison du taux élevé de vols (voir ici et ici).
Dernièrement, les gangs du crime organisé ont pris pour cible des détaillants de produits de luxe, tels que les magasins Louis Vuitton. La semaine dernière, une foule éclair de quatre-vingts personnes a pillé un Nordstrom dans la région de la Baie.
En raison de tous les pillages et de l’inaction des dirigeants progressistes face à ces crimes, les commerçants ont pris les choses en main en barricadant les portes et les fenêtres.
Avant Noël, voici à quoi ressemble l’utopie libérale du centre-ville de San Francisco :
L’utilisatrice de Twitter Michelle Tandler, qui a pris des photos du centre-ville, a déclaré : « Je n’ai pas de mots pour exprimer le choc et la déception que je ressens envers notre gouvernement local. Mes mains tremblent tellement je suis en colère contre nos dirigeants. C’est leur faute. »
Fenêtres barricadées > fenêtres cassées.
C’est ce qui arrive quand le système de justice pénale ne fonctionne pas.
San Francisco est devenue anarchique et les habitants et les entreprises se mettent en mode autoprotection.
Les statistiques sont fictives. Personne ne fait de rapport. Les gens se terrent chez eux.
On est partout dans les journaux.
Un exemple brillant de ce à quoi ressemble une ville dirigée par des progressistes.
Je crois que notre gouvernement ressemble plus à un régime qu’à un corps de fonctionnaires. San Franciscains… c’est notre faute. C’est à nous d’inverser la tendance.
Ce n’est qu’une question de temps avant que les législateurs californiens progressistes ne soient critiqués et chassés de leurs fonctions en raison de l’échec de leurs politiques. Pour que la société civile fonctionne, la loi et l’ordre doivent être restaurés.
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