lundi 30 août 2021

 

On connait l’origine des trois quarts des covids longs et on sait comment les soigner

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par Patrice Gibertie.

Tout le monde ne réagit pas de la même façon face au coronavirus. Si les personnes immunodéprimées ou âgées sont plus susceptibles de contracter une forme grave du virus, l’infection peut, dans plus de 20% des cas, s’éterniser, pour des raisons qui ne sont pas toujours claires.

Selon une nouvelle étude réalisée aux États-Unis, les formes longues du coronavirus seraient dues à la présence d’un autre virus dans l’organisme des patients qui, jusqu’ici, « dormait ». Il s’agit d’une infection virale très courante qui affecte près de 95% de la population mondiale, durant l’enfance. Sa contraction se manifeste par une banale infection des voies respirations, accompagnée de fièvre, ou par une mononucléose infectieuse. Dans certains cas, il peut également causer des cancers. Une fois l’épisode infectieux passé, le virus restera dans l’organisme, mais dans un état inactif. Il peut cependant parfois se réveiller.

• annualreviews.org/annurev.micro.54.1.19

« Nous avons effectué des tests sérologiques du virus d’Epstein-Barr sur des patients atteints du Covid-19, au moins 90 jours après qu’ils aient été testés positifs pour l’infection par le SARS-CoV-2. Et nous avons comparé les taux de réactivation de l’EBV de ceux qui présentent de symptômes longs du Covid à ceux qui n’ont jamais présenté de symptômes du Covid. Nous avons trouvé que plus de 73% des patients Covid-19 qui présentaient des symptômes longs du Covid étaient également positifs pour la réactivation de l’EBV ».

« Nous avons trouvé des taux similaires de réactivation de l’EBV chez ceux qui présentaient des symptômes longs du Covid pendant des mois, comme chez ceux présentant des symptômes longs du Covid qui ont commencé quelques semaines seulement après avoir été testés positifs pour le coronavirus ».

IL existe un traitement extraordinaire contre le virus de Epstein Barr… et la covid

Des virus tels que le cytomégalovirus humain (HCMV), le papillomavirus humain (HPV), le virus d’Epstein-Barr (EBV), et le coronavirus (syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 [SARS-CoV-2]) représentent un grand fardeau pour la santé humaine dans le monde.

Li et al., J. Cellular Physiology, doi:10.1002/jcp.30055 (Peer Reviewed) (In Vitro)
Quantitative proteomics reveals a broad‐spectrum antiviral property of ivermectin, benefiting for COVID‐19 treatment, SourcePDFShareTweet In Vitro study showing Ivermectin is a safe wide-spectrum antiviral against SARS-CoV-2, human papillomavirus (HPV), Epstein–Barr virus (EBV), and HIV.

L’ivermectine, un médicament antiparasitaire, également un agent antibactérien, antiviral et anticancéreux, qui offre plus de potentiel pour améliorer la santé publique mondiale et peut inhiber efficacement la réplication du SRAS-CoV-. Cette étude visait à identifier les altérations de la voie d’infection virale liées à l’ivermectine dans les cellules cancéreuses de l’ovaire humain. 

Comment l’Ivermectine aide à lutter contre le virus d’Epstein Barr (EBV)

• pesquisa.bvsalud.org/covidwho-777472
• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32959892
• pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33047383


source : https://pgibertie.com

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