vendredi 31 mai 2019

(Rendez-vous compte le pognon que récupérerait le gouvernement américain pour s'occuper des pauvres et relancer les économies locales, des centaines de milliards !!!!!! Des allocations qui permettraient de donner le temps aux population d'amorcer un changement de parcours finissent dans les commerces de proximité. Cela pousserait le gouvernement à donner une nouvelle dimension aux services sociaux non pas dans la recherche d'emploi, mais d'abord dans la réinsertion sociale à travers des activités qui génèrent des revenus et non du salariat sans que l'allocation en soit amputée pour les intégrer dans une dynamique. (Bon, je m'arrête là, ça serait un peu long à expliquer). note de rené)


Un référendum met fin aux privilèges fiscaux des multinationales offshore en Suisse

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Les Suisses se sont prononcés le 19 mai lors d’un référendum en faveur d’une réforme fiscale abolissant les privilèges fiscaux des multinationales offshore jugées trop avantageuses par les Européens par rapport aux entreprises nationales.
Dimanche 19 mai, lors d‘un référendum, les Suisses ont dit «oui» à 66,4% à l’abolition des privilèges fiscaux des multinationales offshore dont ont profité 24 000 sociétés étrangères basées dans le pays.
L’Union Européenne et  l’OCDE considéraient leurs avantages excessifs par rapport à ceux des entreprises nationales. En effet, les multinationales bénéficiaient d’une taxation allant de 8% à 12%, quand les entreprises locales devaient s’acquitter de presque du double.
En cas du refus d’adoption d’une telle mesure, la Suisse risquait de passer de la liste grise à la liste noire des pays non-coopératifs, faisant ainsi peser une certaine incertitude sur le futur des entreprises dans le pays par crainte de répressions qui auraient pu s’accompagner de pertes d’emplois et de recettes fiscales.
Désormais, toutes les entreprises suisses, petites ou grandes, seront imposées de manière équitable. Cependant, chaque canton a maintenant le devoir de mettre en place cette réforme.
Bien que le manque à gagner soit estimé à 1,8 milliard d’euros, les Suisses espèrent recevoir certaines compensations, comme les dividendes.

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