Les chiffres Covid gonflés grâce à un amalgame dans la collecte des données. Le nombre des hospitalisations en cause.
Face à des données chiffrées, il y les questions que l’on se pose, celles que l’on pose et il y a celles que l’on ne pense même pas à poser, tellement il semble évident que celles-ci ne peuvent être que justes.
C’est ce qui m’est arrivé dans le cas des statistiques covidiennes, et ce malgré les casseroles que j’expose ici depuis bientôt une année. J’ai découvert un biais incroyable dans l’alimentation de certaines rubriques publiées.
La petite recherche qui suit a démarré après qu’une personne de confiance m’ait souffléune information qui me semblait invraisemblable. Ceci pourrait (devrait?) muter en un très grand scandale, dans le cadre duquel les responsables-clés qui ont la responsabilité de la gestion de la crise auraient alors à en répondre au niveau fédéral.
Voilà de quoi il retourne. Je laisse chacun et chacun juger de ce qui suit, et de l’éventuelle suite à donner.
Vous avez certainement constaté que Berne nous parle en continu du nombre de personnes hospitalisées ainsi que des difficultés potentielles à gérer sereinement l’infrastructure hospitalière. De plus, il nous est servi régulièrement des données visuelles sur l’hospitalisation des personnes infectées. Exemple.
Normalement en lisant la légende du graphique ci-dessus, nous sommes tentés d’imaginer des personnes atteintes de détresse respiratoire, etc. On repense spontanément aux images et autres vidéos-choc qui tournent en boucles sur la RTS, TF1, ou LCI, n’est-ce pas? En tout cas, jusqu’à récemment c’était mon cas.
Et voilà que mon lecteur m’informe que cela ne se passait pas comme l’on peut le supposer au vu de ces graphiques. Et il m’a donné un exemple que j’ai publié un peu partout. Choquée par ce que je venais d’apprendre, j’ai écrit un tweet (je précise que je ne suis pas très présente sur ce réseau), qui a soulevé énormément de réactions:
Au vu de l’énorme intérêt des personnes, et ne pouvant citer ma source, je me suis adressée à l’excellente équipe de la communication du CHUV. Je me suis appuyée sur le graphique suivant pour poser mes questions:
Voici les questions et les réponses obtenues…
Résumons
Vous faites un infarctus, un AVC, ou une fracture du poignet. Vous devez vous faire dépister si vous devez passer une nuit et plus dans l’une ou l’autre des unités de l’hôpital, soins intensifs inclus.
Au vu de ce qui précède, il m’a semblé important de poser au CHUV la question suivante :
« Est-ce que le décès qui survient dans un contexte de test positif (mais sans symptômes) sera lui aussi comptabilisé sous les décès Covid? Je prends l’exemple d’un patient qui arrive aux soins intensifs pour un infarctus massif. Il décède. Est-ce que son dépistage à l’arrivée révélant un Covid positif va faire que son décès sera comptabilisé sous les décès Covid ? »
Si la réponse est positive, nous serons face à la plus grande manipulation intellectuelle de tous les temps. Je vous communiquerai la réponse.
LHK
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