mercredi 2 février 2022

 La Cour constitutionnelle autrichienne exige du gouvernement des données réelles sur le Covid


Mercredi, la Cour constitutionnelle autrichienne a envoyé au ministère de la santé une liste de questions sur la pandémie que les médias officiels et leurs sbires considèrent comme taboues.

Mercredi, la Haute Cour a envoyé au ministre autrichien de la santé, Wolfgang Mückstein, une liste de questions concernant la prétendue « charge sur le système de santé », auxquelles le gouvernement autrichien a jusqu’à présent refusé de répondre.

Le tribunal a ordonné au gouvernement de prouver que les chiffres fortement gonflés des décès et hospitalisations présumés dus au Covid sont réels. Les juges ont averti que les données confondant les morts et les hospitalisés « avec Covid » ou « à cause de Covid » ont été délibérément vagues« Si tel est le cas, pourquoi cette méthode de comptage a-t-elle été choisie ? », ont demandé les juges au gouvernement.

Freewestmedia.com rapporte : En outre, le tribunal voulait une ventilation des décès et des hospitalisations dus au Covid, précisée par âge. Le Covid était-il la cause des hospitalisations ? Avaient-ils inutilement hospitalisé des personnes en bonne santé, en raison d’un test positif exclusivement ?

Une autre série de questions était consacrée à l’efficacité du port des masques dits de protection. Dans le contexte de la propagation du variant Omicron, l’Autriche a renforcé les restrictions au début du mois de janvier. Celles-ci prévoient désormais également le port d’un masque FFP2 à l’extérieur si la distance minimale, longtemps obligatoire, ne peut être respectée.

Les juges constitutionnels ont voulu savoir de la part du ministre de la Santé : « Par quel facteur le port d’un masque FFP2 à l’intérieur ou à l’extérieur réduit-il le risque d’infection ou de transmission ? »

La Cour constitutionnelle a calculé le risque de mortalité « dû au Covid » à 0,15 % et a exigé de savoir comment il fallait comprendre la réduction du risque – absolue et relative – des vaccins. La Cour a voulu savoir quelle était la réduction absolue du risque après une, deux ou trois injections. Ces questions soulignent le doute des juges à l’égard de la propagande officielle selon laquelle les vaccins ont été efficaces à 95 %.

« À quoi se réfère une efficacité vaccinale spécifiée de 95 %, par exemple ? Que signifie la réduction absolue et relative du risque dans ce contexte ? »

Le ministère de la Santé doit également répondre dans quelle mesure la vaccination a réduit le risque de contagion du virus, puisque les personnes vaccinées le transmettent également, quelle que soit l’insistance de la propagande officielle à prétendre le contraire. « Quel est le risque de transmission chez une personne infectée par le SRAS-CoV-2 et ayant reçu une seconde vaccination il y a trois, six ou huit mois, par rapport à une personne non vaccinée dont le test PCR était négatif il y a 24 heures ? »

Dans une autre section de questions, la Cour souhaitait connaître le risque d’hospitalisation après être tombé malade et après la vaccination, ventilé par groupes d’âge et par nombre de doses, afin de mettre en évidence les effets secondaires des vaccinations, qui ont jusqu’à présent également été ignorés en Autriche.

Une autre question que la Cour a posée concernait la surmortalité en 2020 et 2021 : y a-t-il eu moins de décès en 2021 que l’année précédente et si, malgré la vaccination, il y avait encore une surmortalité ?

En bref, la Cour constitutionnelle autrichienne a posé les questions auxquelles toute personne capable de penser par elle-même aimerait avoir une réponse,

La crise de Corona dure déjà depuis presque deux ans et l’Autriche s’est distinguée en réclamant les mesures les plus extrêmes. Les mesures ont été justifiées en affirmant qu’elles seraient le seul moyen d’éviter une charge excessive sur le système de santé et notamment sur les hôpitaux remplis de « patients Corona ».

Les voix dissidentes et les questions sur les données réelles ont jusqu’à présent été rejetées comme des objections inappropriées et répréhensibles des « Covidiots » et des « négateurs de Corona » à la souffrance et à la mort. Les politiciens ont dû s’en tenir aux conseils de la « science ». Une discussion ouverte sur des questions critiques ou des positions opposées dans la lutte pour la politique la plus appropriée était tout simplement interdite.

De nombreux observateurs ont donc été stupéfaits à la lecture des questions pertinentes de la Cour constitutionnelle autrichienne, près de deux ans après le début de la crise sanitaire massive.

M. Mückstein, 47 ans, a maintenant jusqu’au 18 février pour répondre de manière adéquate à ces dix questions aussi fondamentales que détaillées.

Il y a quelques semaines à peine, les politiciens, les médias et les responsables gouvernementaux ont insisté sur la « pandémie des non-vaccinés » et ont imposé un « confinement pour les non-vaccinés » le 15 novembre de l’année dernière.

À partir de ce jour, tous les habitants âgés de plus de douze ans n’ont été autorisés à sortir de chez eux que pour aller travailler ou étudier, faire leurs courses quotidiennes, se rendre chez le médecin ou s’adonner à des loisirs physiques, sans preuve de leur vaccination ou de leur guérison. Selon un article paru dans les médias le 15 janvier, M. Mückenstein était certain qu’« une détente précoce pour les non-vaccinés […] pourrait rapidement conduire à une propagation incontrôlée du virus et à une surcharge des établissements de soins médicaux ».

Pour les juges, cependant, certaines questions sont restées sans réponse dans ce contexte. De combien de points de pourcentage le confinement prescrit pour les personnes non vaccinées réduisait-il « le risque d’infection d’une personne non vaccinée ».

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