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Le coût de la vie est sur le point d'exploser et tout ce que Joe propose est un chèque de 1400 $. À la fin de l'année dernière, nous avons noté que Albert Edwards de SocGen avait averti les lecteurs qu'il était peut-être temps de commencer à « paniquer » face à la flambée des prix des denrées alimentaires.
Selon les recherches d'Edwards, "soyez très attentif afin de savoir si nous voyons une répétition de la flambée des prix alimentaires en 2010/11", parce que "le 10e anniversaire du début du printemps arabe et la pauvreté générée par la pandémie, pourraient provoquer une autre bulle des prix alimentaires, qui pourrait bien briser le dos du chameau très en colère. "
Bien que ce ne soit pas encore tout à fait le printemps 2021, il y a des indications que la flambée des prix des denrées alimentaires est sur le point de se répercuter sur les consommateurs - c'est une terrible nouvelle pour les travailleurs pauvres qui souffrent déjà d'insécurité alimentaire et du logement .
Selon Reuters, Kraft Heinz Co et Conagra Brands Inc ont averti mardi que les prix du blé, du sucre et d'autres produits de base s'envolaient en raison de la demande élevée.
Les dirigeants de Conagra ont déclaré à Reuters que l'augmentation des prix des huiles de cuisine, du porc, des œufs et des emballages pourrait l'obliger à les répercuter aux consommateurs sous la forme de prix plus élevés.
Le PDG de Kraft Heinz, Miguel Patricio, a déclaré que l'inflation était partout dans l'agriculture.
Il a dit que l'inflation dans "tout ce qui concerne les céréales" est observée et qu'elle pourrait entraîner des augmentations de prix de certaines catégories, y compris le macaroni au fromage et la mayonnaise, plus tard cette année.
Est-il temps de s'inquiéter de l'inflation alimentaire ?
Selon Edwards, la réponse est « oui ».
Dans l'édition de décembre de l'IPC, l'inflation alimentaire était notable le 13 janvier. Le rapport disait :
Ainsi, comme la flambée des prix mondiaux des denrées alimentaires reste tout sauf transitoire, les principaux producteurs alimentaires devraient répercuter ces coûts sur les consommateurs à un moment où des millions d'entre eux peuvent à peine se payer le loyer et nourrir leur famille.
Bien sûr, alors que les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans le monde entier, les signaux bien gérés dans les données officielles sur l'inflation restent relativement faibles ... permettant aux planificateurs centraux de garder les robinets grands ouverts (quelles qu'en soient les conséquences).
Comme nous l'avons noté précédemment, alors que les banquiers centraux se promènent la tête dans les nuages, une équipe de C+R Research a sondé plus de 2.000 consommateurs américains, pour savoir comment ils se sont « ajustés » à ces prix élevés et à la flambée du chômage. Leurs conclusions ne sont pas surprenantes : 85% des consommateurs ont déclaré que leur budget avait été impacté par le fait de devoir payer plus pour l'épicerie. Le lait, les œufs et la viande sont les principaux produits de base pour lesquels les Américains paient davantage.
Et compte tenu des gros titres aujourd'hui, les choses sont sur le point d'empirer.
Pour résumer, préparez-vous à ce que les grandes entreprises alimentaires commencent à augmenter les prix des denrées alimentaires. Cela ne va pas remplir l'estomac des consommateurs déjà fauchés.
Selon Reuters, Kraft Heinz Co et Conagra Brands Inc ont averti mardi que les prix du blé, du sucre et d'autres produits de base s'envolaient en raison de la demande élevée.
Les dirigeants de Conagra ont déclaré à Reuters que l'augmentation des prix des huiles de cuisine, du porc, des œufs et des emballages pourrait l'obliger à les répercuter aux consommateurs sous la forme de prix plus élevés.
Le PDG de Kraft Heinz, Miguel Patricio, a déclaré que l'inflation était partout dans l'agriculture.
Il a dit que l'inflation dans "tout ce qui concerne les céréales" est observée et qu'elle pourrait entraîner des augmentations de prix de certaines catégories, y compris le macaroni au fromage et la mayonnaise, plus tard cette année.
Selon Edwards, la réponse est « oui ».
Dans l'édition de décembre de l'IPC, l'inflation alimentaire était notable le 13 janvier. Le rapport disait :
L'indice des prix de de la nourriture a augmenté de 3,9 pour cent au cours des 12 derniers mois. Les six principaux indices des groupes alimentaires ont augmenté au cours de la période. La plus forte augmentation a été l'indice de la viande, de la volaille, du poisson et des œufs, qui a augmenté de 4,6 pour cent alors que l'indice du bœuf augmentait de 5,3 pour cent. Les plus faibles augmentations concernaient les indices des céréales et des produits de boulangerie et des fruits et légumes, qui ont tous deux augmenté de 3,2 pour cent au cours des 12 derniers mois. L'indice de la nourriture hors de la maison a augmenté de 3,9 pour cent au cours de la dernière année. L'indice des repas à service limité a augmenté de 6,0 pour cent et celui des repas à service complet a augmenté de 3,0 pour cent au cours de la période.En outre, l'indice des prix des produits alimentaires de la FAO a augmenté pour un septième mois consécutif en décembre, mené par les produits laitiers et les huiles végétales.
Ainsi, comme la flambée des prix mondiaux des denrées alimentaires reste tout sauf transitoire, les principaux producteurs alimentaires devraient répercuter ces coûts sur les consommateurs à un moment où des millions d'entre eux peuvent à peine se payer le loyer et nourrir leur famille.
Bien sûr, alors que les prix des denrées alimentaires montent en flèche dans le monde entier, les signaux bien gérés dans les données officielles sur l'inflation restent relativement faibles ... permettant aux planificateurs centraux de garder les robinets grands ouverts (quelles qu'en soient les conséquences).
Comme nous l'avons noté précédemment, alors que les banquiers centraux se promènent la tête dans les nuages, une équipe de C+R Research a sondé plus de 2.000 consommateurs américains, pour savoir comment ils se sont « ajustés » à ces prix élevés et à la flambée du chômage. Leurs conclusions ne sont pas surprenantes : 85% des consommateurs ont déclaré que leur budget avait été impacté par le fait de devoir payer plus pour l'épicerie. Le lait, les œufs et la viande sont les principaux produits de base pour lesquels les Américains paient davantage.
Et compte tenu des gros titres aujourd'hui, les choses sont sur le point d'empirer.
Pour résumer, préparez-vous à ce que les grandes entreprises alimentaires commencent à augmenter les prix des denrées alimentaires. Cela ne va pas remplir l'estomac des consommateurs déjà fauchés.
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