Barack Obama adoube Hillary Clinton et dénonce Donald Trump
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Barack Obama, le 27 juillet à Philadelphie
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Barack Obama a dénoncé la vision pessimiste promue par le républicain Donald Trump et a adoubé Hillary Clinton lors d’un discours à la convention d’investiture démocrate à Philadelphie, mercredi 27 juillet.
Se disant optimiste sur l’avenir des États-Unis, Barack Obama a estimé qu’Hillary Clinton était « la seule candidate de cette élection qui croit en cet avenir », la qualifiant de « leader avec des projets concrets pour éliminer les barrières et briser le plafond de verre et donner plus de chances à chaque Américain ».
« Il y a huit ans, Hillary et moi étions rivaux »
Dernier orateur de la soirée, le 44e président des États-Unis est brièvement revenu sur ses huit années passées à la Maison blanche, avant de se lancer dans un plaidoyer en faveur d’Hillary Clinton, qui fut son adversaire lors de la primaire démocrate de 2008.
« Il y a huit ans, Hillary et moi étions rivaux, nous sommes affrontés des mois. C’était dur, croyez-moi. À chaque fois que je croyais avoir gagné la course, Hillary revenait plus forte encore », a-t-il rappelé avant de saluer son choix d’accepter de devenir sa secrétaire d’Etat.
« Elle n’abandonne jamais, jamais. (…) C’est pour ça que je peux le dire en toute confiance, il n’y a jamais eu de meilleure personne, aucun homme, ni moi, ni Bill (Clinton) pour occuper la fonction de présidente des États-Unis. »
Trump « n’y connaît rien »
Avant lui, le vice-président Joe Biden a multiplié les attaques contre Donald Trump. Rompu à l’exercice, particulièrement virulent, Joe Biden a jugé qu’il s’agissait du candidat à la présidentielle le moins bien préparé de l’histoire des États-Unis et l’a accusé d’être bien trop éloigné des préoccupations de la classe moyenne américaine :
« Quand la classe moyenne va bien, les riches vont très bien et les pauvres ont de l’espoir. Il ne connaît rien de ce qui peut faire la grandeur de l’Amérique. En fait, n’y connaît rien du tout, point à la ligne. »
« La menace est trop grande, les temps sont trop incertains pour (...)
(Evidemment, ce sont les mêmes qui les financent, lui, pour de futures conférences, elle pour sa campagne électorale, qui veulent la voir revêtir les apparences du pouvoir. Nom de dieu, « PEUPLE AMÉRICAIN, REVEILLES-TOI ! » note de rêne)
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