lundi 28 mars 2016

ÉNORME SCANDALE : « LE SYNDRÔME » (les bebes secoues)(DOCUMENTAIRE)

UNE INFORMATION IMPORTANTE A FAIRE CIRCULER : Cela ne touche pas que les US !
Un nouveau film explosif démasque le mythe du « Bébé Secoué » – Les opposants au documentaire veulent  étouffer ces « révélations » au Festival du film

ob_656eb1_shaken-baby-syndrome-femme-menotteeBrian Shilhavy, Health Impact News Editor, 13 mars 2016
Un nouveau film exposant la corruption derrière une grande partie du diagnostic du « Syndrome du Bébé Secoué » utilisé pour enlever des enfants à la garde de leurs parents, et dans certains cas pour mettre les parents derrière les barreaux, est en train de faire son petit bonhomme de chemin dans le circuit des Festivals du film.

Le Syndrome est un film produit et réalisé par Meryl Goldsmith, cinéaste de Los Angeles et par sa cousine journaliste d’investigation, Susan Goldsmith en tant que coproductrice et éditrice. Ce film constitue le premier long métrage de Meryl Goldsmith. Dans le casting, on retrouve des médecins, des juristes, des professeurs de Droit.

Lauren Kirchner qui écrit pour le Pacific Standard Magazine, a récemment interviewé Susan Goldsmith et a aussi recueilli l’avis de l’opposition que ce film a engendrée dans la communauté médicale.

Nombre de personnes qui interviennent dans le film ont consacré leur vie professionnelle à attirer l’attention du monde sur les recherches récentes qui ont été réalisées sur les dommages de santé dont on souffert les enfants, de même qu’à défendre devant les tribunaux les personnes qui étaient accusées d’avoir abusé d’enfants.

Suite à leur position, ces personnes dont dû faire face à un énorme choc en retour de la part des médecins et des procureurs qui voulaient marquer leur désaccord. Les cinéastes savaient aussi qu’ils allaient être balayés. De nombreux organisateurs de Festivals de films qui avaient envisagé la projection du film furent menacés de poursuites, et accusés de promouvoir la violence envers les enfants, comme l’a révélé une récente interview des cinéastes.
Susan Goldsmith explique que le thème même de leur film est de faire apparaitre comment les partisans du Syndrome du « Bébé secoué » et des violents traumatismes crâniens subis par ces enfants se sont évertués à faire taire leurs critiques. Susan Goldsmith poursuit en disant que « ce thème est aujourd’hui toujours d’actualité et qu’elle s’y attendait.
Elle ajoute :
Nous avons pensé faire évoluer la situation en mettant en lumière ces autres conditions médicales qui peuvent ressembler à des abus mais qui n’en sont effectivement pas.
Tout ceci fait effectivement peser une menace sur l’ensemble du groupe de travail qui s’occupe du  Syndrome du Bébé Secoué, ainsi que sur le complexe industriel.
Kirchner écrit que ceux qui, dans les milieux médicaux, soutiennent le Syndrome du Bébé Secoué, font tous partie d’un groupe puissant et influent comprenant l’Académie Américaine de Pédiatrie et le Centre National dédié au « Syndrome du Bébé Secoué ». Avant la toute première projection du film, ils ont fait de leurs mains et de leurs pieds pour que le Festival International du Film (Kansas) bloque le film en le qualifiant de « film dangereux» alors qu’ils ne l’avaient encore jamais vu.

Ci-dessous une description du film à partir du site même du film :
Audrey Edmunds, maman de 3 enfants, a passé 11 ans en prison pour avoir tué un bébé auquel elle n’avait jamais fait le moindre mal. Elle n’est malheureusement pas la seule. Qu’est-ce qui se passe quand des croyances largement répandues et basées sur une science de pacotille aboutissent à la condamnation de personnes innocentes ?
Le Syndrome est un documentaire explosif qui représente en quelque sorte la croisade d’un groupe de médecins, de scientifiques et de juristes qui ont fait une fameuse découverte : « Le Syndrome du Bébé Secoué », la théorie responsable des poursuites pour maltraitance d’enfants exercées, chaque année, à l’encontre de centaines de personnes aux Etats-Unis, ne serait pas scientifiquement valide. En fait, tout cela n’existerait même pas, expliquent les auteurs du documentaire.
La réalisatrice du film Meryl Goldsmith s’est associée à la journaliste d’investigation déjà primée pour réaliser ce documentaire sur le cauchemar inimaginable que vivent les accusés, et mettre en lumière le courage de ces hommes et de ces femmes qui ont dédié leurs vies à défendre ceux qui font l’objet de poursuites, comme aussi à faire libérér les personnes condamnées.
Le Syndrome met en lumière les origines du mythe du « Bébé Secoué ». Il identifie sans ménagement ceux qui ont construit leurs carrières et profité de cette théorie en révélant leur passé choquant. Les partisans de la théorie du « Bébé Secoué » sont dès lors déterminés à faire taire leurs critiques, alors même qu’un nombre impressionnant de vies ont été ruinées.
L’année dernière (2014), le professeur de Droit Deborah Tuerkheimer qui apparait dans le film de Goldsmith a écrit un article pour Slate au sujet d’une gardienne de 43 ans, Jennifer Del Prete (Illinois) qui a passé 10 ans de sa vie en prison alors qu’elle avait écopé de 20 ans pour une histoire de « bébé secoué ». Elle a finalement été libérée par un juge fédéral. L’article de Tuerkheimer : «  Un juge déclare finalement que le diagnostic du Bébé Secoué relève d’un « article de foi » a fait comprendre que cette décision du juge « faisait partie d’un nombre croissant  d’avis de juges, de jurés, et même de procureurs au sujet des condamnations pénales sur base de diagnostics du Syndrome du Bébé Secoué ».


Tuerkheimer poursuit :
Toute cette affaire arrive à un tournant critique. La certitude qui avait trait au « Syndrome du Bébé Secoué »… s’est progressivement dissoute depuis des années. Le système judiciaire commence à reconnaitre ce changement mais devrait aller plus loin et peut-être annuler les condamnations passées. (Lire la suite de l’article en anglais).
Le Syndrome du Bébé Secoué peut être la preuve d’un rachitisme induit par les vaccins
Christina England a commenté le livre du Dr David Ayoub, radiologue à Springfield, Illinois. Ce radiologue a établi un lien entre les fractures des enfants découvertes aux rayons X, et erronément attribuées au diagnostic du « Bébé Secoué », à un rachitisme infantile.
Le Dr Ayoub estime que ce n’est pas uniquement la mauvaise alimentation et le manque de soleil qui sont responsables du nombre croissant d’enfants souffrant de rachitisme, mais aussi le nombre croissant de vaccins contenant de l’aluminium.
Le Dr Ayoub, expert en rachitisme infantile, a été impliqué dans des centaines de cas de rachitisme mal diagnostiqués dans le monde. Il a accepté de témoigner en faveur de nombreux parents innocents accusés du « Syndrome du Bébé Secoué ».
Ne permettez pas que l’industrie médicale puisse bloquer la diffusion de l’important message que véhicule le film The Syndrome. Les fausses accusations de « Bébé Secoué » arrachent les enfants à leurs parents et mettent des innocents derrière les barreaux ! Il faut que le message de ce film puisse atteindre le plus grand public possible !
Source : Medicalkidnap.com

NDLR : Attention ! Il existe bien hélas une maltraitance réelle des bébés.  Secouer violemment un bébé qui ne tient pas sa tête ne saurait être sans conséquences. Ce que certains adultes de l’entourage, parents compris,  font subir à des nourrissons est à peine imaginable.  Lorsque l’on  en discute avec le personnel des urgences de pédiatrie on en reste pétrifié, écoeuré.
Ce qui est dénoncé ici est l’utilisation de ce syndrome par la justice à tort et à travers sans réelle enquête médicale solide, les sources de cette pathologie s’avérant être totalement étrangères à la maltraitance.  A 100% ? Telle est la question que  l’on se pose à la suite de cet article.
C’est une affaire qui risque de faire du bruit dans le monde entier et provoquer de nombreuses  et violentes levées de bouclier. Non seulement cela remet en cause le milieu médical et pharmaceutique mais également celui de la justice.

Galadriel

MERCI à Gwendoline.
Source: Les brindherbe

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