dimanche 1 août 2021

 (Pas étonnant, ils travaillent main dans la main avec la CIA et sans doute le mossad et leur données sont traitées par une filiale de la CIA, Palantir. En fait, si l'on regarde bien la France n'est plus qu'une colonie des USA et traitée comme telle. note de rené)


Tout est dit ! : Des services du renseignement français avertissent que les manifestants pro-libertés représentent une nouvelle menace terroriste

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L’agence de sécurité craint que les citoyens opposés aux règles liberticides du gouvernement Covid ne se tournent vers l’extrémisme. Mais ce sont les propres actions draconiennes du gouvernement Macron qui fomentent la dissidence radicale.

 

Une nouvelle loi baptisant le passeport santé Covid-19 et le système de suivi par code QR dans la vie quotidienne des citoyens français a franchi les obstacles au Sénat, et seul le Conseil constitutionnel se dresse entre la liberté et un nouveau monde dans lequel les citoyens français sont tenus de présenter la preuve d’une double injection anti-Covid, ou d’un test par écouvillonnage du nez dans les 48 heures précédentes, pour accéder aux restaurants, cinémas, salles de sport, piscines, bars, hôpitaux et certains centres commerciaux.

Le laissez-passer deviendrait également une condition de maintien de l’emploi rémunéré pour les personnes travaillant dans ces lieux, tout comme les vaccins obligatoires non négociables pour les travailleurs de la santé.

La loi crée effectivement une société à deux vitesses qui définit les citoyens par un acte médical spécifique. Le précédent est choquant. Jusqu’à présent, les antécédents médicaux d’une personne étaient considérés comme tabous et faisaient partie de sa vie privée. Il n’est donc pas surprenant qu’un mouvement en faveur de la liberté ait vu le jour et se soit répandu dans les rues de Paris et d’autres villes françaises chaque samedi depuis deux semaines, sans que l’on puisse en voir la fin, pour protester contre les efforts de ségrégation du gouvernement.

Les manifestants ont le sentiment que les efforts du gouvernement sont bien plus politiques que sanitaires. Par exemple, bien que les personnes non vaccinées soient censées passer un test Covid avant d’entrer dans les lieux contrôlés par le passeport sanitaire, les personnes vaccinées ne le sont pas. Or, il est désormais établi que la vaccination n’empêche pas la transmission. Les lieux contrôlés par le passsanitaire pourraient donc très bien devenir des lieux de reproduction où les porteurs du virus vaccinés et non testés pourraient infecter les non vaccinés sans Covid.

Le laissez-passer sanitaire ne va pas non plus empêcher la transmission dans les transports publics bondés, les zones de travail en espace ouvert ou les résidences privées, où une grande partie de la transmission a tendance à se produire. Le nombre de cas est donc voué à augmenter de toute façon pour ce virus relativement peu mortel.

Et le gouvernement a déjà son bouc émissaire : les non-vaccinés, que les autorités françaises tentent déjà de dépeindre comme des égoïstes, des extrémistes, des marginaux, des grincheux sans éducation.

Le porte-parole du gouvernement français, Gabriel Attal, a qualifié les manifestants pro-liberté de minorité «défaitiste», par opposition à la «majorité», qui se plie à la pression vaccinale du gouvernement et qui «veut oublier le virus et travailler».

Et maintenant, les services de renseignements intérieurs français mettent en garde contre la radicalisation du mouvement pro-liberté, semblable aux manifestations des «gilets jaunes», et contre le rôle que les «extrémistes» pourraient jouer pour le façonner, tout en ignorant apparemment le rôle que le gouvernement lui-même joue dans l’encouragement de cet extrémisme. Le gouvernement dépeint les personnes normales qui tiennent à leurs libertés fondamentales comme des radicaux, tout en introduisant certaines des mesures liberticides les plus répandues et les plus radicales de l’histoire.

La rhétorique crée une impasse entre les «bons» transmetteurs potentiels du virus, vaccinés, et les «mauvais» transmetteurs potentiels du virus, non vaccinés, chacun s’attachant à blâmer l’autre pour son triste sort dans la vie, plutôt que de blâmer le gouvernement pour avoir joué et exploité la peur pour introduire un tout nouveau système de traçage électronique, apparemment pour combattre un virus peu mortel.

Où avons-nous déjà vu cela ? Eh bien, les autres affiches d’avertissement apposées sur les bâtiments français, à côté de celles qui imposent le port d’un masque, devraient nous donner un indice. Presque personne ne remarque plus ces avertissements d’alerte terroriste. Cela semble tellement pré-2019. Mais le terrorisme, lui aussi, a donné carte blanche au gouvernement pour imposer une série de restrictions à la population générale en raison de ce risque quasi nul pour la sécurité publique. Et les gens étaient prêts à payer le prix de la liberté pour ce qu’ils considéraient comme une protection accrue.

Faute d’assumer la responsabilité de ses propres échecs, le gouvernement a insisté pour rejeter le problème sur l’ensemble de la population.

Les Français étaient censés penser que les terroristes étaient responsables de l’état de sécurité que le gouvernement leur imposait. En réalité, l’État français l’a créé en réponse à ses propres défaillances. Et il en va de même aujourd’hui avec le passeport santé : les non-vaccinés sont présentés comme les nouveaux terroristes, tandis que le gouvernement peut s’en tirer en supprimant des libertés encore plus fondamentales.

 

Ajout ExoPortail : 

 

Source : https://www.rt.com/op-ed/530483-health-pass-protesters-terror-threat/et https://www.europe1.fr/societe/les-renseignements-territoriaux-alertent-sur-la-radicalisation-des-anti-pass-sanitaire-4058680

Traduction et Ajouts : ExoPortail 


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