(Il a réussit son pari, donc maintenant, il tente de se dédouaner. De toute façon, il fait une pause en attendant la pandémie à venir qu'il nous a promis. note de rené)
Après avoir engrangé des bénéfices considérables, Bill Gates dénonce l’efficacité des vaccins Covid
Bill Gates admet maintenant qu’il y a des « problèmes » avec les vaccins actuels contre le covid-19.
Gates n’est pas seulement l’un des plus grands partisans de la vaccination, mais il a aussi beaucoup investi dans les vaccins à ARNm et a réalisé d’énormes bénéfices en vendant des actions de BioNTech.
Le milliardaire fondateur de Micrsoft s’exprimait à l’Institut Lowy d’Australie dans le cadre d’une conférence intitulée « Preparing for Global Challenges: In Conversation with Bill Gates », quand il a admis :
« Nous devons également résoudre les trois problèmes des vaccins (contre le covid). Les vaccins actuels ne bloquent pas l’infection. Ils ne sont pas larges, donc lorsque de nouveaux variants apparaissent, vous perdez la protection, et ils ont une durée de vie très courte, en particulier chez les personnes qui comptent, c’est-à-dire les personnes âgées. »
The Defender rapporte : Ces déclarations ont surpris certains, compte tenu du soutien de longue date de Gates – et de ses investissements – aux fabricants de vaccins et aux organisations promouvant la vaccination mondiale. Cependant, elles sont les dernières d’une série de développements de ces dernières semaines qui remettent de plus en plus en question les vaccins COVID-19, en particulier.
C’est une arnaque : Les investissements de Gates dans les vaccins à ARNm révèlent un « conflit d’intérêts ».
Plusieurs analystes et commentateurs ont critiqué M. Gates – mais pas en raison d’un désaccord avec les déclarations qu’il a faites en Australie. Au contraire, ils ont fait valoir qu’il avait auparavant fortement investi dans les vaccins à ARNm au moment même où il encourageait une campagne mondiale de vaccination contre le COVID-19 et soutenait la vaccination obligatoire.
Le 25 janvier, dans l’émission « Rising » de The Hill TV, les co-animateurs Briahna Joy Gray et Robby Soave ont abordé les déclarations de Gates. Robby Soave a d’abord accepté les critiques de M. Gates à l’égard des vaccins à ARNm actuels, en déclarant : « Il a vraiment raison sur le fond » :
« Il a vraiment mis le doigt sur les problèmes que nous rencontrons : la courte durée de la protection, l’absence d’impact significatif discernable sur la transmission des cas … pas de bénéfice massif pour un grand nombre de personnes par ailleurs en bonne santé et plus jeunes. »
Cependant, Soave – qui, le 19 janvier, a révélé des « fichiers Facebook » indiquant que les CDC influençaient de manière significative la modération et la censure du contenu de la plateforme concernant les vaccins COVID-19 – a ensuite souligné les investissements antérieurs de Gates qui ont contribué au développement de la technologie des vaccins à ARNm.
Soave a déclaré : « Bill Gates était un grand partisan de la technologie ARNm … il était un investisseur dans BioNTech, qui a développé le vaccin ARNm pour Pfizer. »
« Nous avons juste fait quelques recherches », a poursuivi Soave, « [et] nous avons vu qu’il a vendu beaucoup de ces actions à… à combien s’élevait le bénéfice ? »
« 10x », a répondu Gray. « Il a investi 55 millions de dollars dans BioNTech en 2019 et la société vaut maintenant plus de 550 millions de dollars. Il a vendu des actions … à la fin de l’année dernière, je crois, avec un prix de l’action supérieur à 300 $, ce qui représentait un gain énorme pour lui par rapport au moment où il a investi. »
Soave a ensuite déchaîné des commentaires critiques à l’égard de Gates :
« Suivons cette trajectoire : [Gates] investit massivement dans BioNTech, ‘les vaccins à ARNm sont géniaux, c’est l’avenir’, il parle de la chronologie des vaccins et de la façon dont nous pouvons les développer plus rapidement, ‘nous pourrions avoir à faire des économies sur la sécurité’… Tout cela… le vend… gagne énormément d’argent… mais maintenant c’est ‘oui, c’est bien, ça pourrait être mieux, mais ce dont nous avons vraiment besoin, c’est de ce spray pour l’haleine' ».
Soave faisait référence à une déclaration de Gates lors de son récent discours en Australie, immédiatement avant ses remarques concernant les vaccins à ARNm, où il a dit :
« Nous pensons que nous pouvons également avoir, très tôt dans une épidémie, une chose que vous pouvez inhaler qui fera que vous ne pourrez pas être infecté, un bloqueur, un bloqueur inhalé. »
Mme Gray a soulevé la question des conflits d’intérêts entre des personnes telles que Gates qui occupent des postes importants auprès de fabricants de médicaments et de vaccins, et le fait que le gouvernement fédéral dépense d’importantes sommes d’argent des contribuables pour acheter ces produits. Elle a déclaré :
« Il s’agit d’une escroquerie. Ces entreprises soutirent de l’argent, l’argent des contribuables en quelque sorte, pour payer des traitements médicaux qui ne sont pas indiqués par les professionnels de la santé et qui sont moins utiles que ce que nous avons déjà.
Dans le même temps, l’administration Biden ouvre ses portes, des portes tournantes, à des personnes issues de ces diverses industries, comme Jeff Zients, qui est le nouveau chef de cabinet de Joe Biden… qui a passé toute sa carrière dans le genre de sociétés, qui a investi dans le genre de sociétés, qui ont surfacturé le gouvernement pour les paiements Medicare et Medicaid et les types exacts de trop-perçus. C’est une énorme escroquerie et une qui est incroyablement commune. »
Zients était auparavant le « tsar du COVID » de l’administration Biden et a publiquement poussé à la vaccination universelle.
Soave a ensuite déclaré que les déclarations de Gates, et la question plus large des conflits d’intérêts entre les promoteurs de médicaments et de vaccins et le gouvernement fédéral, donnent du crédit aux affirmations faites depuis longtemps par les « anti-vax et assimilés ». Il a déclaré :
« Pour les personnes qui se sont montrées sceptiques à l’égard de cet aspect de Pfizer et du développement de médicaments autour de COVID et qui ont été traitées par les médias de cinglés, d’anti-vax et autres, je pense franchement que cette question de la corruption pharmaceutique et des personnes qui poussent à diverses interventions, en investissant dans le profit, aurait dû être une question sur laquelle la gauche menait.
Nous devons être plus transparents sur le fait que les personnes qui ont leur mot à dire sur ce que sera la politique du gouvernement, ce qui sera exigé des gens, l’administration Biden a essayé d’exiger des gens qu’ils obtiennent ceci, ne devrait-on pas savoir au moins quand il y a des centaines de millions de dollars d’intérêts financiers en jeu pour les personnes qui conseillent ceci ? Et leur discours change lorsqu’ils suivent l’argent ! »
Le journaliste d’investigation Jordan Schachtel a également eu des remarques cinglantes suite aux déclarations de Gates en Australie, écrivant sur son blog :
« Le fondateur de Microsoft, Bill Gates, qui a été l’un des architectes de l’hystérie du Covid et a eu plus d’impact que n’importe quel autre individu sur les politiques désastreuses de lutte contre la pandémie mondiale, a finalement reconnu que les injections d’ARNm dont il fait la promotion depuis deux ans ne sont rien d’autre que de la camelote pharmaceutique périmée.
Traduction : Gates admet que les injections sont impossibles à aligner avec les variants qui se développent rapidement, qu’elles expirent à la vitesse de l’éclair et qu’elles n’arrêtent pas la transmission. Et elles ne fonctionnent pas pour la seule partie à risque de la population. »
Schachtel a qualifié cette déclaration de « revirement incroyable de la part de l’homme qui avait autrefois présenté les vaccins comme le remède au coronavirus », s’appuyant sur la déclaration antérieure de Gates : « tous ceux qui prennent le vaccin ne se protègent pas seulement eux-mêmes mais réduisent leur transmission à d’autres personnes et permettent à la société de revenir à la normale. »
En 2021, Gates a qualifié les vaccins à ARNm de « magiques », affirmant qu’ils allaient « changer la donne »dans les cinq prochaines années.
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