Petite réflexion sur le Venezuela, mes chers cinq lecteurs.
Décidément, quand le complexe militaro-industriel se met en route, il y va avec ses gros sabots. Vraisemblablement, des commandos, bérets verts et navy seals sont pré-positionnés en Colombie pour localiser les cibles pour les bombardements.
Le pentagone cherche des pistes de décollage pour ses bombardiers à moyenne portée proches du Venezuela dans les îles Caraïbes. Saint Domingue a refusé cet accès. Par contre, le gouvernement de Haïti pris dans une révolte populaire n'a pas officiellement donné un accord. Accord qui risquerait de mettre le feu au poudre dans cette république.
Si, les américains cherchent des aéroports proches, c'est qu'ils veulent procéder à des frappes chirurgicales causant un minimum de dégâts dans la population. L'utilisation de bombardiers lourds à long rayon d'action partant des Etats-Unis est plus problématique, car, cela rayerait de la carte des quartiers entiers.
Si, les cibles sont les centres de commandements, les casernes des régiments fidèles, les stations radars, il n'y aucune raison de raser des quartiers entiers.
Un porte-avion et des navires de combat sont déjà en route. Pour les transports de troupe, cela n'est pas certain parce qu'il est encore trop tôt dans la stratégie d'escalade de la tension. Par ailleurs, le pentagone privilégie l'intervention de troupes de pays limitrophes venant en soutien à une "armée de libération" vénézuélienne.
Pour le moment, celle-ci, à part des militaires déserteurs, n'est pas encore formée. Pour ce faire, un minimum de préparation s'avère nécessaire, même, si, à la frontière brésilienne, un embryon se met en place.
Une intervention de la Colombie relancerait les guerrilleras locales pour celles qui existent et risquerait de ressusciter celles qui avaient rendu les armes, laissant le flanc de l'armée fragilisée.
Au Brésil, bolsonaro, par contre est prêt à se lancer dans l'aventure. Il est du genre va-t-en guerre et ennemi juré de tout ce qui ne ressemble pas à l'ultra libéralisme le plus prédateur. Donc, il est pour une intervention et prêt à réprimer toute manifestation dans son pays par la force armée.
Mais, pour le moment, nous en restons à la partie de poker menteur de trump.
Comment pourra-t-il justifier une intervention directe à ses électeurs alors qu'il prône un retrait des troupes américaines d'Afghanistan et de Syrie et, surtout, que les States ne sont jamais impliqué militairement, mais, à la marge en organisant des coups d'état ou des mouvements de contras formés par leurs forces spéciales.
Une intervention militaire directe est un changement de paradigme équivalent à un séisme autant pour l'opinion américaine, que pour tous les pays d'Amérique Latine.
trump en s'impliquant personnellement met sa crédibilité en jeu, comme d'habitude. Seulement, ses précédent défis ne donnent pour l'instant que des résultats mitigés risquant de peser sur l'économie américaine en final.
Naturellement, pratiquement tous les pays appartenant à l'Otan le soutienne à part la Grèce et l'Italie.
Malgré tout, trump est tenu par le temps. Désormais, comme pour la Russie, où toute intervention doit se passer largement avant l'hiver, en ce qui concerne les Caraïbes, cela doit se passer avant le mois de novembre. Le mois de novembre, la saison des ouragans qui chaque année deviennent de plus en plus destructeurs.
Si, l'intervention américaine ne se déroule pas avant le mois de novembre la flotte devra revenir à sa base au moins dès le mois d'octobre, sinon avant.
Il reste donc sept mois.
rené
Décidément, quand le complexe militaro-industriel se met en route, il y va avec ses gros sabots. Vraisemblablement, des commandos, bérets verts et navy seals sont pré-positionnés en Colombie pour localiser les cibles pour les bombardements.
Le pentagone cherche des pistes de décollage pour ses bombardiers à moyenne portée proches du Venezuela dans les îles Caraïbes. Saint Domingue a refusé cet accès. Par contre, le gouvernement de Haïti pris dans une révolte populaire n'a pas officiellement donné un accord. Accord qui risquerait de mettre le feu au poudre dans cette république.
Si, les américains cherchent des aéroports proches, c'est qu'ils veulent procéder à des frappes chirurgicales causant un minimum de dégâts dans la population. L'utilisation de bombardiers lourds à long rayon d'action partant des Etats-Unis est plus problématique, car, cela rayerait de la carte des quartiers entiers.
Si, les cibles sont les centres de commandements, les casernes des régiments fidèles, les stations radars, il n'y aucune raison de raser des quartiers entiers.
Un porte-avion et des navires de combat sont déjà en route. Pour les transports de troupe, cela n'est pas certain parce qu'il est encore trop tôt dans la stratégie d'escalade de la tension. Par ailleurs, le pentagone privilégie l'intervention de troupes de pays limitrophes venant en soutien à une "armée de libération" vénézuélienne.
Pour le moment, celle-ci, à part des militaires déserteurs, n'est pas encore formée. Pour ce faire, un minimum de préparation s'avère nécessaire, même, si, à la frontière brésilienne, un embryon se met en place.
Une intervention de la Colombie relancerait les guerrilleras locales pour celles qui existent et risquerait de ressusciter celles qui avaient rendu les armes, laissant le flanc de l'armée fragilisée.
Au Brésil, bolsonaro, par contre est prêt à se lancer dans l'aventure. Il est du genre va-t-en guerre et ennemi juré de tout ce qui ne ressemble pas à l'ultra libéralisme le plus prédateur. Donc, il est pour une intervention et prêt à réprimer toute manifestation dans son pays par la force armée.
Mais, pour le moment, nous en restons à la partie de poker menteur de trump.
Comment pourra-t-il justifier une intervention directe à ses électeurs alors qu'il prône un retrait des troupes américaines d'Afghanistan et de Syrie et, surtout, que les States ne sont jamais impliqué militairement, mais, à la marge en organisant des coups d'état ou des mouvements de contras formés par leurs forces spéciales.
Une intervention militaire directe est un changement de paradigme équivalent à un séisme autant pour l'opinion américaine, que pour tous les pays d'Amérique Latine.
trump en s'impliquant personnellement met sa crédibilité en jeu, comme d'habitude. Seulement, ses précédent défis ne donnent pour l'instant que des résultats mitigés risquant de peser sur l'économie américaine en final.
Naturellement, pratiquement tous les pays appartenant à l'Otan le soutienne à part la Grèce et l'Italie.
Malgré tout, trump est tenu par le temps. Désormais, comme pour la Russie, où toute intervention doit se passer largement avant l'hiver, en ce qui concerne les Caraïbes, cela doit se passer avant le mois de novembre. Le mois de novembre, la saison des ouragans qui chaque année deviennent de plus en plus destructeurs.
Si, l'intervention américaine ne se déroule pas avant le mois de novembre la flotte devra revenir à sa base au moins dès le mois d'octobre, sinon avant.
Il reste donc sept mois.
rené
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