(La Chine prête à se battre aux côtés de la Russie, la Finlande prête à se battre aux côtés des Etats-Unis. Combien de temps pour les chinois pour transférer 100.000 militaires en Ukraine ? A mon avis moins de temps que le transfert des militaires des pays de l'UE en Ukraine.note de rené)
Russie: la Finlande prête à se battre, les USA prêts à défendre la Lituanie
Va-t-on assister à une nouvelle guerre dans la guerre? Les USA et leurs alliés semblent prêts à toute éventualité. C’est la conclusion que l’on peut tirer de la déclaration d’un officiel de la Finlande il y a quelques heures. La Finlande a en effet averti la Russie qu’elle était prête à se battre en cas d’attaque russe. Le chef des forces armées finlandaises, le général Timo Kivinen, a déclaré que le pays se préparait à une attaque russe depuis des décennies et qu’il opposerait une résistance acharnée si cela arrivait. Pour rappel, la Finlande a mené deux guerres contre la Russie dans les années 1940.
« Nous avons systématiquement développé notre défense militaire précisément pour ce type de guerre qui est menée là-bas (en Ukraine), avec une utilisation massive de la puissance de feu, des forces blindées et aussi des forces aériennes« , a complété le général Kivinen. Dans le même temps, les USA se disent prêts à défendre leur allié Lituanien en cas d’attaque de la Russie. Les États-Unis ont déclaré aujourd’hui que leur soutien à la Lituanie était « à toute épreuve » et que toute attaque contre le pays « constituerait une attaque contre tous les membres de l’OTAN » après que Moscou a menacé son voisin de « graves répercussions ».
« La Russie répondra certainement à de telles actions hostiles… Des mesures appropriées… seront prises dans un avenir proche… Leurs conséquences auront un impact négatif grave sur la population lituanienne » avait en effet déclaré Nikolaï Patrouchev, chef du conseil de sécurité de la Russie. Le département d’État américain a déclaré que Washington défendrait la Lituanie, membre de l’OTAN, si la Russie décidait de lancer un assaut contre le pays, faisant craindre une mondialisation du conflit.
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