samedi 4 juin 2022

 (Fauci, ce type est en passe de devenir milliardaire avec tout le pognon qui lui arrive de droite et de gauche et les dividendes de ses investissements par exemple dans le laboratoire de Wuhan en Chine. Vous remarquerez que pour tous les virus qui apparaissent ou vont apparaître comme le covid où la solution thérapie génique était déjà dans les tiroirs depuis plus de cinq ans et expérimentée sans succès sur les maladies auto-immunes des enfant, la solution est déjà là. Même si ils nous présentent le bébé comme le résultat d'une recherche acharnée réalisée dans l'urgence. note de rené)


Un nouveau vaccin contre la variole a été financé par Fauci et les NIH au début des années 2000


2 JUIN 2022   Nexus


Plus de 100 millions de dollars, c’est la somme investie depuis 2001 par Fauci et les NIH auprès du laboratoire Bavarian Nordic pour développer un nouveau vaccin contre la variole, celui qui deviendra l’Imvamune (appelé aussi Imvanex ou Jynneos), l’un des vaccins recommandés aujourd’hui contre la variole du singe.


 

Un article du Wall Street Journal datant de décembre 2005 nous éclaire sur la stratégie mise en place pour le développement de nouveaux vaccins contre la variole.

Qui est Fauci ?

Anthony Stephen Fauci est un immunologue américain, âgé maintenant de 80 ans. Au sein des National Institutes of Health (NIH), il est depuis 1984 le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), un centre de recherche du département américain de la Santé. Il a été successivement conseiller en chef pour la santé publique de huit présidents américains, de Ronald Reagan à Joe Biden. Au début de la crise Covid-19, il est nommé le 29 janvier 2020 à la cellule de crise de l’administration Trump sur le coronavirus (White House Coronavirus Task Force).

Au cœur de nombreuses polémiques, M. Fauci a participé au financement du laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan pour des recherches sur les coronavirus et les gains de fonction pour un montant total de 7,4 millions de dollars, d’après Newsweek.

 

 

Un scientifique qui déclare vouloir lutter contre le bioterrorisme

En 2005, un article du Wall Street Journal expliquait que suite au 11 Septembre, le Dr Fauci avait « joué un rôle inhabituel pour un responsable des NIH en soutenant les jeunes entreprises grâce aux subventions et aux contrats des NIH », car selon lui, les forces du marché ne suffisaient pas à « fournir les médicaments dont les Américains ont besoin pour se protéger du bioterrorisme ». Fauci et son agence, dont le nom officiel est l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, ont « accordé la plus haute priorité aux agents pathogènes de catégorie A tels que l’anthrax, la variole et la peste ».

Le Wall Street Journal explique que le financement de l’agence pour la biodéfense est passé de 42 millions de dollars par an en 2001 à près de 1,2 milliard de dollars en 2003 et à près de 1,7 milliard de dollars en 2004.

Le Dr Fauci dit avoir alors décidé de « financer des entreprises à grande échelle ».

Vaccin contre la variole : faire jouer la concurrence

En 2001, Bavarian Nordic A/S, une société de biotechnologie danoise, a présenté une idée de vaccin contre la variole à l’institut du Dr Fauci. Le vaccin existant étant considéré comme très risqué pour des personnes fragiles, cela a attiré son attention, car le nouveau vaccin aurait pu « être utilisé sur des patients atteints du sida ou d’autres maladies qui compromettent leur système immunitaire ».

Le Dr Fauci a commencé à financer la recherche et le développement d’un nouveau vaccin antivariolique par Bavarian, et a également commencé à financer un rival, Acambis PLC. Les NIH ont accordé plus de 100 millions de dollars à chaque société, les mettant ainsi en concurrence.

C’est Bavarian Nordic qui l’a emporté avec son vaccin Imvamune ou Imvanex, l’un des produits proposés aujourd’hui contre la variole du singe. D’après La Tribuneles États-Unis ont signé en 2007 un contrat d’un montant de 1,18 milliard de dollars avec Bavarian Nordic, allié à GlaxoSmithKline (GSK). La biotech danoise ayant passé avec succès toutes les étapes (développement, essais cliniques, autorisation de mise sur le marché), les États-Unis ont commandé 20 millions de doses.

Mais un an plus tard, Acambis n’était pas en reste puisque selon L’Usine nouvelle, il annonçait en effet la signature d’un contrat de dix ans d’une valeur totale de plusieurs millions avec le gouvernement américain pour son vaccin ACAM2000, aujourd’hui autorisé aux États-Unis.

 


 

 

Bientôt à nouveau la valse des vaccins ?

Alors que seulement quelques centaines de cas ont été détectés dans le monde et que la plupart des personnes infectées guérissent spontanément dans les deux à quatre semaines, sans traitement spécifique d’après BFM, les autorités et les médias s’affolent.
Ils annoncent déjà le début de la vaccination en affirmant comme The Conversation que « s’il n’y a pas de vaccin spécifique contre le virus du monkeypox, grâce à ce que l’on appelle la protection croisée, les vaccins contre la variole fonctionnent aussi contre la variole du singe ».

Où en est-on aux États-Unis ?

Aujourd’hui, deux vaccins contre la variole sont autorisés aux États-Unis. Tout d’abord l’ACAM2000, vaccin vivant atténué, déconseillé aux personnes immunodéprimées et aux femmes enceintes et allaitantes, a été approuvé en 2007 par la FDA, même s’il est réplicatif. « Bien qu’ACAM2000 ne puisse pas provoquer la variole, le virus qu’il contient peut se répliquer après l’administration du vaccin et se transmettre de la personne vaccinée à une personne non vaccinée qui entre en contact avec le site d’injection ou tout liquide qui s’en écoule, et ce jusqu’à 21 jours après. »
À cause d’effets secondaires « potentiellement significatifs », sa distribution à grande échelle nécessiterait « une vraie discussion », a estimé Jennifer McQuiston, responsable au sein des Centres de prévention et de lutte contre les maladies américains (CDC). Le pays en posséderait 100 000 doses.

Le deuxième vaccin autorisé est le Jynneos (connu selon le CDC également sous le nom de Imvamune ou Imvanex), vaccin vivant mais non réplicatif, et donc considéré comme plus sûr, autorisé aux États-Unis depuis le 24 septembre 2019. Les États-Unis n’en possèdent que 1 000 doses d’après Le Point.

Où en est-on en Europe et en France ?

À ce jour, en Europe, le vaccin Imvanex ou Imvamune dit « de troisième génération », est présenté comme étant le plus efficace contre la variole du singe à 85 % et celui qui engendre le moins d’effets secondaires. L’Imvanex est autorisé depuis 2013 en Europe et a bénéficié d’une autorisation de mise sur le marché « dans des circonstances exceptionnelles », car l’Agence européenne du médicament reconnaît qu’il n’a pas été « possible d’obtenir des informations complètes concernant Imvanex en raison de la rareté de la maladie ». Elle s’engage à examiner toute nouvelle information disponible chaque année et à mettre à jour si besoin le présent document.

Jynneos n’a toujours pas bénéficié d’une autorisation de l’Agence européenne du médicament mais étant présenté comme l’autre nom de l’Imvanex aux États-Unis par le site vaccins.net, car ils sont identiques à quelques nuances près (traces résiduelles de ciprofloxacine uniquement dans le cas d’Imvanex, délai d’utilisation plus court du Jynneos après décongélation, obtention d’une AMM officielle pour la prévention de la variole du singe en plus de la variole pour Jynneos), il est néanmoins autorisé en France depuis quelques jours : selon un arrêté du 25 mai 2022, « à titre dérogatoire, peuvent être autorisés dans le traitement prophylactique contre la variole du singe des personnes contacts à risque d’une personne atteinte de l’infection ou des professionnels de santé en milieu de soins exposés au virus Monkeypox » les vaccins Imvanex et Jynneos, tous deux validés à titre dérogatoire, tous deux contenant une forme modifiée du virus de la variole et tous deux produits par Bavarian Nordic, le laboratoire financé par le Dr Fauci et les NIH.

 


Legeneraliste.fr précise qu’ils sont tous les deux des vaccins vivants issus d’une même souche virale « hautement atténuée » – le
« modi ed vaccinia Ankara virus de Bavarian Nordic (MVA-BN), qu’ils contiennent les mêmes excipients (trométamol, chlorure de sodium, eau pour préparation injectable) et à peu près les mêmes « traces résiduelles » potentielle (cellules d’embryons de poulet, benzonase, gentamicine – et cipro oxacine uniquement dans le cas d’Imvanex)

À noter une différence relative au stockage des vaccins antivarioliques : après décongélation, Jynneos doit être utilisé plus rapidement qu’Imvanex (sous 12 heures pour Jynneos, dans les 8 semaines pour Imvanex, si conservation à l’abri de la lumière entre 2 °C et 8 °C).

Au-delà de ce distinguo dans la conservation des vaccins, la principale différence entre Imvanex et Jynneos apparaît réglementaire. « Le vaccin Imvanex a obtenu une Autorisation de Mise sur la Marché (AMM) Européenne sous circonstances exceptionnelles le 31 juillet 2013 dans l’indication de l’immunisation active contre la variole chez les adultes », rapporte l’ANSM. Le vaccin Jynneos, lui, « a obtenu une AMM aux États-Unis depuis le 24 septembre 2019 à la fois dans la prévention de la variole et de la variole du

singe ». Si bien que la HAS semble considérer que Jynneos est simplement un nom alternatif d’Imvanex, sous lequel le vaccin a obtenu une autorisation Outre-Atlantique.

 

Découvrira-t-on bientôt, tout comme ils l’ont fait pour le coronavirus, qu’ils ont financé des recherches sur les gains de fonction de la variole du singe ?

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