Vaccinations COVID-19 : les recommandations de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) interpellent (Suisse)
Réseau International, 28 juin 2022
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par François Meylan.
En Suisse, les recommandations relatives à la vaccination de rappel avec un vaccin à ARNm (état au 23.05.2022) interpellent l’Association Anticrim à plus d’un titre.
Précisions sur l’environnement actuel :
a) Les effets indésirables graves provoqués par la « vaccination » contre la Covid-19 ne cessent d’augmenter. Il suffit de consulter le site internet de l’Organisation mondiale de Santé (OMS) VigiAccess pour s’en rendre compte avec 3 917 924 cas recensés au 24 juin 2022 : l’Europe semble être plus touchée avec 49% des cas reportés et en particulier les femmes avec 67% des cas reportés sur le plan mondial1.
b) Grégoire Gogniat, porte-parole de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP), interrogé par Keystone-ATS, a confirmé que 620 000 doses étaient à présent périmées et devaient être détruites. Il n’est pas exclu que d’autres lots subissent le même sort. Environ 7 millions de doses attendraient encore dans les frigos de l’armée suisse, alors que la vaccination a fortement ralenti. La Confédération a acheté au total 34 millions de doses seulement pour l’exercice 2022. Ce qui peut paraître sidérant pour une population de 8,4 millions d’âmes2.
c) Le gouvernement suisse est sommé par quelques sénateurs et députés de s’expliquer sur les achats de doses qui semblent exagérés3.
d) L’autorité suisse du médicament Swissmedic annonce 15 228 déclarations de cas d’effets indésirables présumés de vaccins contre la Covid-19 évaluées, avec 210 décès – le rapport bénéfice-risque des vaccins utilisés reste globalement positif… que veut dire « globalement positif » ?
Selon les sources, on estime que seulement un à trois pour cent des effets indésirables sont annoncés. Quelle serait alors l’appréciation de Swissmedic si ce n’étaient pas 15 228 déclarations mais 500 000 ? Ou même un million de cas ?4
e) Qu’en-est-il de nos médias mainstream qui étaient jadis si prompts à révéler les effets secondaires d’autres médicaments et qui là les passent sous silence ?
f) Le dernier cri du cœur de la scientifique de renom Alexandra Henrion-Caude interviewée sur Sud radio le 23 juin dernier devrait nous interpeller : « ces inoculations géniques non seulement ne protègent pas contre la Covid-19 mais provoquent des effets indésirables graves tels qu’une réduction de la fertilité masculine de 22% ; des ménopauses à l’âge de 30 ans ; des perturbations sévères des cycles menstruels ; une augmentation des atteintes au système neurologique ; une augmentation exponentielle des myocardites et péricardites pour ne mentionner que ces effets5.
C’est dans ce contexte, qu’en Suisse, les dernières recommandations de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) en matière de vaccination de rappel ARNmessager contre la Covid-19 interpellent6.
Elles tiennent dans un document de 23 pages qui est publié sur Internet mais qui est d’une compréhension particulièrement ardue. C’est « simplement incompréhensible » et traite des recommandations de rappel pour les individus résidant en Suisse âgés de 5 à 64 ans. Pourtant, on parle bien de santé publique et d’une inoculation qui demeure toujours au stade expérimental. Avec une technologie l’ARNmessager qui malgré des investissements colossaux durant des décennies n’a jamais permis de mettre sur le marché un seul médicament. Si ce ne sont les produits des laboratoires américains Pfizer et Moderna contre la Covid-19, par le biais d’une procédure d’exception. Ces mêmes laboratoires dictent aujourd’hui tant le rythme que le contenu d’officines telles que Swissmedic et l’OFSP. Trivialement, ce sont les stocks exagérés de « vaccins » ARNmessager constitués sur le dos du contribuable entre 2021 et cette année avec des engagements déjà pris pour 2023 qui paraissent être la priorité de deux institutions étatiques à l’encontre desquelles il est légitime de s’interroger : pour quels lobbyistes roulent-elles ? Les « vaccins » ARNmessager ne protègent ni de la contamination ni de la transmission de la Covid-19 et de ses variants alors pourquoi s’acharner à administrer des doses de rappel si ce n’est que pour écouler des stocks, sous la pression de leurs caducités ? Pire encore, personne ne peut apporter une quelconque preuve scientifique que ces pseudos vaccins aient circonscrit l’épidémie ni même qu’ils ont été efficaces contre les cas graves. Mais le comble de l’horreur est encore – hormis la multiplication des effets secondaires graves – que les personnes « vaccinées » 3 à 4 fois et qui attrapent quand-même la Covid-19 se multiplient.
Imaginons : vous vous vaccinez contre le tétanos et toutefois vous l’attrapez par la suite ! Qu’allez-vous penser de l’efficacité dudit vaccin ? Qu’il ne fonctionne pas. Pourquoi alors ne réagissons nous pas de la même manière avec ces inoculations expérimentales qui ne fonctionnent pas ?
Que disent ces 23 pages qui sont si ardues ?
Nous relèverons, en particulier, les points suivants :
« Le point 3.1 c, premier alinéa) Jeunes âgés de 12 à 15 ans
Dans la situation épidémiologique actuelle, la CFV et l’OFSP recommandent la vaccination de rappel aux jeunes de 12 à 15 ans s’ils souhaitent augmenter leur protection contre une infection légère (et les effets indirects négatifs associés) et réduire le risque de transmettre le virus lors de contacts étroits (membres du même ménage, en particulier s’agissant de personnes moins bien protégées malgré la vaccination car présentant une immunodéficience sévère). »
Remarque : l’OFSP ignore-t-il que l’inoculation ARNmessager ne protège ni de la contamination ni de la transmission ?
Plus loin :
« Le risque d’effets indésirables rares et graves tels qu’une myocardite chez les adolescents après une 3ème dose de vaccin ARNm n’est pas encore connu ».
Remarques : ne nous a-t-on pas dit et répété sur les plateaux de télévision que finalement la myocardite n’était pas grave ? Est-ce que cette déclaration de l’OFSP inspire confiance pour « vacciner » nos adolescents ?
« Le point 3.2 Groupes de personnes pour lesquelles la vaccination de rappel n’est actuellement pas recommandée. Les personnes âgées de 5 à 11 ans. Les données disponibles quant au bénéfice de la vaccination de rappel pour ces personnes sont encore très limitées. »
Que l’OFSP ne dispose pas de ses propres observations en matière de sécurité du vaccin. Elle en est réduite à « argumenter » avec des comptes rendus venant de l’étranger tel on le découvre au « Point 5.3 Sécurité (Comirnaty® de Pfizer-BioNTech). En Israël, plus d’un million de personnes âgées de ≥ 60 ans avaient reçu une vaccination de rappel avec le Comirnaty® à la fin août 2021. La vaccination de rappel a depuis été recommandée à toute la population. Israël n’a pas encore publié de données sur la sécurité. Aucun signal de sécurité ne semble toutefois avoir été identifié sur les 2,7 millions de personnes vaccinées à la mi/fin septembre 2021 ; le nombre d’EIV déclarés après la troisième dose n’était par ailleurs pas supérieur à celui rapporté après la deuxième dose (Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee, FDA, présentation du 17 septembre 2021). Des données de sécurité non publiées provenant d’Israël et portant sur 6300 jeunes âgés de 12 à 15 ans ayant reçu un rappel ne font état d’aucun problème de sécurité (cf. communiqué de presse de la FDA).
Une étude observationnelle menée au Royaume-Uni sur plus de 42 millions de participants âgés de 13 ans et plus indique que le risque d’hospitalisation pour myocardite augmente – tout en restant faible – avec le nombre de doses de vaccin Comirnaty® reçues, et ce aussi après la 3e dose. Dans le groupe d’âge des hommes de moins de 40 ans, le rapport IRR (Incidence Rate Ratio) d’hospitalisation pour myocardite est passé de 1,66 (IC 95% : 1,14 – 2,41) pour la période jusqu’à 28 jours après la 1ère dose à 3,41 (IC 95% : 2,44-4,78) après la 2ème dose et à 7,60 (IC 95% : 1,92-30,15) après la 3ème dose (la différence entre la 3ème dose et les deux premières doses de vaccin n’est toutefois pas significative). Il n’est pas possible de se prononcer sur le risque dans le groupe d’âge 13–17 ans en raison du nombre insuffisant de participants. »
« Le point 6.3 Sécurité (Spikevax®, Moderna)
Des données sur la sécurité d’une vaccination de rappel avec le Spikevax® (période d’observation d’un mois) sont disponibles pour 171 personnes âgées de ≥ 18 ans ayant participé à l’étude de phase II P201B. Le nombre d’EIV rapportés jusqu’à 6 mois après la vaccination de rappel était plus faible qu’après la deuxième dose (12,9% contre 31,1%). Le nombre d’EIV graves était quant à lui comparable à celui constaté pour la deuxième dose (1,2% contre 1,4%) ; aucun lien avec la vaccination n’a été mis en évidence. Le nombre de participants est toutefois trop faible pour tirer des conclusions sur les EIV non fréquents. »
Remarque : la déclaration « Le nombre de participants est toutefois trop faible pour tirer des conclusions sur les EIV non fréquents » encourage-elle vraiment l’inoculation de ces produits expérimentaux ARNmessager est-elle vraiment encourageante pour « vacciner » nos moins de 18 ans ?
Nous pouvons poursuivre ainsi la lecture des 23 pages de cette information officielle et publique du 23 mai 2022 et relever tout et son contraire dans chacun de ses nombreux alinéas.
En nous référons aux données de la plateforme « statista »7 nous apprenons que quelques 537 millions d’individus ont été malades de la Covid-19 et de ses variants au 21 juin 2022 et que 6,31 millions d’entre eux sont décédés de ou avec la Covid-19. Ce qui représente un taux de mortalité de 1.17504655% ! Toutes classes d’âges confondues en sachant que l’âge médian des décédés est de 85 ans. Les décédés de ou avec la Covid-19 sont répertoriés depuis l’hiver 2020 alors que les cas graves d’effets secondaires ne sont enregistrés que depuis l’hiver 2021. Pourtant l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) totalise déjà près de 4 millions d’effets secondaires graves dus à ces inoculations. Tenant en compte que seulement un à dix pour cent sont communiqués. Les données actuelles ne peuvent qu’inviter un esprit responsable a décréter sans délai un moratoire sur ces injections ARNmessager. Nous terminerons avec cette question fondamentale : « Que font nos faiseurs d’opinions qui sont censés défendre les intérêts du peuple soit les journalistes et les politiques ? »
Anticrim
Le Comité
PA François Meylan
Case postale 7
CH-1110 Morges
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