(Je connais une personne qui devait prendre l'avion et a fait un test PCR et a été déclaré covid l'empêchant de prendre l'avion alors qu'elle n'a qu'un simple rhume. Rhume qu'elle soigne avec des tisanes chaudes de citron et de miel avec de l'essence de niaouli sur l'écharpe en restant au chaud puisqu'en France, c'est l'hiver. Il semble que les français ne sachent plus reconnaître un rhume ou une grippe quand le docteur leur dit positif covid. note de rené)
Le test COVID est devenu ridicule et même contre-productif
La version Omicron du COVID est si légère qu’on ne la distingue pas d’un rhume. De nombreuses personnes sont asymptomatiques. Nous savons aussi maintenant que les premiers décomptes de COVID étaient presque certainement erronés parce que le test dominant utilisé était incapable de faire la distinction entre COVID et la grippe ordinaire. Néanmoins, Joe Biden a investi près de 140 millions de dollars dans une société allemande qui construira une usine de tests à domicile en Amérique… d’ici 2024.
Ce n’est pas un secret à ce stade qu’Omicron a été surestimé. Il est si négligeable que beaucoup de gens savent qu’ils l’ont seulement parce qu’ils ont été testés. Même ceux qui ont des symptômes ont seulement l’impression d’avoir un rhume. Ils s’identifient simplement comme malades d’Omicron. Il suffit de regarder les lignes de tendance extrêmement différentes entre les cas et les décès pour comprendre qu’Omicron est un gros rien du tout :
En effet, Omicron peut ou non être extrêmement contagieux. Il est difficile de le savoir car le CDC, après avoir annoncé que 73% des cas de COVID en Amérique étaient maintenant des Omicron, a fait marche arrière et dit maintenant que seulement 23% le sont, le reste étant le variant Delta. Mais si ces cas sont le variant Delta, ils doivent être sacrément bénins s’ils ne se distinguent pas du variant Omicron et si les cas diminuent.
Quoi qu’il en soit, il est tout à fait possible que le COVID ait été largement surestimé depuis le début. En effet, il s’avère que le test PCR était incapable de distinguer le COVID de la grippe. Les démocrates ont insisté sur le fait que la grippe avait disparu à cause des masques et de la distanciation sociale, mais il apparaît maintenant que la grippe a disparu du radar parce que tous les cas ont été classés à tort dans la catégorie COVID.
Et bien sûr, il y a le petit problème que les personnes vaccinées sont les plus susceptibles d’attraper Omicron. Heureusement, ils ne tombent pas très malades, mais ce fait détruit complètement l’argument selon lequel les non-vaccinés maintiennent le COVID en vie en Amérique.
Actuellement, la seule chose qui maintient le COVID à la une des journaux est la manie des tests. Je connais une femme qui publie sur Facebook au moins une fois par mois pour dire qu’elle va se faire tester. Il n’est pas évident qu’elle ait jamais été sérieusement symptomatique. Au contraire, le moindre reniflement ou la moindre toux la pousse à se précipiter pour faire un test. Les tests sont le rêve de l’hypocondriaque.
En utilisant comme point de départ les tests COVID à domicile que D.C. distribue, Christopher Bedford explique pourquoi ces tests sont si stupides :
En regardant ce kit mercredi matin, en reniflant, j’ai pensé : « Pourquoi ferais-je ça ? »
Sérieusement, pourquoi diable ferais-je ça ? Est-ce que j’habite en Floride, où, si je suis gravement malade, on me donnera accès à des traitements par anticorps monoclonaux pendant que ma famille, mes amis et mes voisins continueront à vivre leur vie ? Est-ce que je vis en Géorgie ou au Texas, où je recevrais la même chose ? Ou au Tennessee, en Alabama, au Mississippi ou en Louisiane ?
Ou bien est-ce que j’habite dans une ville où les chiffres seront communiqués à la presse, où les écoles seront fermées, où les mandats des masques seront prolongés, où de nouvelles restrictions seront imposées aux éternels méchants « non-vaccinés », et où, si j’ai un mauvais cas, je devrai conduire des heures pour trouver une pharmacie qui accepte d’exécuter une ordonnance médicale ?
Les tests ne font rien d’autre que permettre aux bureaucrates et aux médias d’entretenir la panique. C’est terminé.
Mais Biden comprend le besoin continu de panique. C’est pourquoi il vient de signer un accord de 137 millions de dollars avec une société allemande pour construire une usine dans le Wisconsin afin de produire davantage d’enfants testés par le COVID… d’ici fin 2024 :
L’administration Biden a conclu un accord de 137 millions de dollars pour la construction d’une nouvelle usine aux États-Unis afin d’accélérer la production de kits de test COVID-19 – mais la nouvelle installation ne sera pas terminée avant fin 2024 au plus tôt.
MilliporeSigma, une marque formée par l’entreprise allemande Merck KGaA, va construire une nouvelle usine à Sheboygan, dans le Wisconsin, a annoncé le ministère de la défense alors que les États-Unis ont atteint mercredi le record de 489 267 cas de COVID
Le contrat donne à la société trois ans pour achever l’installation, mais on ne sait pas encore quand elle atteindra sa pleine production, qui devrait permettre de réaliser 83,3 millions de tests par mois.
Ce plan n’est pas aussi stupide qu’il n’y paraît. Les démocrates ont compris que les descendants des Américains qui ont mené une révolution pendant une épidémie de variole, qui ont combattu pendant la guerre de Sécession, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre de Corée, la guerre du Viêt Nam et les deux guerres du Golfe, qui ont survécu à des voyages (volontaires ou en esclavage) à travers des océans dangereux ; qui ont vécu des dépressions et des récessions, qui ont parcouru des milliers de kilomètres dans des chariots couverts et qui ont peuplé une région sauvage dangereuse, peuvent être complètement contrôlés si on leur dit qu’ils ont un rhume ou une grippe, avec un taux de mortalité de 1 % pour les personnes très âgées ou présentant des comorbidités.
Sachant cela, si vous vouliez un pouvoir politique permanent, ne feriez-vous pas en sorte que les Américains soient constamment informés qu’ils sont très, très malades ?
Sources : Zero Hedge, American Thinker – Traduit par Anguille sous roche
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