(Les pauvres chéris, mais ce sont leurs pères et mères qui mettent toutes ces règles en application. note de rené)

Rapport : Des étudiants de Yale avertissent que la tyrannie du COVID a transformé le campus en un « État de surveillance » semblable à la Stasi

29 JANVIER 2022 anguille sous roche

L’école émet des avertissements de conformité à toute personne prise en flagrant délit de violation des restrictions et signalée aux autorités par des camarades de classe.

Certains étudiants de Yale avertissent que la litanie de restrictions et de règles, ainsi que le système mis en place par l’université pour dénoncer toute personne qui les enfreint, ont transformé le campus en un « État de surveillance » contrôlé par des étudiants ressemblant à des agents de la Stasi qui s’agacent de voir les autres violer les décrets en constante évolution.

Le Washington Free Beacon rapporte que des plaintes sont déposées anonymement contre toute personne ne portant pas de masque ou se livrant à des « poignées de main, des accolades et des high-fives ».

Dans un exemple cité dans le rapport, un étudiant était à la bibliothèque en train de regarder un film sans personne autour de lui, mais il a été surpris et filmé en train de commettre le péché capital de ne pas porter le masque.

Quarante-huit heures plus tard, l’étudiant a reçu un avertissement des responsables de l’école déclarant qu’il n’avait « pas respecté les engagements que vous aviez pris dans le cadre du Yale Community Compact ».

La note précisait que l’étudiant serait autorisé à donner sa version des faits, puis que les responsables « réexamineraient l’affaire et décideraient si [sa] conduite présente un risque pour la santé et la sécurité de [lui-même] ou d’autres membres de la communauté ».

Au bout de quinze jours, l’étudiant a reçu un autre avertissement indiquant : « Si vous continuez à avoir un comportement qui viole le Yale Community Compact, vous serez placé en alerte de santé publique et vous risquez de subir des conséquences plus graves, notamment le retrait de votre autorisation de séjourner sur le campus. »

Le Beacon note qu’il s’agit loin d’un incident isolé, un étudiant ayant déclaré aux journalistes que la plupart des étudiants sont contre les restrictions, mais qu’ils sont devenus une « majorité silencieuse » de peur de subir la « honte » et les « conséquences administratives » s’ils résistent.

Un autre étudiant, qui a été dénoncé aux autorités de manière anonyme, a déclaré : « Je n’ai aucune idée de qui m’a dénoncé », ajoutant : « Le système a réussi à maintenir les gens dans la peur. »

Le rapport note également que des étudiants se retrouvent dans le collimateur pour avoir publié des photos non masquées sur les médias sociaux.

Dans un post Instagram relatant comment il avait été signalé pour avoir mangé à l’extérieur sans masque, en violation de l’interdiction de manger hors du campus de Yale, un étudiant a noté « C’est trop de pouvoir à mettre entre les mains des étudiants », en insistant sur le fait que « les gens peuvent être mesquins et mettre leurs camarades en difficulté avec des normes qui changent toutes les cinq minutes ».

Yale et d’autres universités comme elle sont des microcosmes du monde extérieur où quiconque est vu comme ayant une opinion qui ne correspond pas exactement à ce que les autorités exigent est dûment « exposé » et ostracisé.

Plusieurs écoles américaines ont menacé de couper complètement les services de base, y compris l’accès à Internet pour les étudiants, si elles ne se conformaient pas entièrement à toutes les restrictions du COVID sur le campus.

Comme nous l’avons déjà signalé, les établissements d’enseignement supérieur sont utilisés comme terrains d’expérimentation de la technologie pour appliquer des mesures draconiennes de mise à distance, de masquage et de confinement :

Les universités menacent également de suspendre les étudiants qui osent quitter les zones « bulles »prédéterminées autour des campus ou visiter des entreprises non « approuvées » sans autorisation.

D’autres universités sont allées jusqu’à exiger des étudiants qu’ils portent un masque lorsqu’ils ont des rapports sexuels, même s’il s’agit de rapports sexuels avec leurs propres mains.

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