(Au sujet du documentaire Hold-up où un intervenant accuse l'institut Pasteur d'avoir crée le virus Covid 19 dans son laboratoire au Vietnam, aux portes de la Chine pour ainsi dire, en montrant les deux brevets déposés par l'Institut Pasteur pour ce virus. note de rené)
Tenu responsable de l'épidémie de coronavirus par des thèses dites complotistes depuis plusieurs semaines, l'Institut Pasteur passe à l'offensive. Le laboratoire français a — selon des informations de Checknews et LCI — déposé lundi dernier une plainte en diffamation contre Pierre Barnérias, le réalisateur du documentaire controversé Hold-Up.
Nul doute que l'Institut Pasteur ne laissera pas les « théories complotistes » ternir son image. Ce film controversé, dont des personnalités avaient fait la promotion sur les réseaux sociaux, défend la thèse selon laquelle le Covid-19 est une manipulation des gouvernants. Il existe pourtant un certain nombre de faisceaux de preuves qui permettent de croire pourtant que c'est le cas. Le documentaire accuse l'Institut d'avoir fabriqué le coronavirus « en insérant une séquence d'ADN de la malaria dans un virus peu dangereux ». Aurait-il tort ou raison ?
Rappelons néanmoins que dans une étude que nous avons traduit et publié à partir de l'article source publié lui dans bioRxiv le 31 janvier 2020, des scientifiques indiens ont trouvé dans 2019nCov des insertions semblables au SIDA qui ne sont pas présentes dans les autres coronavirus. Cela laisse penser que le virus pourrait être le résultat de manipulations génétiques.
Il n'empêche que l'Institut Pasteur a indiqué à LCI que
Deux autres plaintes ont été déposées contre d'autres vidéos circulant sur Internet et une émission de Radio Courtoisie. Celle déposée en mars contre le Youtubeur Cat Medusa — qui avait également affirmé que l'Institut Pasteur était derrière le Covid-19 en citant ce même brevet déposé en 2004 — avait été condamné à une amende de 5 000 euros avec sursis. Pasteur met en garde contre ses futurs potentiels accusateurs adeptes des théories du complot :
Le but du documentaire étant de dénoncer les mensonges autour de l'épidémie sanitaire, on peut aisément comprendre que la presse se soit empressée de dénigrer les critiques faites concernant la gestion du virus. Ainsi depuis quelques jours les journaux Le Quotidien et Le Progrès, les chaînes de télévision France 5 ou LCI, tous cherchent absolument à décrédibiliser les affirmations faites, en qualifiant le documentaire de « complotiste », de « folie moderne de la rationalité » ou encore « d'insulte pour les médecins réanimateurs qui se battent constamment pour vaincre la mort » (selon Le Progrès). De nombreuses personnalités accusent le documentaire de véhiculer des « fake news ».
Dans les rangs de la majorité présidentielle, tout comme dans ceux des médias aux ordres, ce film documentaire est taxé de conspirationnisme et de complotisme. Pourtant :
Voici deux extraits choisis de L'homme révolté de Camus :
Les interventions de Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude qui sont généticiens et ont travaillé directement sur le génome sont passionnantes et nous permettent d'envisager que le virus ait pu être créé dans le labo P4 de Wuhan avec le soutien de l'institut Pasteur dans le cadre d'un projet de recherche. Ce n'est qu'une hypothèse, une spéculation mais qui a plus de fondement que les affirmations gratuites de l'origine du virus chez le Pangolin ou la chauve-souris... Dont plus personne ne parle d'ailleurs.
Voici l'intervention radiodiffusée du Professeur Montagnier sur le sujet :
Or, tous ces journalistes qui veulent la peau de Hold-up ont affirmé la bouche en cœur que le virus venait d'une chauve-souris puis d'un pangolin...
Il faudrait voir à enlever la poutre de leur œil avant de chercher la paille dans celui de Barnérias.
Nous aimerions aussi entendre l'avis contradictoire de l'Institut Pasteur. Pasteur peut-il nous dire tout ce qu'ils ont fait depuis 2017 et continuent de faire au labo P4 de Wuhan ? Eux savent bien si le virus est sorti de chez eux. Ils savent bien si c'est leur matériel génétique ou non.
Nous avons apporté les réponses à ces questions dans notre Focus publié début juillet « Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 », dont la conclusion est, pour rappel, la suivante : Sources des articles : Le Figaro — Investisseur sans costumes — Radio Courtoisie
Nul doute que l'Institut Pasteur ne laissera pas les « théories complotistes » ternir son image. Ce film controversé, dont des personnalités avaient fait la promotion sur les réseaux sociaux, défend la thèse selon laquelle le Covid-19 est une manipulation des gouvernants. Il existe pourtant un certain nombre de faisceaux de preuves qui permettent de croire pourtant que c'est le cas. Le documentaire accuse l'Institut d'avoir fabriqué le coronavirus « en insérant une séquence d'ADN de la malaria dans un virus peu dangereux ». Aurait-il tort ou raison ?
Rappelons néanmoins que dans une étude que nous avons traduit et publié à partir de l'article source publié lui dans bioRxiv le 31 janvier 2020, des scientifiques indiens ont trouvé dans 2019nCov des insertions semblables au SIDA qui ne sont pas présentes dans les autres coronavirus. Cela laisse penser que le virus pourrait être le résultat de manipulations génétiques.
Il n'empêche que l'Institut Pasteur a indiqué à LCI que
« L'extrait vidéo que l'on voit à partir de 1h 49 dans le documentaire Hold-Up et qui cite l'Institut Pasteur a été versé à un dossier plus large remis à la justice. »Dans cette séquence, l'ancien pharmacien Jean-Bernard Fourtillan — qui a osé tester des patchs qu'il avait lui même conçus sur des malades atteints de Parkinson et Alzheimer sans autorisation de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament — affirme que le Covid-19 « a été fabriqué par l'Institut Pasteur ». Il appuie ses dires sur le dépôt en 2004 d'un brevet par l'Institut pour la recherche d'un vaccin contre le Sras, une autre forme de coronavirus qui a tué, selon Santé Publique France, 774 personnes entre 2002 et 2003 dans le monde.
Deux autres plaintes ont été déposées contre d'autres vidéos circulant sur Internet et une émission de Radio Courtoisie. Celle déposée en mars contre le Youtubeur Cat Medusa — qui avait également affirmé que l'Institut Pasteur était derrière le Covid-19 en citant ce même brevet déposé en 2004 — avait été condamné à une amende de 5 000 euros avec sursis. Pasteur met en garde contre ses futurs potentiels accusateurs adeptes des théories du complot :
« Face aux fausses informations de nature conspirationniste et aux propos mensongers diffusés à son sujet, l'Institut Pasteur dépose et déposera plainte chaque fois que nécessaire. »Pourquoi ce documentaire dérange-t-il tant la sphère médiatique ?
Le but du documentaire étant de dénoncer les mensonges autour de l'épidémie sanitaire, on peut aisément comprendre que la presse se soit empressée de dénigrer les critiques faites concernant la gestion du virus. Ainsi depuis quelques jours les journaux Le Quotidien et Le Progrès, les chaînes de télévision France 5 ou LCI, tous cherchent absolument à décrédibiliser les affirmations faites, en qualifiant le documentaire de « complotiste », de « folie moderne de la rationalité » ou encore « d'insulte pour les médecins réanimateurs qui se battent constamment pour vaincre la mort » (selon Le Progrès). De nombreuses personnalités accusent le documentaire de véhiculer des « fake news ».
Dans les rangs de la majorité présidentielle, tout comme dans ceux des médias aux ordres, ce film documentaire est taxé de conspirationnisme et de complotisme. Pourtant :
« Un indice sur le caractère dérangeant de ce documentaire est la censure, sur les réseaux sociaux, que subissent les publications qui évoquent son existence. Ce film est évidemment qualifié, dans la plus pure novlangue de l'oppression, de produit « complotiste ». Je précise aux lecteurs que ce vilain mot de « complotiste » (inconnu du dictionnaire) est un terme autrefois fabriqué par la CIA, et utilisé pour dévaloriser toute tentative de contestation et d'explication alternative d'un fait, d'une politique etc. En clair, le terme « complotiste » est destiné à tuer dans l'œuf toute tentation du doute, toute velléité d'analyse et de déconstruction d'une explication dominante, toute interprétation alternative d'un fait. Ce mot est donc un outil idoine pour asseoir un régime sans possibilité d'en faire la critique. »Ce film est :
- Polémique : de polemos, secouer, agiter.
- Radical : il cherche à aller à la racine. À comprendre la crise dans sa globalité en profondeur, quitte à se perdre et faire des fautes.
- Spéculatif : Au sens intellectuel de contempler, de faire un pas de côté et se demander... Et si.
Voici deux extraits choisis de L'homme révolté de Camus :
« À la fin, quand l'Empire affranchira l'espèce entière, la liberté régnera sur des troupeaux d'esclaves, qui, du moins, seront libres par rapport à Dieu et, en général, à toute transcendance. »
« L'abstraction, propre au monde des forces et du calcul, a remplacé les vraies passions qui sont du domaine de la chair et de l'irrationnel. Le ticket substitué au pain, l'amour et l'amitié soumis à la doctrine, le destin au plan, le châtiment appelé norme, et la production substituée à la création vivante, décrivent assez bien cette Europe décharnée, peuplée de fantômes, victorieux ou asservis, de la puissance. »C'est à cause de — ou grâce à — cela que ce document est critiquable, qu'il est digne de critique. Malgré toutes ses erreurs et malgré ses fautes, il mérite notre attention. Il mérite notre attention aussi car un travail titanesque est à l'origine de ce film. Le travail de Barnérias bien sûr, mais surtout celui des 37 intervenants dont beaucoup ont consacré leur vie à la science et à la recherche, au travail. En voici quelques-uns :
- Michael Levitt, prix Nobel de chimie ;
- Astrid Stuckelberger, médecin et Professeur d'université ;
- Michael Yeadon, ancien directeur de la recherche de Pfizer ;
- Xavier Azalbert, directeur de la publication de France Soir ;
- La députée Martine Wonner ;
- Miguel Barthelery, docteur en médecine moléculaire ;
- Alexandra Henrion-Caude : généticienne directrice de recherche à l'Inserm ;
- Violaine Guerin, endocrinologue et gynécologue ;
- Le professeur Montagnier, prix Nobel de médecine pour sa découverte du VIH ;
- Christian Perronne, chef de service des maladies infectieuses de Garches ;
- Regis de Castelnau, avocat.
Les interventions de Luc Montagnier et Alexandra Henrion-Caude qui sont généticiens et ont travaillé directement sur le génome sont passionnantes et nous permettent d'envisager que le virus ait pu être créé dans le labo P4 de Wuhan avec le soutien de l'institut Pasteur dans le cadre d'un projet de recherche. Ce n'est qu'une hypothèse, une spéculation mais qui a plus de fondement que les affirmations gratuites de l'origine du virus chez le Pangolin ou la chauve-souris... Dont plus personne ne parle d'ailleurs.
Voici l'intervention radiodiffusée du Professeur Montagnier sur le sujet :
Or, tous ces journalistes qui veulent la peau de Hold-up ont affirmé la bouche en cœur que le virus venait d'une chauve-souris puis d'un pangolin...
Il faudrait voir à enlever la poutre de leur œil avant de chercher la paille dans celui de Barnérias.
Nous aimerions aussi entendre l'avis contradictoire de l'Institut Pasteur. Pasteur peut-il nous dire tout ce qu'ils ont fait depuis 2017 et continuent de faire au labo P4 de Wuhan ? Eux savent bien si le virus est sorti de chez eux. Ils savent bien si c'est leur matériel génétique ou non.
Nous avons apporté les réponses à ces questions dans notre Focus publié début juillet « Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 », dont la conclusion est, pour rappel, la suivante : Sources des articles : Le Figaro — Investisseur sans costumes — Radio Courtoisie
Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l'équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n'enlèvent en rien l'intérêt qu'elle porte aux autres. Quand elle n'a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire