samedi 28 novembre 2020

 (De la gélatine de cochon, ils font comment les musulmans, le paradis va leur être fermé. note de rené)


10 ingrédients toxiques que vous ne pensiez pas retrouver dans la plupart des vaccins

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Les substances toxiques nous entourent sous de nombreuses formes, mais celles que l’on trouve dans les vaccins sont de plus en plus préoccupantes pour les parents, et à juste titre. Des substances dangereuses abondent dans les vaccins que nos agences gouvernementales ne cessent de répéter qu’ils sont sans dangers.

En plus du thimérosal, un agent de conservation à base de mercure étant une neurotoxine connue qui a été associée à de nombreux problèmes de santé graves y compris l’autisme, les vaccins sont truffés d’autres composants souvent douteux, à savoir :

…. aucune étude n’a été effectuée pour déterminer les effets synergiques potentiels de plusieurs ingrédients vaccinaux administrés en combinaison.

Vous trouverez ici ( Lien en Anglais ) une liste exhaustive de tous les ingrédients contenus dans tous les vaccins, mais il est important de souligner (ou plutôt de mettre en lumière, si vous voulez) quels sont les composants les plus puissants et quel impact ils peuvent avoir sur la santé de nos enfants.

1. Thimérosal :

L’American Academy of Pediatrics (AAP) affirme que le thimérosal a été retiré des vaccins pour enfants par mesure de précaution en 2001, mais les derniers lots de vaccins de série pour enfants contenant du thimérosal n’ont en fait expiré qu’en janvier 2003. On nous a fait croire que le thimérosal était éliminé de tous les vaccins, mais ce n’était pas le cas. On le trouve dans certains vaccins contre la grippe – y compris certains vaccins administrés aux nourrissons et aux femmes enceintes – dans le vaccin antitétanique (Tt) et les vaccins antiméningococciques. Plus de 80 études compilées par le World Mercury Project montrent que les effets sur la santé de l’exposition humaine au mercure comprennent les difficultés cognitives (comme l’autisme), la perte de mémoire et de vision, les problèmes de coordination, les tremblements, les éruptions cutanées et l’instabilité de l’humeur. Le mercure est une neurotoxine connue, mais il est encore injecté à des personnes de tous âges avec une régularité alarmante.

Note ExoPortail : en France, un seul vaccin commercialisé actuellement contient du thiomersal -vaccin SPIROLEPT, contre la leptospirose. Le retrait du composant dans les autres vaccins s’est aligné sur la décision américaine )

2. Aluminium :

Les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) expliquent que des gels ou des sels d’aluminium sont ajoutés comme adjuvants pour aider le vaccin à stimuler une meilleure réponse immunitaire, c’est-à-dire être plus efficace. Sans l’aluminium, il faudrait peut-être plus de doses d’un vaccin pour assurer une protection adéquate, selon le AAP (American Academy of Pediatrics) . L’aluminium est un métal toxique auquel nous sommes déjà régulièrement exposés par la nourriture, l’air et l’eau, étant donné sa présence naturelle dans la croûte terrestre. Alors que la plupart des médecins conventionnels insistent sur le fait qu’il ne pose aucun problème, de nombreux chercheurs indépendants se méfient de la supposée sécurité de l’aluminium. Le National Vaccine Information Center (NVIC), un organisme à but non lucratif fondé en 1982 pour prévenir les accidents et les décès dus aux vaccins par l’éducation du public, souligne sur son site Web le manque choquant de preuves scientifiques que l’aluminium injecté est sans danger. Et les parents doivent être conscients que la quantité d’aluminium à laquelle les bébés et les jeunes enfants sont exposés par l’intermédiaire des vaccins a considérablement augmenté au cours des dernières années. Selon le journaliste de recherche médicale Neil Z. Miller :

«Les vaccins contenant de l’aluminium ont été ajoutés au calendrier de vaccination des enfants lorsque certains vaccins contenant du mercure ont été retirés. Avant l’élimination progressive du mercure (avant 2000), les bébés recevaient 3 925 mcg d’aluminium à l’âge de 18 mois. Après l’ajout des vaccins antipneumococcique et anti-hépatite A, les bébés ont commencé à recevoir 4 925 mcg d’aluminium au cours de la même période d’âge, soit une augmentation de 25 %.»

 

3. Antibiotiques :

Les antibiotiques ajoutés aux vaccins sont là pour empêcher la croissance des germes pendant la production et le stockage du vaccin. Il y a eu beaucoup de débats ces derniers temps sur les risques d’exposer les enfants aux antibiotiques trop tôt dans leurs vies. Une étude récente a en particulier révélé que l’utilisation multiple d’antibiotiques dans la petite enfance peut entraîner un gain de poids, une augmentation de la croissance osseuse et une altération des bactéries intestinales.

 

4. Protéine d’œuf :

Les vaccins antigrippaux sont le plus souvent fabriqués selon un procédé de fabrication à base d’œufs, qui est utilisé pour fabriquer à la fois le vaccin antigrippal et le «spray nasal», selon les CDC. Le vaccin contre la fièvre jaune est également fabriqué de cette façon, ce qui met en danger toute personne allergique aux œufs si elle reçoit l’un ou l’autre de ces vaccins, quelle que soit la teneur en protéines d’œuf.

5. Formaldéhyde :

Le formaldéhyde est ajouté aux vaccins pour tuer les bactéries et les virus indésirables qui pourraient contaminer le vaccin pendant la production. Le CDC affirme que la plupart du formaldéhyde est retiré du vaccin avant qu’il ne soit emballé, ce qui n’est qu’une autre façon de dire que tout n’est pas enlevé. Selon le «National Institute of Environmental Health Sciences», le formaldéhyde est un cancérogène pour l’homme.

6. Glutamate monosodique :

Plus communément appelé additif alimentaire, le MSG est également utilisé comme stabilisateur pour aider les vaccins à rester inchangés lorsqu’ils sont exposés à la chaleur, à la lumière, à l’acidité ou à l’humidité, toujours selon les CDC. La consommation de MSG est connue pour causer des maux de tête chez certaines personnes. Il peut aussi causer de la fatigue, de la désorientation et des palpitations cardiaques, selon la Clinique Mayo. Le MSG a été appelé «excitotoxine», terme utilisé pour décrire une classe de produits chimiques (généralement des acides aminés) qui lorsqu’ils stimulent excessivement les récepteurs neuronaux dans le cerveau, entraînent la mort de ces récepteurs.

 

7. Squalène :

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) décrit le squalène comme «un composant de certains adjuvants qui est ajouté aux vaccins pour améliorer la réponse immunitaire». Il s’agit d’une substance naturelle dérivée principalement de l’huile de foie de requin, que l’on retrouve dans les aliments, les cosmétiques, les médicaments en vente libre et les suppléments. Lorsqu’il est combiné à d’autres ingrédients, il devient un adjuvant qui, comme l’aluminium, est ajouté aux vaccins pour provoquer une réponse immunitaire plus forte de l’organisme. L’OMS note que la plupart des personnes qui ont reçu des vaccins contenant du squalène se trouvent dans des groupes d’âge plus âgés, et que nous ne savons pas vraiment comment cette composante pourrait avoir un impact sur les jeunes. Une étude réalisée en 2000 a révélé qu’une seule injection d’adjuvant squalène produisait de l’arthrite chez le rat et, bien que d’autres recherches soient nécessaires, plusieurs croient que le vaccin anti-anthrax contenant du squalène est le principal responsable du déclenchement du syndrome de la guerre du Golfe chez les troupes américaines qui ont servi pendant la guerre du Golfe persique au début des années 1990.

 

8. Gélatine :

Cet ingrédient de vaccin couramment utilisé est fabriqué en faisant bouillir de la peau ou du tissu conjonctif, généralement à partir d’un porc. La gélatine est utilisée comme stabilisateur pour protéger les virus dans les vaccins contre les conditions défavorables. C’est un additif préoccupant parce que certaines personnes ont des allergies à la gélatine, et recevoir un vaccin avec de la gélatine peut provoquer une réaction allergique, voire même déclencher l’anaphylaxie. Selon sa source (le porc), la gélatine peut également constituer une préoccupation religieuse pour les juifs et les musulmans.

 

9. Polysorbate 80 :

Le vaccin contre le VPH est administré principalement aux adolescents pour les protéger contre le virus du papillome humain (VPH), qui a été fortement lié au cancer du col de l’utérus, au cancer anal et même à certains cancers de la bouche. Ce vaccin et quelques autres contiennent un stabilisateur connu sous le nom de polysorbate 80, un émulsifiant utilisé dans certains aliments et cosmétiques. Bien qu’on ait signalé que le vaccin contre le VPH cause une insuffisance ovarienne prématurée chez les filles, des recherches sont nécessaires pour déterminer s’il existe un lien entre ce phénomène et le polysorbate 80 et/ou d’autres ingrédients du vaccin contre le VPH, comme l’aluminium. L’innocuité de l’utilisation de ce produit chimique dans les vaccins a été mal étudiée et, selon la fiche signalétique (FS) du polysorbate 80, il peut causer des effets nocifs sur la reproduction et le cancer d’après les données des essais sur les animaux. La fiche signalétique indique également qu’aucun test de sécurité n’a été effectué chez l’homme.

 

10. Tissus fœtaux humains avortés :

Un certain nombre de vaccins – y compris la varicelle, la rubéole, l’hépatite A, le zona et la rage – sont fabriqués à partir de cellules embryonnaires fœtales, et ce, depuis des décennies. La raison invoquée est que les virus ont tendance à mieux se développer dans ces cellules et que les cellules fœtales peuvent se diviser pendant longtemps avant de mourir. Toutefois, l’utilisation de cellules fœtales humaines pose la question de savoir comment l’ADN fœtal interagira avec le virus et, éventuellement, avec l’humain dans lequel il est injecté. On ne sait pas encore clairement quel type de réponse immunitaire dangereuse cela provoque, mais selon le «Sound Choice Pharmaceutical Institute», un organisme de recherche biomédicale, les taux d’autisme ont connu des pics évidents au cours des années où les vaccins fabriqués à partir de cellules fœtales humaines ont été introduits. À mon avis, les implications morales sont énormes.

Aussi inquiétant que chacun de ces produits chimiques puisse être en soi, les parents doivent aussi garder à l’esprit qu’aucune étude n’a été faite pour déterminer les effets synergiques potentiels de plusieurs ingrédients vaccinaux administrés en combinaison. Les problèmes d’innocuité sont d’autant plus graves si l’on considère que les nourrissons et les jeunes enfants reçoivent généralement plusieurs vaccins au cours d’une même visite au bureau. Alors que les compagnies pharmaceutiques et les organismes de santé aux prises avec des litiges prétendent sans relâche que les vaccins sont «sûrs et efficaces» (malgré le fait que les contribuables ont versé près de 4 milliards de dollars aux victimes de préjudices causés par les vaccins), les parents ont intérêt à faire leurs propres recherches avant de prendre des décisions concernant les vaccins pour leurs enfants – et à comprendre que là où il y a un risque, il faut faire un choix.

Source : http://www.collective-evolution.com/2018/03/06/10-common-ingredients-you-didnt-know-about-that-are-found-in-most-vaccines/

Traduction et recherches de liens en Français : Exoportail

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