(La pandémie a servi aussi à cela, mettre l'économie des états par terre sans avoir à le justifier. Nous assistons à un coup d'état généralisé de tous les états occidentaux par la clique du nouvel ordre mondial en commençant par nos gouvernements. Et, à part mettre au pouvoir quelques grandes familles financières en réduisant les peuples à la misère pour qu'ils la ferment, c'est quoi, à part une simple histoire de pouvoir ? Les russes et les chinois n'auront plus à respecter des règles démocratiques qui ont été dévoyées pour mettre en place une dictature de familles financières. Et, comme ils sont complètement mégalomaniaques, je suppose qu'ils s'imaginent que la guerre leur assurera le pouvoir total. Pour eux, nous ne sommes que du bétail. note de rené)
Très peu d’investisseurs comprennent la signification de la préservation de richesse. Pour la plupart des gens, « la bourse grimpe toujours ». Ils ont raison, vu que, malgré quelques exceptions, les bourses mondiales se sont appréciées pendant plus de cent ans. C’est la même chose avec le marché de l’immobilier : « Le prix de l’immobilier grimpe toujours ». C’est pourquoi il a été si facile de construire une richesse intergénérationnelle, ce dernier siècle. Peu d’investisseurs comprennent que cette inflation massive des prix des actifs est due à la croissance du crédit et de l’impression monétaire. Encore moins d’investisseurs comprennent que cette période touche à sa fin. Les arbres ne poussent pas jusqu’au ciel, même si certains croient que cette tendance durera pour toujours.
Dans les années à venir, nous n’assisterons pas seulement à un effondrement du crédit et des actifs, mais aussi à une destruction de richesse dévastatrice.
Mais, étant donné que 0,1% des plus riches possèdent autant que les 90% du bas de l’échelle, seulement quelques-uns perdront quasiment toute leur richesse.
Mais pour les masses, ce sera dévastateur, car ils perdront leurs emplois, leurs maisons et leurs retraites.
Les filets de sécurité sociaux disparaîtront, vu que les gouvernements seront en faillite avec une dette massive, des frais d’intérêts, et des bénéfices sociaux qu’ils ne pourront payer, faute de revenus d’impôt suffisants.
Source: or.fr
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