mercredi 23 septembre 2020

(Bon, les vaccins, c'est pour quelle mutation du virus. Ce qui veut dire que si l'on se fait vacciner, on l'attrape quand même. Mais, bien sûr les médias des milliardaires et les journalistes à la botte, diront que c'est la grippe. note de rené)



Pour le Pr Raoult, l'épidémie actuelle est «une autre maladie» qui «n’a rien à voir» avec celle de mars-avril
FRANCE
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Dans sa dernière vidéo, le professeur Didier Raoult avance que le virus est en train de muter et devient moins dangereux qu'au printemps. Selon lui, l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués ne conduit pas à celle du nombre de morts.
Le directeur de l'IHU Méditerranée Infection réitère dans sa nouvelle vidéo les propos qu’il a tenus la semaine dernière au Sénat, avançant que le virus connaît une mutation et devient moins dangereux qu'au printemps dernier.
«Il y a un phénomène particulier qui est l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués sans augmentation du tout de la mort, donc il y a une discordance», explique-t-il. «L'épidémie actuelle n'a rien à voir avec l'épidémie de mars-avril, c'est une autre maladie.»
Une idée que ne partage pas Bruno Megarbane, chef du service de réanimation à l'hôpital Lariboisière, dans une vidéo diffusée à la suite par CNews.
«À mon sens, on ne peut pas du tout dire qu'il existe une réduction de la virulence du virus. Je ne dirais pas qu'il s'agit d'une nouvelle maladie, mais possiblement une maladie avec un profil épidémique modifié en raison des mesures interventionnelles qui ont été prises pour prévenir la contamination», rétorque-t-il, signalant qu'une hausse de la mortalité est possible dans les prochains jours.

Audition au Sénat

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat le 15 septembre, le Pr Raoult a une nouvelle fois défendu l'utilisation de l'l'hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19 et évoqué la mutation du virus devenu moins grave.
Selon lui, «le virus a aujourd’hui dix fois plus de variations que celui présent jusqu'en mai».
«Les mutants qu’on a sont plutôt des formes dégradées de la forme initiale. C’est plutôt notre impression. C’est très compliqué de deviner le pouvoir pathogène d’un virus en voyant sa séquence. Personne ne sait vraiment le faire. Mais globalement, nous, ça nous apparaît lié à des formes qui sont moins graves», avait-t-il déclaré en fin d'audition.

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