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par Michel de Lorgeril.
À côté de l’insalubre propagande vaccinaliste en faveur des futurs vaccins antiCOVID, il est fort étonnant d’observer qu’ils sont déjà contestés par la Nomenklatura académique américaine elle-même. Bigre !
J’en suis tout abasourdi !
Les temps changent, semble-t-il, car si des professeurs de médecine américains osent contester jusqu’aux protocoles des essais cliniques supposés tester les futurs vaccins, où va-t-on ?
En plus, c’est une tribune dans le New York Times, un des quotidiens américains les plus lus.
Que disent ces héros des temps modernes ?
Ils nous disent que :
1) les protocoles des essais cliniques testant ces vaccins antiCOVID sont corrects ; ce qui nous dit, à nous, qu’on peut être professeur de médecine américain et ne pas « comprendre » (ou savoir lire) un protocole d’essai clinique ; comme quoi il n’y a pas qu’à Marseille…
2) les objectifs de ces essais [ce que testent vraiment ces expérience) ne sont pas informatifs puisque les essais seront stoppés pour chaque patient vacciné (avec le vaccin expérimental ou le placebo ou le vaccin contrôle) dès que le moindre signe clinique associé à un test COVID positif surviendra.
Cela signifie que le patient sera sorti de l’étude avant même qu’on sache s’il développe vraiment la maladie, s’il nécessite une hospitalisation ou encore s’il en meurt.
C’est pourtant ça qu’on veut savoir : le vaccin antiCOVID protège les patients ou pas ?
Évidemment ça rendrait l’essai plus long et beaucoup plus aléatoire pour l’industriel : gros risque d’échec ! Pas prendre ce risque !
Dit autrement, on saura (peut-être) si ce vaccin diminue la fréquence de maladies COVID-19 tout-à-fait bénignes (un signe clinique + un test positif).
Pour les formes sévères, ce sera la prochaine fois, c’est-à-dire jamais, car au-delà de cette limite, il sera considéré comme non-éthique d’administrer un placebo.
Bref, pour les essais dont on connait le protocole [pour les essais conduits en Chine en secret, on ne sait pas grand-chose], la partie qui se joue est d’un faible intérêt !
Ce que nos calamiteux professeurs américains n’ont pas vu, ou pas osé dire (ils sont bien élevés), c’est qu’en plus (cerise sur la tarte aux pommes) ces essais ne sont pas conduits en double aveugle strict (contrairement à ce que les industriels disent) puisque des analyses intérimaires sont prévues et qu’elles nécessitent de désaveugler…
Toutes les procédures seront conduites en l’absence de témoins-experts indépendants car, secret industriel oblige, tout ne peut être dévoilé aux concurrents !
Toutes ces subtiles manœuvres et ces jeux de cache-cache ne peuvent tromper que des amateurs.
Il ne fallait pas nous éduquer à ces sports dangereux avec les essais cliniques testant les statines.
Ou l’art de se faire prendre pour des canards sauvages…
source : https://michel.delorgeril.info
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