UNICREDIT A VENDU SES TOXIQUES A UN... AFFACTUREUR (suite MARIO DRAGHI) 

du 24 au 28 septembre 2018 : source : La Revue de Pierre Jovanovic

C'est en toute discrétion cet été (en juillet) que la banque Unicredit a expliqué qu'elle a vendu pour 537 millions d'euros de prêts à un spécialiste de l'affacturage, IFIS, basé à Venise. Là aussi, comme vous le constatez, IFIS a dû acheter la botte pour environ 50 millions, espérant pouvoir se récupérer en saisissant tout sur son passage. 

Le 18 juillet !!! 

"UniCredit announces the sale of an Italian non performing legacy portfolio composed by unsecured and secured loans towards small/medium entities and Private Individuals. UniCredit has reached an agreement with IFIS NPL (Banca IFIS Group) ... The Portfolio is composed by non performing exposures owned partially by UniCredit SpA and partially by Arena NPL One S.r.l. (a securitization vehicle transferee of the securitized loans originated by UniCredit, of which the latter holds all the issued Asset Backed Securities). 

The Portfolio consists entirely of Italian credits with an aggregate claim value of approximately 537M€ (of which gross book value of approximately 348M€) as of 31.12.2017". 

Encore un superbe transfert de richesses, sur le dos des petites gens d'abord, et ensuite sur le dos de la banque elle-même !!!! Lire ici pour vous en assurer. 

PS: un affactureur est celui qui prend vos factures clients à 30, 60 ou 90 jours, et vous les paye tout de suite moyennant un rabais de 10 à 20%. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2018

✓ Vous soutenez cette revue de presse avec l'un de mes livres pour vous et/ou vos amis ...
✓ Le livre qui a tout lancé: "777, la chute de Wall Street et du Vatican"! Vos critiques sont ici.
✓ Les videos des livres sont ici   — Recevez le catalogue couleurs gratuit chez vous.
✓ Partagez cette information ou envoyez-la à votre banquier par email : 

(Un fond vautour. Imaginez en France que le crédit agricole vende toutes ses créances sur les exploitations agricoles, ils se retrouvent presque tous à la rue et leurs terres sont revendus à l'agro-business. A leur place, je me méfierais de mes présidents de syndicats et de coopératives agricoles qui continuent à les envoyer dans le mur. note de rené)