(OK, l'un des organisateurs avec rothschild, goldman sachs, rockfeller et bien d'autres a donné une date. Mais, il la joue bisounours. note de rené)
Parmi les symptômes de cette crise à venir, les analystes de la banque américaine anticipent une chute moyenne de la valeur des actions des grandes entreprises américaines de 20%. Ils prévoient aussi une hausse de leur coût de financement – via l’émission d’obligations – de 1,15 point de pourcentage.
A rebours de la tendance actuelle, ils prévoient également une chute de 35% des prix de l’énergie et de 29% de ceux des métaux. Ils anticipent par ailleurs une progression moyenne de l’écart de rendement entre les dettes publiques des pays émergents et la référence monétaire allemande de 2,79 points, ainsi qu’une chute moyenne des actions des entreprises cotées dans ces pays de 48%, et de leurs devises nationales de 14,4%.
Dans une note adressée aux investisseurs, ils rappellent toutefois que la crise financière de 2008 avait connu un effondrement de 54% du S&P 500, l’index de 500 grandes entreprises cotées sur les bourses américaines, bien plus important donc, que celui qu’ils pronostiquent aujourd’hui. Parmi les facteurs qui poussent l’équipe de recherche de JPMorgan Chase à anticiper cette crise figure l’envolée des dettes des Etats. Selon les calculs des analystes de la banque américaine, elles ont progressé de 26 points depuis 2007. Mais cette augmentation est de près de 41 points pour les économies développées, contre 12 points pour les pays émergents.
Enfin, les analystes de JPMorgan remarquent que la dernière crise avait pour origine un surendettement des ménages proportionnellement à leur revenu nettement supérieur au ratio dette/ Ebitda (création de richesse avant charges) des entreprises. Mais depuis la crise de 2008 ce ratio s’est effondré chez la particuliers, alors qu’il n’a cessé de croître pour les entreprises. Et, depuis 2015, aux Etats-Unis, le poids de l’endettement pèse plus lourd sur les entreprises que sur les ménages.
JPMorgan Chase prévoit la prochaine crise financière mondiale pour 2020
Source: Reuters
Des traders regardent les cours des actions depuis la salle des marchés principale de la Bourse de New York au début de la séance du 10 octobre 2008 (illustration).
Les analystes de la banque américaine viennent de mettre au point un modèle de prévision des crises financières. Selon eux, la prochaine aura lieu dans moins de deux ans, mais sera moins grave que la précédente.
Dix ans après l’effondrement de Lehman Brothers qui a provoqué la chute des principales places financières mondiales, les analystes de la banque JPMorgan Chase ont créé un modèle visant à évaluer le calendrier et la gravité de la prochaine crise. Pour eux, elle interviendra en 2020, mais ils estiment qu’elle aura un impact moins sévère que les épisodes passés, en particulier la crise de 2008.Parmi les symptômes de cette crise à venir, les analystes de la banque américaine anticipent une chute moyenne de la valeur des actions des grandes entreprises américaines de 20%. Ils prévoient aussi une hausse de leur coût de financement – via l’émission d’obligations – de 1,15 point de pourcentage.
A rebours de la tendance actuelle, ils prévoient également une chute de 35% des prix de l’énergie et de 29% de ceux des métaux. Ils anticipent par ailleurs une progression moyenne de l’écart de rendement entre les dettes publiques des pays émergents et la référence monétaire allemande de 2,79 points, ainsi qu’une chute moyenne des actions des entreprises cotées dans ces pays de 48%, et de leurs devises nationales de 14,4%.
Dans une note adressée aux investisseurs, ils rappellent toutefois que la crise financière de 2008 avait connu un effondrement de 54% du S&P 500, l’index de 500 grandes entreprises cotées sur les bourses américaines, bien plus important donc, que celui qu’ils pronostiquent aujourd’hui. Parmi les facteurs qui poussent l’équipe de recherche de JPMorgan Chase à anticiper cette crise figure l’envolée des dettes des Etats. Selon les calculs des analystes de la banque américaine, elles ont progressé de 26 points depuis 2007. Mais cette augmentation est de près de 41 points pour les économies développées, contre 12 points pour les pays émergents.
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