mardi 1 mai 2018

Vaccins qui protègent ou qui tuent?

source : Initiative Citoyenne, 29 avril 2018
Ce dimanche 29 avril, RTL organise un débat sur le thème de la vaccination. Nous y avions été invités. On nous avait dit qu'il s'agirait d'un débat avec 3 chroniqueurs et 2 invités : un membre d'Initiative Citoyenne et un médecin de l'ONE. Nous avions déjà signalé à RTL que 20 minutes était un temps très (trop) court pour un enjeu aussi important, surtout avec deux prises de parole (plus celle des chroniqueurs). Au dernier moment, nous apprenons (et encore, pas par RTL, nous avons dû les appeler) que RTL a modifié son choix d'invités et que nous serions soi-disant 3 invités (mais qu'ils enlèveraient deux chroniqueurs).

Par respect pour ceux qui nous lisent et qui savent très bien que ce sujet important de santé publique mérite plus que juste 5 minutes de temps d'antenne, et au vu aussi de la quantité d'éléments de fond à exposer aux téléspectateurs, nous avons fait le choix de décliner cette invitation pour ce débat qui risque une fois encore d'être le lieu de quantité de raccourcis, en témoigne déjà l'annonce du débatsur la page Facebook de l'émission où on peut lire que ce serait "selon Initiative Citoyenne que les vaccins peuvent donner lieu à plus de 850 effets secondaires" > c'est en réalité selon les documents confidentiels de pharmacovigilance du fabricant GSK lui-même que l'on voit que le vaccin "6 en 1" Infanrix hexa est associé à une liste de 800 effets secondaires possibles (à comparer donc avec le discours simpliste et mensonger de l'ONE aux parents, cf. leurs étiquettes bidon ne mentionnant que douleur, rougeur au point d'injection ou fièvre...)


Nous voudrions rappeler qu'en 2011, Initiative Citoyenne a envoyé un courrier recommandé à la direction médicale et administrative de l'ONE après qu'ils aient osé affirmer que "Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins". L'ONE n'a jamais daigné (ou pu) répondre sur le fond à ce courrier de questions très précises, qui ont été envoyées au nom de tous ces enfants soumis à ces batteries de vaccins sans jamais pouvoir consentir et dépendant donc entièrement de "l'information" dont disposent leurs parents qui doivent décider en leur nom. 

Pourtant, voici pour rappel le contenu de l'article 8 (alinéa 2) de la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient:

« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »

Parmi les questions élémentaires à vous poser s'agissant de la vaccination, il y a la question de l'évaluation, comment les vaccins sont-ils évalués? Est-ce que scientifiquement parlant, on a pu calculer et établir le rapport bénéfices/risques ou bien a-t-on autorisé la mise sur le marché sans savoir où les composants des vaccins vont se loger, avec quels effets, si les vaccins accroissent le risque de cancer etc? Allez lire, informez-vous et ce que vous découvrirez sera évidemment très loin des arguments d'autorité que les officiels ou des professeurs (en conflits d'intérêts ou non) pourront vous donner, par exemple que "les vaccins sont à 99,99% sûrs", ce qui n'est que le reflet de propos idéologiques....   Et voici ici les propos/aveux du Dr Saluzzo, dont il est tout de même bon de rappeler un peu qui il est: expert à l'OMS et ex directeur du département des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur, un des leaders mondiaux du secteur. Le Dr Saluzzo expliquait en effet à un auditoire de médecins (dans le cadre d'un cours de vaccinologie) qu'ils ne "savent pas comment marchent les vaccins" et que si, à l'avenir, on voulait développer de nouveaux vaccins, il faudrait d'abord commencer par étudier le système immunitaire. Difficile, et en réalité même impossible de conclure sur base de ces aveux que les partisans de la vaccination en savent assez sur toutes les conséquences sanitaires susceptibles de faire suite à une vaccination, en sachant aussi 1) que les vaccins, contrairement aux médicaments classiques dont on peut encore arrêter la prise, une fois qu'ils sont injectés, pas de marche arrière possible et 2) qu'ils sont aussi administrés de façon répétée, sous la contrainte, et notamment à de jeunes nourrissons, dès les toutes premières semaines de vie alors que leur système immunitaire n'est pas pleinement mature avant 6 à 7 ans d'âge... 
Comment s'étonner par conséquent dans ces conditions de laxisme, d'opacité et d'amateurisme que ces produits donnent lieu à de telles tragédies,comme ces parents-ci en témoignent, mais ils sont en réalité des centaines de milliers dans le monde à vivre ces situations (qu'ils fassent le lien ou pas avec les vaccins)?


Oui, les effets secondaires de vaccins sont très largement sous estimés puisqu'il est admis dans les revues médicales officielles que seuls 1 à 10% des effets GRAVES sont effectivement comptabilisés.

Oui, les effets secondaires de vaccins coûtent très chers à la collectivité puisque les autorités américaines par exemple ont déjà déboursé environ 4 milliards de dollars depuis 1986 en indemnisation des victimes de vaccins.

Ouiles vaccins tuent aussi dans les pays pauvres, mais ces décès sont camouflés parce que l'OMS a comme par hasard modifié ses critères d'effets secondaires (comme l'explique ce pédiatre indien, pourtant non hostile au principe de la vaccination).

Oui, les vaccins échouent aussi et des épidémies peuvent encore survenir même avec des taux de vaccination de 99% (ex: épidémies de rougeole en Chine).


Oui, la maladie donne généralement une immunité robuste à vie, là où la vaccination ne donne tout au mieux qu'une pseudo-immunisation qui n'est pas équivalente (ex: l'étude Le Baron en 2007 montre que seuls 25% des gens vaccinés contre la rougeole ont encore des anticorps en quantité jugée suffisante 10 ans après une vaccination; par comparaison, quelqu'un qui a fait une rougeole naturelle est considéré comme immunisé à vie).

Oui, la prétendue efficacité des vaccins est à inclure dans un contexte beaucoup plus large où les revers prévisibles ne sont pas du tout suffisamment pris en compte ni exposés loyalement au public (risque de compensation des souches donc hausse d'autres sérotypes, comme ça s'est vu avec les pneumocoques, déplacement de l'âge de survenue de la maladie, soit chez les tous jeunes nourrissons, soit à l'âge adulte, âges où le taux de complications graves est plus élevé et cela suite à la vaccination contre la rougeole qui ne fournit plus aux mères allaitantes une immunité aussi bonne que ne fournissait la maladie naturelle).

Ouila santé des enfants non vaccinés (0 vaccins) est globalement bcp plus robuste que celle des enfants vaccinés (moins d'asthme, d'allergies, moins de diabète, moins d'autisme et autres troubles du comportement, moins de troubles du sommeil, moins de visites chez le médecin, près de 3 fois moins de consommation d'antibiotiques etc.) et non, ces études élémentaires (comparer des vaccinés à des NON vaccinés) ne sont pas requises avant mise sur le marché car on compare dans les études des vaccinés à des sujets ayant reçu d'autres vaccins (comparaison biaisée). L'"argument" des partisans des vaccins étant juste de dire (comme postulat donc) "il ne serait pas éthique de priver des gens de vaccins"....

In fine se pose donc plus que jamais la question "Vacciner... A QUEL PRIX"?

Nous voudrions tout de même rappeler l'état de santé de la population. Bien sûr, nous ne disons pas "voilà, c'est juste les vaccins" (car notre environnement comporte de multiples sources toxiques). Nous disons "voilà le contexte dans lequel on survaccine les gens, et de plus en plus (le nombre de vaccins administrés aux enfants a plus que doublé en 20 ans et maintenant on vaccine aussi même les femmes enceintes):  20 millions de malades chroniques en France. 700 000 Belges atteints de maladies dites "rares" (selon l'Institut St Luc). Plus de 600 000autistes en France, plus de 100 000 en Belgique. Pensez-vous vraiment que l'évaluation laxiste et surréaliste des vaccins soit suffisante, pendant qu'on se contente de dire aux gens "c'est juste une coïncidence, ne vous inquiétez pas, on surveille"! ? Nous, non! Mais il est évidemment tellement plus facile de taxer pour cette raison les personnes rigoureuses de "complotistes"....

Une autre question est enfin aussi de se dire: mais quelles seraient les alternatives? Et là, les "arguments" des partisans de la vaccination consistent simplement à vous faire peur "il n'y a pas le choix, il n'y a aucun autre moyen" que les vaccins et blablabla... Ah bon? Et comment ça se fait alors que dans un pays comme Cuba, le recours à l'homéopathie préventive (homéopathie que notre Centre fédéral d'Expertise des Soins de Santé a assimilé à un placebo....c'est donc dire le sérieux de pareilles agences!) sur plus de 2 millions de personnes a permis la réduction et la gestion d'épidémies de leptospirose, en faisant donc au moins aussi bien que le vaccin (et en réalité certainement mieux, avec moins d'effets secondaires...)?

Comment se fait-il qu'au Brésil aussi, dans les années 70 et 90', l'homéoprophylaxie ait permis la réduction nette de méningites à méningocoques (une maladie pour laquelle le vaccin est substantiellement plus risqué que le risque de faire la maladie naturelle) ?

Il faut en revenir aux faits: il existe un réel souhait (bien légitime) dans le chef de la population d'une médecine qui respecte beaucoup mieux le principe de bon sens "D'abord ne pas nuire!" (un tiers de la population disant se soigner aux médecines alternatives et + de 70% des répondants à l'enquête désirant des remboursements identiques en médecine alternative par rapport à la seule allopathie). De l'autre côté, des autorités fermées et dogmatiques, des doyens poussiéreux et pathétiques qui refusent l'enseignement dans leurs facultés de médecines globales, qui permettraient une vraie politique de prévention (en corrigeant les carences nutritionnelles, fréquentes et dont l'impact sur la robustesse du système immunitaire notamment est évident, en favorisant la phytothérapie car quantité de plantes et autres substances comme l'aromathérapie, les huiles essentielles donc, ont de réels pouvoirs immunostimulants et microbicides). L'écart continuera donc inévitablement de se creuser entre l'arrogance et les mensonges de l'establishment, et les aspirations d'une partie croissante des citoyens.  

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