lundi 27 novembre 2017

Le ministre canadien de la Sécurité publique, Ralph Goodale, a déclaré à la Chambre la semaine dernière que le nombre de rapatriés dijhadistes est de l'ordre de 60 individus, tous des combattants radicalisés qui errent "au pays des Calinours"!

Publié par Brujitafr sur 27 Novembre 2017, 11:25am via Moins de biens, plus de liens
Catégories : #ACTUALITES
Goodale a déclaré que les combattants du groupe État islamique qui reviennent au Canada [qui ont potentiellement tué, battu et violé des innocents et qui ont potentiellement appris l'art de fabriquer des bombes et d'étrangler "l'infidèle"], restent sous surveillance s'ils sont considérés comme une menace. 

Qu'est-ce que ça prend au gouvernement Trudeau pour considérer un individu qui s'est joint aux forces dijhadistes comme étant une menace? Qu'il passe les douanes avec du sang sous les ongles ou qu'une tête soit trouvée dans ses bagages?  
 
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Il rassure les Canadiens en disant que des efforts sont faits pour les poursuivre, mais seulement s'il peut être prouvé qu'ils ont agi illégalement. Et prouver qu'ils ont agi illégalement, rappelle le responsable de la Sécurité publique, c'est en détenant des preuves que des actes illégaux ont été perpétrés SUR LE CHAMPS DE BATAILLE, mais encore: "si cela est possible en vertu du Code criminel", a-t-il déclaré à Power & Politics de CBC News Network . 
 
Le ministère parle de 60 individus radicalisés de retour au Canada, mais certains questionnent le fait que ce nombre de rapatriés était le même il y a 18 mois! Les recrues étrangères de l'État islamique quittent la Syrie et l'Irak en grand nombre depuis la défaite du groupe dans de nombreuses villes, mais le Canada dit que 60 dijhadistes sont de retour depuis un an et demi...
 
Le gouvernement du Canada dit avoir pour objectif d'éloigner les individus radicalisés des idéologies extrêmes et les aider à rejoindre la société canadienne, mais il a peu ou pas de données à fournir sur la façon dont cette lutte se déroule.
 
Le nouveau Centre canadien pour l'engagement communautaire et la prévention de la violence est censé être en première ligne de ce combat. Il finance des recherches et des programmes qui «visent à prévenir et combattre la radicalisation de la violence au niveau individuel». 
 
Mais le gouvernement ne sait pas combien de personnes se sont radicalisées ni qui elles sont!  La Sécurité publique Canada dit ne pas pouvoir fournir de statistiques parce que le centre n'intervient pas directement auprès des individus radicalisés. 
 
Six projets sont financés par un fonds de sécurité publique par l'entremise du Centre du Canada sous la rubrique «recherche orientée vers l'action».Aucun n'effectue d'interventions avec des individus radicalisés.
 
En résumé, un minimum de 60 individus (voire un nombre beaucoup plus élevé) qui se sont donnés pour mission de participer activement à la "guerre sainte" contre l'Occident en joignant les rangs de l'État islamique, se trouvent actuellement dispersés un peu partout dans le Canada avec, peut-être, une nouvelle mission... 
 
Justin Trudeau a tout intérêt à imposer la légalisation de la marijuana pour garder le peuple abruti pour ainsi nous faire croire que son gouvernement mise sur la déradicalisation de dijhadistes canadiens pour en faire des citoyens honorables.

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