jeudi 17 octobre 2024

(Donc, c'est faisable en France pour le palais de l'Elysee par exemple ou pour espionner l'ambassadeur américain pour voir si il ne baise pas sa secrétaire. En tout cas par tous les paparazzis. note de rené)

 

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    Des drones espions envahissent la base aérienne de Langley, le Pentagone est incapable de contrer la menace (USA)

    par Jade

    Depuis le début du XXIe siècle, les dépenses de défense des États-Unis ont augmenté de près de 50%, le budget de cette année dépassant les 841 milliards de dollars. Pourtant, bien que le Pentagone soit le plus gros dépensier du monde, il peine de façon alarmante à protéger la patrie contre la menace croissante des drones espions opérant à l’intérieur des frontières américaines.

    Selon un nouveau rapport du Wall Street Journal, une flotte de drones espions a envahi certains des sites américains les plus sensibles en matière de sécurité nationale, notamment la base aérienne de Langley, sur le littoral de Virginie, à la fin de l’année dernière.

    «Pendant plusieurs nuits, le personnel militaire a signalé une mystérieuse violation de l’espace aérien restreint au-dessus d’une bande de terre qui abrite l’une des plus grandes concentrations d’installations de sécurité nationale aux États-Unis. Le spectacle commence généralement 45 minutes à une heure après le coucher du soleil, a déclaré un autre haut responsable à Kelly.

    Le premier drone est arrivé peu après. Kelly, pilote de chasse de carrière, a estimé qu’il mesurait environ 6 mètres pieds de long et qu’il volait à plus de 150 km/h, à une altitude d’environ 1000 à 1200 mètres. D’autres drones ont suivi, l’un après l’autre, ressemblant au loin à un défilé de tondeuses à gazon.

    Les drones se sont dirigés vers le sud, à travers la baie de Chesapeake, en direction de Norfolk, en Virginie, et au-dessus d’une zone qui comprend la base de l’équipe SEAL Six de la marine et la station navale de Norfolk, le plus grand port naval du monde». – Wall Street Journal

    Le général Mark Kelly, de l’armée de l’air américaine, a déclaré au journal qu’il était déconcerté par les informations faisant état de la présence de drones espions au-dessus de la base aérienne de Langley. Selon le Wall Street Journal, les drones ont survolé la base et d’autres installations militaires hautement sensibles de la région pendant la nuit, pendant un peu plus de deux semaines. Certains responsables soupçonnent des agents russes ou chinois de mener des opérations d’espionnage aérien.

    Selon Kelly, certains drones mesuraient environ 6 mètres de long et volaient à plus de 150 km/h à une altitude de 1000 à 1200 mètres. Aucun de ces drones n’a été abattu car la loi fédérale interdit à l’armée d’envoyer des F-22, des F-35 et d’autres avions de combat pour neutraliser des drones destinés à l’«espionnage aérien», à moins que ces systèmes sans pilote ne constituent une «menace imminente».

    Peu après l’apparition des drones espions dans la région de la baie de Chesapeake, le président Biden a été informé de la menace qui pesait sur la sécurité nationale. Des fonctionnaires du ministère de la Défense, du Federal Bureau of Investigation et du bureau des OVNIs du Pentagone ont consulté des experts extérieurs pour comprendre la gravité de la situation.

    Les incursions de drones dans un espace aérien fortement réglementé ne devraient pas choquer dans l’Amérique de Biden-Harris, où l’ouverture des frontières du sud a inondé la nation de plus de dix millions d’étrangers illégaux, dont certains sont des terroristes, des espions, des gangs de prisonniers d’Amérique du Sud et d’autres criminels violents.

    Le WSJ note que la conseillère à la sécurité intérieure Elizabeth Sherwood-Randall a discuté avec d’autres responsables de la Maison-Blanche du déploiement de canons anti-drones pour brouiller les signaux, mais ne l’a pas fait par crainte de perturber les réseaux de communication civils locaux. Les responsables ont également envisagé de recourir à des armes à énergie dirigée pour contrer cette menace, mais là encore, ils ne l’ont pas fait par crainte d’endommager les avions commerciaux.

    Les autorités ont surtout exclu la possibilité que des pilotes de drones amateurs puissent être à l’origine de cette menace.

    Le FBI a découvert que l’étudiant chinois possédait des images d’un drone montrant des navires de la marine amarrés à la base. Après avoir tenté de fuir le pays, il a été arrêté et inculpé pour avoir pris illégalement des photos d’installations navales classées.

    Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il s’agit d’une incroyable démonstration d’incompétence de la part de l’armée et du gouvernement fédéral, alors que les plus hauts responsables se concentrent sur un programme «woke» désastreux qui affaiblit la nation de l’intérieur.

    source : Aube Digitale

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