(Mastarcard, ils sont dans le contrôle social total en passant par le contrôle total de votre compte bancaire, donc de vos dépenses, ce qui peut se résumer à "ils cherchent à voler votre épargne", le baratin autour, c'est juste pour vous endormir. Mastercard a essayé avec le Nigéria sur instruction du forum de Davos avec l'accord du président du pays. Du jour au lendemain avec la banque centrale, ils ont interdit l'argent liquide dans un pays qui vit à 80% de l'économie parallèle. Plus une seule vente n'a pu avoir lieu du jour au lendemain au point que les gens ne pouvaient acheter de quoi s'alimenter. Ils ont fait marche arrière en mettant le directeur de la banque centrale en prison avant que le pays n'explose. Là, mastercar remet le couvert en Pologne grâce à la prise de pouvoir de black rock et soros sur le pays. Ils disent vouloir " de faciliter la vie de leurs usagers et de mieux protéger leurs paiements", ouais, ça c'est le baratin pour obtenir un consentement pour mettre la main sur votre vie, votre argent. De toute façon, posez-vous la question, avez-vous déjà vu une multinationale américaine se préoccuper du confort de sa cible clientèle, je parle de maintenant, pas d'une époque où les multinationales n'existaient pas encore. note de rené)
"Mastercard réinvente les paiements en ligne et s’engage à atteindre une tokenisation à 100% dans le secteur de l’e-commerce en Europe d’ici 2030" source : mastercard.com
Pourquoi votre carte bancaire va devenir inutile pour payer sur internet
- Par Vincent MIGNOTPublié le dimanche 16 juin 2024 à 07h00 Moneyvox
Payer en ligne avec sa carte bancaire en plastique ? Les jours de cette solution, encore largement majoritaire, sont comptés. Le réseau d'acceptation Mastercard vient d'annoncer son intention d'y mettre fin d'ici 2030. Par quoi sera-t-elle remplacée ? On vous explique.
Sortir sa carte bancaire de son portefeuille ; recopier les 16 à 19 chiffres qui composent son numéro unique, celui généralement affiché au recto ; renseigner aussi sa date de validité et son cryptogramme à 3 chiffres ; et enfin, cliquer sur acheter. Voici comment se déroule encore la majorité des paiements sur internet. Selon la Fevad (1) en 2023, 84% des consommateurs utilisent leur carte bancaire pour payer en ligne. Pourtant, la manœuvre est relativement fastidieuse. Surtout, elle n'est pas très sûre : il faut espérer qu'aucun cybercriminel n'intercepte vos identifiants lors de leur envoi, ou sur les serveurs du site marchand... Si c'est le cas, il ne vous reste qu'une solution : faire opposition et commander une nouvelle carte, souvent à vos frais.
Bien sûr, il existe des alternatives. Celle, par exemple, d'utiliser des portefeuilles électroniques (ou wallets), comme PayPal ou Apple Pay. Eux aussi s'appuient sur les « rails » de paiement de la carte. Ils se placent toutefois en intermédiaires, vous évitant ainsi d'exposer directement les identifiants de votre carte bancaire en plastique. Ils captent au passage des commissions, généralement un pourcentage du montant du bien payé.
La montée en puissance de ces intermédiaires, plus pratiques et plus sûrs, ne sont évidemment pas du goût des réseaux d'acceptation, dont les 2 principaux Visa et Mastercard. Ces derniers travaillent donc de longue date à trouver des moyens de faciliter la vie de leurs usagers et de mieux protéger leurs paiements.
Un jeton numérique à la place de la carte plastique
Une de ces solutions se nomme tokenisation. Le terme est barbare, sa mise en place technique est complexe, mais le principe est assez simple : il s'agit de fournir au consommateur un numéro de carte alternatif (en fait un jeton numérique sécurisé, ou token) à usage unique ou limité en montant et dans le temps, qui permet d'effectuer le paiement sans exposer son véritable numéro de carte.
Le service existe déjà dans certaines banques, sous le nom de « carte virtuelle » ou de « carte à usage unique ». Il est toutefois en passe d'être généralisé. Dans un communiqué, le réseau d'acceptation états-unien Mastercard vient en effet d'annoncer son intention de « parvenir à une tokenisation complète du secteur du e-commerce en Europe d'ici à la fin de la décennie ». En clair, d'ici à 2023, les numéros des cartes en plastique Mastercard ne seront plus utilisés pour payer en ligne. Un mouvement de fond, également suivi par les autres réseaux d'acceptation.
En couple avec Click to Pay
La tokenisation, toutefois, règle uniquement l'aspect sécurité du problème. L'amélioration de l'expérience utilisateur, pour les réseaux de carte, passe par le déploiement, en cours en France, d'un nouveau standard baptisé Click to Pay, ou « Cliquer, c'est payé » en bon français. Développé par EMVco, la société chargée de concevoir des technologies standards pour les paiements par carte à travers le monde, il fonctionne comme un wallet. Un clic suffit pour l'ouvrir depuis la page de paiement du site marchand. Après authentification forte, il permet de choisir la carte que l'on souhaite utiliser pour le paiement et de générer automatiquement le fameux jeton numérique.
Carte bancaire : voici l'innovation qui va vous simplifier la vie pour les achats en ligne
(1) Fédération du e-commerce et de la vente à distance
Vincent MIGNOT
Après une maîtrise d’Histoire puis une maîtrise en Sciences de l’information et de la communication, Vincent MIGNOT devient journaliste en... Lire la suite
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire