(Donc, l'occident vole les propriétés privées des russes, sans doute avent de voler les contenus et maintenant, il s'attaque aux chinois. Toujours sous un prétexte de justice sociale, d'objectifs humanitaires, sanitaires, de croissance économique, à se demander pourquoi ils sollicitent notre consentement alors qu'ils ne nous demandent plus notre avis et toujours son pendant l'URGENCE. En tout cas, nous ne nous révoltons pas sur cette atteinte à la propriété privée, mais soyez-sûr que demain, cela sera nous les victimes si effectivement nous en avons une. N'oubliez pas qu'ils veulent les gens de davos et du nouvel ordre mondial supprimer la propriété privée. Du jour au lendemain, de propriétaire, vous passerez à locataire. Il prendront votre loyer directement sur votre compte numérisé à la banque centrale et si vous protestez, vos comptes seront gelés, vous n'aurez plus un sou et grâce au contrôle social, vous serez désigné à la vindicte populaire avec votre tronche sur des écrans publiques. Mis à part cela, cet acte signifie que la guerre est déclenchée avec la Chine. Ce qu'ils attendent en retour du gouvernement chinois est qu'il fasse la même chose avc les étrangers présents en Chine pour faire fuir tous les occidentaux et les entreprises. note de rené)

1 million de comptes bancaires chinois bloqués. Des nouvelles de la persécution des Ouïghours

il y a 11 heures1 730 Temps de lecture 1 minute Business Bourse

Un million de comptes bancaires sont bloqués en Chine. Les clients ne peuvent pas retirer leur argent. Cela implique quatre banques locales et 1,5 milliard de dollars. Les clients craignent désormais de perdre leur argent pour de bon.

Des fuites de dossiers de police révèlent des détails sur les abus dont sont victimes les Ouïghours du Xinjiang. Des responsables britanniques se sont exprimés sur ce problème.

Bien que des multinationales prévoient de prendre du recul par rapport à la Chine, certaines voix continuent de dire qu’il ne sera pas facile de se détacher des chaînes d’approvisionnement chinoises.