dimanche 2 janvier 2022

(En ce moment, c'est la course de nos gouvernants et big pharma pour nous imposer un maximum d'injection avant que les populations occidentales ne soient las du nombre de doses et que ces mêmes injetcions soient mises en accusation pour tromperie sur la marchandise. Par ailleurs, je n'ai pas accès au site Eau de Robinet sur google, je me demande pourquoi. note de rené)


La cour de justice des États-Unis d’Amérique s’est saisie du dossier pour juger les criminels de Big Pharma et Co!

Eau du Robinet

UNE BONNE NOUVELLE POUR COMMENCER L’ANNEE 2022!

Sur le banc des accusés :

  • Alex Azar – Secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis
  • Dr Anthony Fauci – Conseiller médical en chef du président des États-Unis depuis 2021
  • Dr Peter Daszark  – président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance
    FDA – La Food and Drug Administration est l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments. Cet organisme a, entre autres, le mandat d’autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis.
  • CDC – Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique. Les centres produisent des informations dans le but d’améliorer les décisions gouvernementales en matière de santé.
  • NIAID – Le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses, est l’un des 27 instituts et centres qui composent les National Institutes of Health, une agence du ministère américain de la Santé et des Services sociaux.
  • Moderna – Moderna, Inc. (anciennement ModeRNA Therapeutics jusqu’en 2018) est une société de biotechnologies américaine, fondée en 2010 et basée à Cambridge dans l’État du Massachusetts, qui vise à concevoir des « thérapies protéiniques » fondées sur la technologie dite de l’acide ribonucléique messager (ARN messager).
  • Pfizer – Pfizer est une société pharmaceutique américaine né en 1849 à New York de l’association du chimiste d’origine allemande, Charles Pfizer, et de son cousin, le confiseur Charles Erhart.


Durant la décennie des années 90, Pfizer a cherché à mener des recherches, à développer et breveter un vaccin du coronavirus (CoV). La première demande de brevet qui reconnut spécifiquement la protéine S comme cible immunologique pour les vaccins fut établie le 14 novembre 1990 (brevet américain 6,372,224). Centrés sur la gastroentérite porcine et canine, ces efforts aboutirent à des résultats commerciaux décevants et le brevet fut abandonné en avril 2000. Au cours de la même période, le Professeur Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill fut financé par l’Institut National des Allergies et des Maladies infectieuses (NIAID) alors soumise à l’obsession vaccinale du Dr Anthony Fauci. Ce programme, qui eut comme objectif de transformer une toxine naturelle en arme commerciale, marque le début du complot criminel et viole les articles 18 USC § 175,15 USC § 1-3 et 15 USC §8 .

L’expertise du Dr Baric lui permit de comprendre comment modifier des composantes du Coronavirus associées à la myocardiopathie. La subvention NIAID Grants AI 23946 et GM63228 ( qui mena au brevet U.S. 7, 279, 327 « Méthodes pour Produire un Coronavirus Recombinant ») fut le premier projet sur les Gains de Fonction du NIH (GoF) pour lequel le Dr Baric créa un clone de Coronavirus recombinant « infectieux et défectueux dans la réplication ». Ce projet définit sans équivoque un moyen de rendre un pathogène naturel plus dangereux pour les humains grâce à une manipulation de la protéine Spike ainsi que d’autres cibles réceptrices. Une année après avoir rempli une demande de brevet sur ce gain de fonction (GoF) CoV, le monde vécut la première épidémie de Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SARS)

Liste des 8 accusations :

  • Chef d’inculpation 1. 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
  • Chef d’inculpation 2. 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
  • Chef d’inculpation 3. 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale
    criminelle.
  • Chef d’inculpation 4. 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
  • Chef d’accusation 5. 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
  • Chef d’accusation 6. 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
  • Chef d’accusation 7. 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
  • Chef d’accusation 8. 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Face aux accusés le procureur général aux Etats-Unis :

Le rôle du procureur est prépondérant dans le système judiciaire américain. Il définit les chefs d’accusation et contrôle le déroulement du processus grâce à son pouvoir discrétionnaire. Confronté à des faits similaires, il peut choisir des chefs d’accusation différents, donnant lieu à des peines différentes.

L’expertise du Dr Baric lui permit de comprendre comment modifier des composantes du Coronavirus associées à la myocardiopathie. La subvention NIAID Grants AI 23946 et GM63228 ( qui mena au brevet U.S. 7, 279, 327 « Méthodes pour Produire un Coronavirus Recombinant ») fut le premier projet sur les Gains de Fonction du NIH (GoF) pour lequel le Dr Baric créa un clone de Coronavirus recombinant « infectieux et défectueux dans la réplication ». Ce projet définit sans équivoque un moyen de rendre un pathogène naturel plus dangereux pour les humains grâce à une manipulation de la protéine Spike ainsi que d’autres cibles réceptrices. Une année après avoir rempli une demande de brevet sur ce gain de fonction(GoF) CoV, le monde vécut la première épidémie de Syndrome Respiratoire Aigu Sévère (SARS).

Sous prétexte d’une réponse à l’urgence en matière de santé publique, Le Centre de Contrôle des Maladies des Etats-Unis (CDC) remplit une demande de brevet sur le génome du SARSCoV le 25 avril 2003. En accédant et en manipulant les données génomiques ( ces dernières venaient de Chine, rendant ainsi illégale l’allégation d’une entité américaine selon laquelle il s’agissait d’une « invention » violant ainsi les articles 35 USC §101,103), le Dr Baric, le Dr Fauci et le CDC violèrent l’article 18 USC §175 (un crime). Or une année auparavant, le Dr Baric et son équipe
avaient déjà fait une demande de brevet dans laquelle le CDC déclarait sans équivoque que le pathogène était nouveau en 2003. Trois jours après avoir rempli une demande de brevet sur le génome, la société pharmaceutique financée par le NIH du nom de Sequoia fit une demande de brevet pour le vaccin du virus inventé seulement trois jours auparavant. Dans un même temps, le Dr Fauci, en violation de l’article 15 USC §19, fut nommé à un poste au conseil d’administration de la fondation Bill et Melinda Gates (un concurrent dans la fabrication de vaccins), amorçant ainsi le début de la direction imbriquée (1), un délit antitrust.

En 2005, le DARPA et le MITRE tinrent une conférence au cours de laquelle les intentions du Ministère de la Défense américaine furent explicites. Lors d’une présentation qui eut pour objet le « Biohacking des coronavirus synthétiques : « Les Technologies Facilitatrices de la Guerre Biologique »,le Dr Bari présenta la malléabilité du CoV comme agent de guerre biologique. Alors qu’ils violaient l’article 18 USC §175 et qu’ils avaient établi la répartition du monopole sur
des années (violant l’article 15 USC §8), le Dr Baric et le Ministère de la Défense dépensèrent plus de $ 45 millions pour amplifier la toxicité du CoV et de ses dérivées chimiques.

De 2011 jusqu’à la prétendue pandémie de COVID-19, le Dr Fauci a souvent déploré l’insuffisance du financement public en faveur de ses programmes de vaccins ainsi que le refus des citoyens de se soumettre à l’obligation vaccinale contre la grippe malgré son insistance. En effet, en dépit des crédits répétés pour faire évoluer la dépendance vaccinale, ses efforts n’ont guère abouti. Sous les ordres directs du Dr Fauci, NIAID encouragea UNC Chapel et le laboratoire du Dr Baric à ignorer le moratoire sur les gains de fonction, dans une lettre datée du 21 octobre 2014 . A cette époque, les docteurs Fauci, Baric et Peter Daszak de EcoHealthAlliance étaient en possession d’un pathogène chinois d’une dangerosité extrême qui fut identifié une année auparavant à Wuhan.

Alors que beaucoup d’actes illégaux étaient commis jusqu’en 2015, le Dr Daszak, financé par NIAID, annonçait le programme sur le terrorisme intérieur (en violation de l’article 18 USC § 2339) à l’Académie Nationale des Sciences. Il y annonça ce qui allait devenir l’opération de terrorisme national et mondial sous l’étiquette COVID-19:

«…tant qu’une maladie infectieuse n’est pas véritablement réelle, présente et qu’elle n’a pas atteint un seuil d’urgence, elle est souvent massivement ignorée. Pour maintenir les sources de financement au-delà de la crise, expliquait-il, il est nécessaire de sensibiliser d’avantage le public à la nécessité de recourir aux MCMs (contre-mesures médicales) telles que le vaccin contre la grippe pandémique ou celui du coronavirus. Avec les médias comme vecteurs déterminants, les chiffres suivront le matraquage médiatique. Il nous faut utiliser cette frénésie à notre avantage pour atteindre les bons objectifs. Les investisseurs répondront présents s’ils entrevoient des profits à termes, a déclaré Daszak»

ll n’y a donc rien de surprenant de constater qu’un an plus tard, le financement de NIAID porta ses fruits avec l’annonce du laboratoire du Dr Baric sur le pathogène dérivé de Wuhan « susceptible d’être répandu entre humains ». Sachant que le Ministère de la Santé et des Services Sociaux (au travers du CDC, NIH, NIAID, de leurs laboratoires financés et de leurs partenaires commerciaux) étaient en possession de brevets sur chaque élément de contre-mesure médicale et leur financement respectif, le Dr Fauci, le Dr Gao (CDC chinois) et le Dr Elias ( de la Fondation Bill et Melinda Gatesconspirèrent à commettre des actes de terrorisme sur la population mondiale – y compris sur les citoyens des Etats-Unis- lorsqu’ils publièrent les directives suivante dans A World At Risk, en septembre 2019 :

« Les pays, les donateurs et les institutions multilatérales doivent se préparer au pire. Une pandémie dont la contagion rapide est due à un pathogène mortel (qu’il soit d’origine naturel ou bien libéré par accident ou de façon délibéré) exige de se préparer par des mesures exceptionnelles. Ainsi, les donateurs et les institutions multilatérales doivent prévoir des investissements adaptés pour le développement de vaccins et de thérapeutiques innovantes. Ils doivent aussi augmenter leur capacité de production, élargir les spectres antiviraux et convenir d’interventions autres que pharmaceutiques.

Tous les pays doivent développer un système de partage immédiat de séquençages de génome de tout nouveau pathogène aux fins de santé publique tout en permettant de partager des contre-mesures médicales limitées entre pays.

Indicateurs de progrès d’ici septembre 2020 :

  • Les donateurs et les pays s’engagent et établissent un calendrier pour : le financement et le développement d’un vaccin universel contre la grippe, des antiviraux à large spectre ainsi que des thérapeutiques ciblées. L’OMS et ses Membres développent, quant à eux, des options de procédures standards et des échéanciers pour le partage des données sur le séquençage, les spécimens et les contre-mesures médicales pour des pathogènes autre que la grippe.
  • Les donateurs, les pays et les institutions multilatérales développent un plan et une approche pluriannuels pour renforcer les capacités de R&D, en prévision et pendant une épidémie.
  • L’OMS, le fond des Nations Unies pour l’Enfance, la Fédération Internationale des Sociétés de la croix Rouge et du Croissant Rouge, les universités ainsi que d’autres partenaires identifient des stratégies pour augmenter la capacité et l’intégration des approches en sciences sociales et celle des chercheurs sur tout le processus de préparation / continuum de réponse. »


Comme pour confirmer l’utilité de la demande faite en septembre 2019 pour « le financement et le développement d’un « vaccin » et la prétendue crise fortuite du SARS CoV 2 du mois de décembre 2019, le Dr Fauci commença à se vanter sur ses chances de financement supplémentaires qu’il disait susceptibles d’augmenter. Lors d’une interview donnée au STAT au mois de février 2020, il fut cité comme suit :

« L’émergence d’un nouveau virus va changer ce chiffre, certainement de façon considérable, dit Fauci. « Je ne sais pas à combien le montant va s’élever mais je pense que cela va susciter un intérêt plus soutenu envers les coronavirus car il est clair que ces virus peuvent faire des choses très intéressantes. »

Au mois de novembre 2019, un mois avant la supposée « épidémie » à Wuhan, Moderna conclut un accord de transfert de matériel qui fut négocié par le Centre de Recherche sur les Vaccins au NIAID ( pour lequel le Dr Kizzy-Corbett, un ancien étudiant de UNC Chapell Hill, travaillait) afin d’accéder aux données du Dr Baric sur la protéine Spike et démarrer le développement du vaccin. C’est dans sa propre déclaration écrite obtenue par le Financial Times qu’il fait référence à cet accord comme étant ce qui servit de base à la création du vaccin ARN Messager de Moderna.

Preuve de la nature du racket et de la conspiration criminelle antitrust, alors même qu’il s’est agi de commercialiser la protéine Spike dont le NIH et DARPA étaient propriétaires et la faire passer pour un « vaccin » (allant à l’encontre des normes établies pour les vaccins dans l’application scientifique et légale), le contrat de l’Opération Warp Speed fut confié à ATI, une filiale de ANSER, travaillant pour le Ministère de la Défense. Dans un graphique qui rappelle les auditions antitrust à la création du Clayton Act au début du 20eme siècle, les conflits d’intérêts imbriqués sont présentés en relief pour permettre de les identifier. Il n’est pas surprenant de constater que les conséquences de ce complot en matière de fixation des prix permirent aux groupes qui conspiraient de s’enrichir en nuisant aux consommateurs.


Opération Warp Speed

Il sera intéressant de voir comment l’AFP va réagir en apprenant cette nouvelle, car jusqu’à ce jour cette agence avait pris comme habitude de jeter le discrédit sur tous les gens qui ont lancé des alertes sur la toxicité de la protéine SPIKE sachant que cette Agence fait office de notoriété dans le monde de l’information en France. On devrait plutôt dire Agence qui bloque les informations en “tamponnant” les lanceurs d’alertes du secteur médical (voire de la science), de FAKE NEWS voire de conspirationnistes.

La grande presse française est complice de crime contre l’humanité et leurs responsables devront répondre devant la justice, justice qui est aussi en cours en France, mais bloqu ée pour le moment  , car les tribunaux se déclarent incompétents pour juger les nombreuses plaintes , notamment contre les dirigeants du gouvernement français. Depuis bientôt quasiment deux ans les médias français, les agences sanitaires ainsi que le gouvernement ont terrorisé la population avec des messages plus anxiogènes les unes que les autres !

Voici une des plaintes françaises en cours menée par l’avocate Virginie de ARAUJO RECHIA

Pour rappel voici un article  à lire également qui évoque quelques-uns des lanceurs d’alerte du secteur médical sur la toxicité de la protéine SPIKE :
Le Dr Ryan Cole dénonce les vaccinations expérimentales qu il qualifié comme « un viol par l’aiguille » due à la toxicité de la protéine SPIKE

La justice  a donc dans ses mains LES PREUVES INDÉNIABLES que cette pandémie a été délibérément créée , pour nous imposer de gré ou de force des ”vaccinations ” massives et ininterrompu es,  à des fins, entre autres, de profits financiers.

Le paSS sanitaire, voir e vaccinal , est une mesure bas ée sur la plus grande escroquerie sanitaire de l’histoire ! Ni un, ni l’autre n’est acceptable ! C’est un crime contre l’humanité !

On doit stopper immédiatement toutes les « vaccinations » ARNm E XPERIMENTALES  ainsi que toutes les mesures liberticides , et rendre  aux médecins le droit de prescrire librement notamment l’Ivermectine, l’Azithromycine, l’Hydroxychloroquine, etc. :  médicaments qui permett ent de combattre efficacement le COVID en y combinant notamment le ZIN C et la vitamine D ( D3 ) pour un coût dérisoire comparé aux « injections expérimentales ».

Signez vous aussi la pétition contre le paSS vaccinal qui compte déjà plus de 1,1 million de signatures!

Source principale des informations de cet article




Ecrit par : admin le 1 janvier 2022.

Mis à jour par : admin le 2 janvier 2022.


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