(Bien optimiste. Il est prévu que le virus dure. Si en plus il a été fabriqué, ils doivent en avoir une souche plus virulente dans les tiroirs qui va sortir au moment opportun. note de rené)
L’épidémie de Covid sur le point de disparaître. La stratégie du régime Macron doit être revue
1) La première vague du Covid-19 a secoué les pays du monde entier avec un décalage d’un à deux mois par rapport à l’épicentre épidémique situé à Wuhan. En Europe, trois pays ont été pratiquement synchrones dans la vague et les mesures sanitaires adoptées, essentiellement le confinement. Dans l’ordre, Italie, Espagne, France. Le pic fut atteint début avril puis une décroissance assez conséquente et durable s’est produite. Le lundi 11 mai 2020, au moment du déconfinement, il y avait encore plus de 200 décès quotidiens. Pourtant, un déconfinement soutenu fut décidé. De la mi-mai à la mi-juin, les contraintes furent levées. Le masque n’était que recommandé, même pas obligatoire dans les commerces, ni la rue, ni les établissements scolaires, ni les milieux de travail. Si le virus avait conservé sa puissance épidémique, une seconde vague aurait dû se dessiner à la mi-juillet et s’amplifier d’août à septembre. Nous n’avons rien vu de tel. En revanche, une reprise a été observée entre la mi-septembre et maintenant. Ces observations traduisent une saisonnalité assez énigmatique, du moins en Europe, et une sorte d’horloge biologique présente dans l’épidémie. Une horloge que la science n’explique pas.
2) Le comité scientifique regrette que le déconfinement de mai ait été trop rapide. Ils sont obsédés par la circulation du virus et ne voient pas l’horloge épidémique. La séquence qui s’est produite depuis juillet jusqu’à décembre a été instructive, elle nous a permis de mieux cerner l’épidémie, la connaître pour la maîtriser. Cette séquence a permis d’établir des liens entre la cinétique de circulation et la cinétique clinique, d’observer la positivité et d’apprécier la létalité, sauf qu’il y a une inconnue que ne peuvent ou ne veulent pas livrer les épidémiologistes, c’est le nombre réel de contaminations. Deux millions de cas ont été enregistrés mais combien de contaminations réelles ? Au moins le triple et peut-être même un chiffre atteignant les 15 millions. Si tel est le cas, une immunité collective est en vue et la létalité virale est inférieure à 0.2 % pour la seconde vague (en excluant les Ehpad)
3) Comment expliquer la décrue ? Il y a deux types de causes expliquant la décrue de l’épidémie constatée après le 15 novembre. Les contraintes sanitaires et les facteurs biologiques liés au virus et à sa relation avec une population ciblée. Il est raisonnable de penser que les mesures sanitaires ne fournissent pas une explication du phénomène de décroissance. Le couvre-feu, suivi des vacances scolaires et du confinement n’expliquent pas la décélération des entrées pendant la semaine précédant le pic du 16 novembre des réanimations en cours.
Il reste les explications naturelles, il y en a trois, elles peuvent se compléter et agir de concert
a) L’immunité collective finit par limiter la part de marché du virus. Les individus immunisés attrapent les virions et les contrôlent avant qu’ils ne puissent se reproduire et rendre l’infecté contagieux. Cet effet est sensible à partir de 10 millions de contaminés. Un chiffre très plausible. Les tests anticorps ne suffisent pas à quantifier l’immunité collective, il faut aussi les tests cellulaires. Les Américains ont mis au point des tests récemment.
b) Une atténuation virale est plausible. Il ne faut pas oublier que les virions qui infectent les patients sont passés par des dizaines d’infectés et que les mutations se sont accumulées. D’autres mécanismes sont possibles mais ils sortent du cadre explicatif conventionnel.
c) L’horloge virale et la saisonnalité expliquent aussi la décroissance. Un phénomène de déclin est possible, comme pour la grippe. C’est assez étrange mais un coronavirus peut très bien s’atténuer au début de l’hiver, en janvier, alors que l’épidémie de grippe s’éteint souvent au début du printemps.
d) La décroissance de l’épidémie s’observe dans de nombreux pays en Europe. En Suède, la seconde vague est très atténuée par rapport à la première. Les pays secoués par la première vague semblent moins affectés par la seconde et inversement (donnés accessibles plus bas)
4) C’est l’obsession de la circulation virale qui gouverne le conseil scientifique et le président Macron. Il ne faut pas se fixer de chiffres sur le nombre de cas, ni être focalisé sur les testés et les cas contacts. La seule stratégie, c’est que chaque contaminé porteur de symptômes reste chez lui et prenne soin de ne pas contaminer ses proches. La stratégie gouvernementale est mauvaise, elle conduit à détruire le pays pour un bénéfice sanitaire très limité. Le gouvernement risque de maintenir le pays dans un état d’exception. Il appartient aux citoyens de débattre des choix et s’il y a lieu, de se mobiliser pour défendre la société et ce que nous avons construit ensemble depuis des siècles. Nous pouvons envisager de vivre comme avant, dans un pays de liberté, culture, vie sociale, amitié, rassemblements. Quitte à assumer un risque de troisième phase en choissant d'être debout et courageux face à une adversité qui ne doit pas nous faire renoncer à notre Identité construite par delà les siècles
Ici les chiffres internationaux
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire