Nouvelle fuite de méthane dans l’atmosphère au-dessus du Turkménistan
source : Novastan.org
Le Turkménistan a émis plus de méthane que la moyenne mondiale, avec 40 % d'augmentation entre 2019 et 2020, contre 32 % au niveau mondial. Un décalage révélateur des réalités complexes auxquelles le gouvernement turkmène doit faire face, entre économie gazière et objectifs affichés en matière d'environnement.
D’importantes émissions de méthane dans l’atmosphère ont de nouveau été observées au Turkménistan. Le 14 octobre dernier, Kayrros, une start-up française spécialisée dans l’énergie et les données quantitatives, a publié un communiqué annonçant avoir détecté des émissions anormalement élevées de méthane à travers le monde. Au Turkménistan, ces émissions sont plus élevées qu’ailleurs, avec une augmentation de 40 % contre 32 % dans le reste du monde entre 2019 et 2020.
Selon ce document, ces émissions seraient dues à de larges fuites. Kayrros a identifié plusieurs éléments qui ont pu en être la source : mines, puits pétroliers, gazoducs et oléoducs. Les travaux d’allongement des pipelines et de maintenance sur ces infrastructures génèrent souvent des fuites.
L’origine des émissions évoquées par Kayrros n’a pas été clairement identifiée, même s’il est question dans le document du manque . . .
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