mercredi 25 juillet 2018

 Le phénomène Chemtrails

Notre article dans Soleil Levant du mois d’avril 2013 
1 Avril 2013, 22:01pm

Publié par Ciel Voilé

 26 06 2011 toulouse

   
Regardez-vous le ciel ? Le ciel a besoin que vous le regardiez. Le ciel bleu est en danger de disparition. Observez-le régulièrement, vous verrez que les jours de ciel totalement bleu se font de plus en plus rares. Ce n’est pas rien.

Jamais tant que ces dernières décennies, la destruction de l’environnement sur notre planète ne s’est si dramatiquement intensifiée. Le vivant est attaqué de toutes parts. Les produits chimiques polluent les terres, les eaux et les airs, perturbent et détruisent les écosystèmes et ceux qui y vivent. Des technologies mortifères menacent la santé humaine : nucléaire, OGM, nécro-carburants, nanotechnologie, micro-ondes, puces RFID... Pour la seule victoire du profit.

Un article paru dans le magazine Science de juillet 2011, annonçait le doublement du nombre d’aérosols (ou particules fines) en haute altitude. « L’augmentation très rapide des quantités d’aérosols est surprenante » poursuit J. Daniel. « Elles ont presque doublé en 10 ans. L’augmentation des aérosols depuis 2000 n’est pas encore entièrement expliquée ».

Les moteurs d’avions sont conçus pour être plus propres (32 % de pollution en moins en 20 ans) et pour consommer moins. L’augmentation du trafic aérien ne suffit pas à expliquer ce doublement.
Certains jours, les avions passent sans laisser de trace persistante. Leur traînée de condensation (vapeur d’eau) les suit et se résorbe rapidement au fur et à mesure de leur déplacement. D’autres jours, quelque soit le moment de la journée, plusieurs avions passent en même temps, dans toutes les directions, laissant des traces persistantes qui s’étalent et voilent le ciel, le rendant blanchâtre, pollué. Les conditions atmosphériques, les taux d’humidité, n’expliquent pas la différence, puisque les vols « propres » sont aussi visibles au même moment, en général et paradoxalement, à une altitude plus élevée où il fait donc plus froid.

Depuis l’an 2000, l’espace aérien militaire s’élève jusqu’à 8000 m d’altitude ( 4000 m auparavant). Or circulent dans cet espace de nombreux avions de ligne, en-dessous de leurs couloirs habituels. Ils échappent ainsi aux radars des contrôleurs aériens. Qu’y font-ils ? Quelle proportion d’avions vole sans passager ni fret ?

Pour bien distinguer traînée de condensation et traînée persistante, le mieux est de les observer au même moment dans le ciel. Les avions « traceurs » se permettent des demi-tours, des U, des cercles complets, des quadrillages parfaits. A l’évidence les économies de carburant ne les concernent pas ! Ils volent dans presque toutes les directions de l’espace, en-dessous des couloirs aériens commerciaux. Il ne se passe pas une semaine sans épandage. Mais de plus en plus, la couverture nuageuse nous les cachera.

Observation fréquente : les trajectoires discontinues. Avant de survoler une ville, un avion passe « proprement », et tout à coup lâche une traînée persistante qui s’étalera, puis reprend son trajet « propre ». Il ne s’agit pas de délestage lesquels selon la DGAC, sont exceptionnels et interdits à basse altitude.

Aux Etats-Unis où le « phénomène » est apparu dix ans plus tôt qu’en Europe, dans certains lieux, le ciel n’est plus jamais bleu. La couverture nuageuse y est telle, qu’elle a littéralement « tué » le vent. Nous avons encore la chance en région PACA d’avoir des jours sans traînées persistantes. Et le mistral pour nettoyer le ciel de ces nuages artificiels. Mais que se passerait-il si elles étaient présentes tous les jours ? Nous trouverions cela normal, et nous n’aurions plus que du ciel blanc.
Certaines opérations « coup de poing » menées par une cohorte d’avions (40 en une heure !) peuvent transformer un ciel bleu en couvercle blafard et éblouissant en moins de 3 heures. Depuis quand le trafic aérien serait-il chargé de fabriquer des nuages artificiels
La photosynthèse chez les plantes et l’absorption de la vitamine D chez l’homme sont perturbées. L’analyse des sols et de l’eau révèle des taux anormalement élevés de baryum et d’aluminium. Entre autres. Il s’agit ni plus ni moins d’un crime contre le vivant.

-  La question récurrente est « pourquoi ? ». Le sujet est complexe car il est lié à de nombreux enjeux. Pour ne citer que les principaux : contrôle climatique, répercussion des ondes électro-magnétiques (opérations militaires, projet HAARP...) et main- mise des multinationales semencières sur l’agroalimentaire (ex : gènes résistants à l’aluminium).

Les banques spéculent sur le temps : les marchés annuels représentent des dizaines de milliards de dollars. Des produits dérivés climatiques concernent aussi les capitales européennes. Fera-t-il chaud ou froid sur Paris en avril 2013 : les paris sont ouverts !

L’ETC group, organisation très active à dénoncer les dérives de l’économie verte, a publié un dossier intitulé : « Géopiraterie ». On y apprend comment, à la suite des échecs successifs des négociations sur les enjeux des changements climatiques et de la réduction des gaz à effet de serre, les lobbies verts vendent leur trouvaille : « Vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord. Inutile de limiter vos émissions de gaz à effet de serre ! Nous avons la solution : la géo-ingénierie. » Ainsi les pilotes qui participent à ces programmes d’intervention climatique sont convaincus d’agir pour le bien de l’humanité : la lutte contre le réchauffement climatique.

Notons également que certaines structures scientifiques indépendantes se sont spécialisées dans l’étude des "Morgellons", un syndrome qui est directement lié aux substances qui sont pulvérisées par certains avions. L’Institut Carnicom est l’un des plus avancés dans ce domaine, il publie régulièrement de nouveaux travaux. On y apprend notamment que les fibres retrouvées dans le corps des malades sont vivantes et se développent lorsqu’elles sont placés en culture dans des bocaux.Un mélange de substances polymères et biologiques mais également de nanotechnologies constituent ces fibres comme l’a démontré le Dr Hildegarde Staninger. Le sujet a même été abordé à la télévision québecoise.

Il est indispensable de recouper les éléments relevant de ces différents secteurs d’activité pour évaluer pleinement la portée du phénomène. Des politiciens (Nikola Aleksic, Antonio di Pietro...), des scientifiques (Clifford Carnicom, Hildegarde Staninger, rapport Case Orange, météorologues apportant des preuves par le radar Doppler...) témoignent. Et des citoyens s’engagent partout dans le monde pour alerter et informer, comme dans le film « Bye Bye Blue Sky ».

Certains présentateurs météo n’hésitent plus à briser leur carrière professionnelle pour révéler au grand public ce qu’ils savent de ces opérations d’épandage. On a pu le constater lors de bulletins météo télévisés en direct en Allemagne et aux Etats-Unis.

Bien que cela puisse paraître difficile à croire, une complicité à de nombreux niveaux est nécessaire pour assurer la discrétion d’opérations d’une telle envergure. La télévision joue un rôle clé en habituant progressivement petits et grands à l’omniprésence d’un ciel voilé et blanchâtre à travers ses émissions et publicités. Le blog "Actu-Chemtrails" y consacre une rubrique étonnante.

Nous nous sentons comme David contre Goliath, au même titre que les activistes à leurs débuts face au nucléaire, aux pesticides ou aux OGM, mais nous avons le pouvoir de créer un véritable mouvement populaire qui révélera au grand jour ces programmes d’épandage. Il est urgent qu’ils cessent pour que notre belle planète puisse accueillir dans tous les règnes, la vie des générations futures.

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