POUR INFO : La Suède, pays du viol : Agressions Sexuelles – un Eté d’Enfer en Suède
La Suède, pays du viol
Eric Verhaeghe : La Turquie d’Erdogan n’a pas apprécié les critiques de la Suède à propos de la suppression des sanctions pénales pour les faits de relations sexuelles avec des mineurs de 15 ans. En mesure de rétorsion, une campagne d’affichage dans l’aéroport d’Istanbul soulignait que la Suède est le pays où le taux de viol est le plus élevé au monde.
- Presque tous les agresseurs sexuels qui ont agi en groupe et ont été arrêtés sont citoyens d’Afghanistan, d’Erythrée et de Somalie – trois groupes d’immigrants surreprésentés dans la catégorie des « enfants réfugiés non accompagnés ».
- Quelques jours plus tard, les Suédois ont découvert que la plupart des auteurs d’agression sexuelle au festival de musique « Putte i Parken » de Karlstad portaient le bracelet « Attouchements sexuels interdits ».
- L’atterrement a été général quand les organisateurs du Trästocksfestivalen de Skellefteå ont fait savoir que des bus gratuits amèneraient les « enfants réfugiés non accompagnés » locaux. Ils se sont dits «fiers d’être les premiers en Suède à promouvoir la participation des migrants nouvellement arrivés à un festival de musique ». Au dernier jour du Trästocksfestivalen, la police avait enregistré douze plaintes pour agression sexuelle.
- Apparemment, les filles et femmes suédoises vont devoir vivre avec le risque d’agression sexuelle et de viol … à moins qu’elles ne choisissent de rester à la maison. Une décision conforme à la charia.
L’information a éclaté début 2016, dans le sillage des attaques qui ont eu lieu à Cologne, (Allemagne), lors du réveillon du Nouvel An : en Suède aussi, un grand nombre d’agressions sexuelles ont eu lieu au festival de musique « We Are Sthlm » [abréviation de Stockholm] tant en 2014 qu’en 2015. Nul n’en a rien su, car la police et les médias ont soigneusement occulté l’information. Le chef de la police nationale, Dan Eliasson, a immédiatement réagi en commandant un rapport pour mieux évaluer l’étendue du problème.
Le rapport intitulé : « Le point sur les agressions sexuelles et propositions d’action » a été rendu public en mai 2016. Les conclusions sont effrayantes. Presque tous les agresseurs sexuels qui ont agi en groupe et ont été arrêtés sont citoyens d’Afghanistan, d’Erythrée et de Somalie. Ces trois groupes d’immigrants sont surreprésentés dans cette catégorie de migrants que sont les «enfants réfugiés non accompagnés ».
Scènes d’un festival de musique à Malmö à l’été 2015 … A gauche: Quatre jeunes hommes entourent et agressent sexuellement une jeune femme. A droite: la police arrête un suspect, pendant que les victimes d’agression sexuelle pleurent en arrière-plan. Le photographe a indiqué que des filles suédoises ont été agressées sexuellement par des groupes de jeunes hommes « d’origine étrangère ». |
Le rapport établi par le Service des opérations nationales (NOA) a passé en revue toutes les agressions sexuelles qui ont eu lieu dans les festivals de musiques, les carnavals de rue ou les fêtes de Nouvel An et qui ont été rapportées à la police.
Au moins dix cas de taharrush gamea [terme arabe pour « harcèlement sexuel collectif »] – ont été recensés : des groupes d’hommes choisissent une victime et mènent une attaque en commun. Le rapport cite Senni Jyrkiäinen, chercheuse à l’Université d’Helsinki, spécialiste des relations homme-femme en Egypte :
Le rapport de la police décrit le phénomène ainsi :
Extraits de dépôts de plaintes :
- Une jeune fille de seize ans a été attaquée par un grand nombre d’hommes qu’elle a décrit comme des « étrangers parlant un mauvais suédois » qui ont essayé de lui arracher ses vêtements. Certains des agresseurs ont photographié l’agression. La fille retournait à son domicile à la fin d’une fête quand elle a été attaquée. Elle était en compagnie de son petit ami qui a été témoin de l’agression.
- Deux jeunes filles ont été attaquées par un groupe de quinze à vingt hommes « d’origine africaine », tous âgés de quinze à vingt ans ;
- L’attaque contre la jeune fille a démarré comme un harcèlement sexuel et s’est terminée par un viol en réunion. La jeune fille et les agresseurs participaient à la même fête. Les agresseurs ont suivi la jeune fille quand elle a quitté les lieux ;
- Une jeune fille de douze ans a été attaquée. La description des agresseurs qui suit est celle qui a été enregistrée ; « quatre hommes de type arabe, âgés de vingt à vingt-cinq ans, et parlant une langue étrangère, sans doute de l’arabe, entre eux ». Un jeune homme qui tentait de s’interposer a été roué de coups ;
- Une fille a déclaré qu’elle s’apprêtait à uriner dans les buissons quand elle a été attaquée par douze agresseurs. Les suspects ont également dérobé le portefeuille de la jeune fille. « L’agression sexuelle s’est traduite par le fait qu’un inconnu a saisi les fesses de la jeune fille, entre autres choses ».
- Une jeune fille de dix-sept ans a quitté un centre commercial quand elle a été poursuive et bloquée par trois « Africains » qui l’ont attaquée en comprimant ses fesses si fort que son pantalon a été arraché.
- Une jeune fille de treize ans inscrite dans une classe d’éducation spécialisée a été approchée par « quatre ou cinq gars étrangers » s’exprimant en suédois teinté d’un fort accent. Chacun d’eux l’a tripotée à des « endroits du corps qu’elle n’a pas apprécié comme les fesses et les seins ».
- Une jeune fille attendait le train quand elle s’est retrouvée entourée par six jeunes âgés de quinze à dix-sept ans « d’origine étrangère ». Ils se sont moqué d’elle, lui ont tenu des propos obscènes et l’ont menacé en suédois. L’agression a cessé quand le train est entré en gare.
- Une jeune fille a été accostée par dix hommes âgés de dix-huit à vingt ans. Quatre d’entre eux lui ont saisi les bras et soulevé son pullover pendant que les trois autres se livraient à des attouchements sur ses seins et d’autres parties de son corps. Elle a crié à l’aide et résisté comme elle a pu, les suppliant d’arrêter, mais sans aucun résultat. Elle a finalement réussi à se dégager.
- Une fille a été harcelée de manière ordurière dans un train par neuf hommes âgés de vingt-cinq ans environ. Ils ont tenté de la bloquer à l’intérieur du wagon. Aucun d’eux ne parlait le suédois, la victime a déclaré dans sa plainte qu’ils « pourraient provenir d’Afghanistan ».
- Une fille a été encerclée dans un train par huit hommes agissant simultanément. Deux lui ont tripoté les cuisses et peloté d’autres parties de son corps. Elle a fini par saisir une bombe au poivre qui a fait fuir ses agresseurs. Tous avaient plus de vingt-cinq ans et étaient d’origine étrangère.
Au chapitre des agressions sexuelles dans les piscines, le rapport en recense 123 en 2015. Quatre-vingt-six pour cent des suspects avaient moins de 20 ans, l’âge moyen des agresseurs se situant autour de 15-16 ans:
Le caractère indiscutable et effrayant des faits recensés par le rapport de la police n’a pas soulevé une once de débat public en Suède. Les féministes ont seulement évoqué des « hommes » commettant des agressions sexuelles. En janvier par exemple, Karen Austin, ancienne responsable d’une commission gouvernementale sur les jeunes hommes et la violence a publié un article sur le site « Débats » de la télévision publique suédoise ; elle y affirme que la culture et la religion n’ont (presque) aucun rôle en matière d’agressions sexuelles.
Barbro Sörman, présidente du Parti de Gauche à Stockholm, a tweeté début juillet qu’un viol commis par des Suédois était pire qu’un viol commis par des étrangers :
Sörman a par la suite regretté la formulation de son tweet, mais a réaffirmé que le comportement des Suédois méritait d’être aussi examiné :
Après que Dan Eliasson, le chef de la police nationale, ait lu le rapport qu’il avait commandé, il a rendu publique le 28 juin, une « solution » qui a coupé le souffle des Suédois : un bracelet sera distribué portant l’inscription « Attouchements sexuels interdits ». Eliasson a expliqué son initiative ainsi :
Quelques jours plus tard, les Suédois ont appris que la plupart des auteurs d’agressions sexuelles du « Putte i Parken », le festival de musique de Karlstad, portaient le bracelet « Attouchements sexuels interdits ». Ce fut la même histoire au festival Bravalla, en dépit des 50 volontaires de l’ONG Nattskiftet (Equipe de nuit) qui patrouillaient le festival Bravalla tous les soirs. Lisen Andréasson Florman, directeur des opérations de Nattskiftet, a elle-même a été attaquée. Elle a déclaré à l’agence de presse suédoise TT , qu’elle s’est retrouvé encerclée par trois hommes qui ont eu des gestes « absolument dégoûtants ».
Ainsi vont les choses. Au cours de l’été, à chaque festival de musique, les agressions sexuelles se sont répétées encore et encore. L’atterrement a été général quand les organisateurs du Trästocksfestivalen, le festival de musique de Skellefteå, ont mis en place un service de bus gratuits pour inviter les « enfants réfugiés non accompagnés » locaux.
Nils Andrén, le directeur du festival n’a pas compris les critiques formulées contre ses bus gratuits. La devise du festival est « accessibilité », a-t-il déclaré et les nouveaux arrivants peuvent renoncer à participer en raison du prix élevé des transports. En plus des navettes gratuites, les organisateurs ont imprimé des affiches en persan, arabe et tigrinya pour annoncer le festival. Ils se sont dits « fiers d’être le premier festival de musique en Suède à avoir une politique d’audience active auprès des migrants nouvellement arrivés ».
A la fin du Trästocksfestivalen, la police a enregistré douze plaintes pour agression sexuelle.
Les propositions émises par la police en conclusion de son rapport pour prévenir les agressions et lutter contre elles sont énumérées à gros traits ci-dessous :
- Un travail de prévention à partir de cas criminels concrets.
- Refonder la coopération entre les municipalités et les organisateurs.
- Mettre en œuvre un modèle récurrent de coopération pour tout ce qui touche à la délégation de pouvoir et à la délégation de responsabilité.
- Mesures directes selon l’analyse des causes.
- Etablir un « quartier général commun » pour l’organisation d’événements publics.
- Analyser correctement les situations en temps réel.
- Mettre les coupables rapidement en examen en disposant d’enquêteurs sur place.
- Enquête juridique pour établir que les modes opératoires nouveaux des criminels ne constituent pas des circonstances aggravantes.
Nulle part le rapport ne mentionne que le personnel politique devrait prendre des mesures pour réduire le nombre des demandeurs d’asile en provenance de pays ou le taharrush gamea est pratiqué. Apparemment, les femmes et les jeunes filles suédoises sont devant un choix : accepter de vivre avec le risque d’être agressées sexuellement et violées – ou renoncer à sortir de chez elles. Cet enfermement domestique est après tout conforme à la charia telle que la loi islamique la prescrit.
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