(blog à finir et à corriger)
Alors, mes chers cinq lecteurs, me voilà de retour après avoir été aidé un ami restaurateur pendant quatre jours.
Et, oui, la solidarité doit perdurer et nous aider à nous défendre contre "LEUR" vision de cette nouvelle société despotique que la finance et les multinationales veulent nous imposer après avoir corrompu nos politiques et scientifiques.
Comme pour les chemtrails où le silence de nos dirigeants gouvernementaux est criminel.
(source : Les brindherbes engagés)
Alors, mes chers cinq lecteurs, me voilà de retour après avoir été aidé un ami restaurateur pendant quatre jours.
Et, oui, la solidarité doit perdurer et nous aider à nous défendre contre "LEUR" vision de cette nouvelle société despotique que la finance et les multinationales veulent nous imposer après avoir corrompu nos politiques et scientifiques.
Comme pour les chemtrails où le silence de nos dirigeants gouvernementaux est criminel.
(source : Les brindherbes engagés)
CHEMTRAILS : Des analyses d’eau de pluie très préoccupantes
Un de nos adhérents à Miserey Salines dans le Doubs a fait procéder, par le laboratoire Qualio de Besançon, à des analyses d’eau de pluie recueillies tous les 8 mois environ au même endroit et dans des conditions similaires.
Le résultat est fort préoccupant puisqu’il atteste d’une
augmentation de 800% du taux d’aluminium en 16 mois
(environ 9 fois plus) et d’une
augmentation de 100% des taux de baryum, strontium et titane en 8 mois
(2 fois plus)
Ces résultats d’analyse ont fait l’objet d’une communication au Maire de Miserey Salines (Doubs), lequel s’est engagé à transmettre ce rapport d’analyses à l’Agence Régionale de Santé (ARS-Besançon)
- L.Bernard_maireMiserey 20juin14
- maireMiserey_L.Bernard 25juin14
Dans la rubrique, "Gaffe à ta santé", un avertissement.
(source : Scott.net)
Santé et Bien-être
En Chine, plusieurs chaînes américaines de fast-food se retrouvent prises dans un scandale de sécurité des aliments. En cause, leur principal fournisseur réemballait la viande avariée, pratique qui durait depuis au moins un an.
McDonald's, Pizza Hut, Kentucky Fried Chicken, mais aussi Starbucks, les pizzasPapa John's, Burger King... tels étaient les principaux clients de la société Shanghai Husi Foods, fournisseur de leur viande sur le marché chinois. Or lors d'un reportage diffusé le 20 juillet par la chaîne Dragon TV, les ouvriers de son usine principale, à Shanghai, sont montrés en train de réemballer de la viande périmée, modifiant la date de péremption.
Touchant aussi bien le bœuf, le porc que le poulet, cette pratique, au besoin appuyée d'un petit coup de chlore pour nettoyer la viande, aurait commencé il y a au moins un an. L'an dernier, un ancien responsable du contrôle qualité de l'entreprise, Wang Donglai, employé de 2007 à 2013, avait en effet porté plainte contre elle à ce sujet.
Motifs invoqués: Shanghai Husi Foods l'obligeait à des pratiques contraires à l'éthique professionnelle, mais aussi mettait sa santé en danger, du fait de l'exposition au chlore. Surprise, sa plainte a été rejetée par la justice, au motif que Wang Donglai était en parfaite santé! Il aura donc fallu le reportage de raison TV pour que les choses bougent enfin.
A ce jour, cinq responsables, dont l'actuel responsable du contrôle qualité de Shanghai Husi, ont été arrêtés. Et les découvertes s'enchaînent: outre la Chine et Hong Kong, l'enquête a montré que les croquettes de poulet vendues par McDonald's dans ses restaurants japonais provenaient aussi de Shanghai Husi Foods.
Une filiale d'un groupe américain
Ironie de l'histoire, cette société s'avère être une filiale d'un groupe américain, OSI Group, basé à Aurora (Illinois). Depuis la révélation de l'affaire, celui-ci ne cesse de se répandre en communiqués de circonstance: «excuses sincères», «comportements inacceptables», etc. Et s'engage, plus concrètement, à des enquêtes en interne, des retraits du marché de tous les produits de Shanghai Husi Foods. Rebaptisée OSI International China, celle-ci va d'ailleurs faire l'objet d'une tutelle plus vigilante.
Là où les choses se gâtent un peu plus, c'est que d'autres employés d'OSI Group en ont profité pour dénoncer des non-conformités assez peu reluisantes, mais cette fois-ci dans l'une des principales usines américaines, dans la ville de West Chicago (Illinois). Or comme en Chine, OSIest aux États-Unis le premier fournisseur en viande de McDonald's.
Interrogée par l'International Business Times, une ancienne employée confie que « la viande tombée à terre était remise dans le lot et conditionnée. [Les employés] crachaient dans la viande et y suaient des gouttes de leurs visages, il y avait des moments où des personnes laissait tomber leur chewing-gum dans la viande, et ils l'y laissaient s'ils ne le trouvaient pas. Chaque personne devait se laver les mains à l'entrée de la zone de production, mais à peu près personne ne le faisait ». Pour l'instant, OSI Group n'a pas encore fait savoir s'il trouvait ces agissements « inacceptables ».
Ce n'est pas la fin des soucis pour Ronald: sur fond de tensions géopolitiques, l'agence russe de protection des consommateurs, le Rospotrebnadzor, vient de porter plainte contre McDonald's au motif que son information nutritionnelle n'y serait pas conforme à la législation russe. De plus, des traces d'Escherichia coli auraient été détectées dans un restaurant inspecté en mai. Décidément, les Happy Meals n'auront jamais aussi mal porté leur nom."
McDonald's, Pizza Hut, Kentucky Fried Chicken, mais aussi Starbucks, les pizzasPapa John's, Burger King... tels étaient les principaux clients de la société Shanghai Husi Foods, fournisseur de leur viande sur le marché chinois. Or lors d'un reportage diffusé le 20 juillet par la chaîne Dragon TV, les ouvriers de son usine principale, à Shanghai, sont montrés en train de réemballer de la viande périmée, modifiant la date de péremption.
Touchant aussi bien le bœuf, le porc que le poulet, cette pratique, au besoin appuyée d'un petit coup de chlore pour nettoyer la viande, aurait commencé il y a au moins un an. L'an dernier, un ancien responsable du contrôle qualité de l'entreprise, Wang Donglai, employé de 2007 à 2013, avait en effet porté plainte contre elle à ce sujet.
Motifs invoqués: Shanghai Husi Foods l'obligeait à des pratiques contraires à l'éthique professionnelle, mais aussi mettait sa santé en danger, du fait de l'exposition au chlore. Surprise, sa plainte a été rejetée par la justice, au motif que Wang Donglai était en parfaite santé! Il aura donc fallu le reportage de raison TV pour que les choses bougent enfin.
A ce jour, cinq responsables, dont l'actuel responsable du contrôle qualité de Shanghai Husi, ont été arrêtés. Et les découvertes s'enchaînent: outre la Chine et Hong Kong, l'enquête a montré que les croquettes de poulet vendues par McDonald's dans ses restaurants japonais provenaient aussi de Shanghai Husi Foods.
Une filiale d'un groupe américain
Ironie de l'histoire, cette société s'avère être une filiale d'un groupe américain, OSI Group, basé à Aurora (Illinois). Depuis la révélation de l'affaire, celui-ci ne cesse de se répandre en communiqués de circonstance: «excuses sincères», «comportements inacceptables», etc. Et s'engage, plus concrètement, à des enquêtes en interne, des retraits du marché de tous les produits de Shanghai Husi Foods. Rebaptisée OSI International China, celle-ci va d'ailleurs faire l'objet d'une tutelle plus vigilante.
Là où les choses se gâtent un peu plus, c'est que d'autres employés d'OSI Group en ont profité pour dénoncer des non-conformités assez peu reluisantes, mais cette fois-ci dans l'une des principales usines américaines, dans la ville de West Chicago (Illinois). Or comme en Chine, OSIest aux États-Unis le premier fournisseur en viande de McDonald's.
Interrogée par l'International Business Times, une ancienne employée confie que « la viande tombée à terre était remise dans le lot et conditionnée. [Les employés] crachaient dans la viande et y suaient des gouttes de leurs visages, il y avait des moments où des personnes laissait tomber leur chewing-gum dans la viande, et ils l'y laissaient s'ils ne le trouvaient pas. Chaque personne devait se laver les mains à l'entrée de la zone de production, mais à peu près personne ne le faisait ». Pour l'instant, OSI Group n'a pas encore fait savoir s'il trouvait ces agissements « inacceptables ».
Ce n'est pas la fin des soucis pour Ronald: sur fond de tensions géopolitiques, l'agence russe de protection des consommateurs, le Rospotrebnadzor, vient de porter plainte contre McDonald's au motif que son information nutritionnelle n'y serait pas conforme à la législation russe. De plus, des traces d'Escherichia coli auraient été détectées dans un restaurant inspecté en mai. Décidément, les Happy Meals n'auront jamais aussi mal porté leur nom."
Et, quand les fonds vautours continuent à faire parler d'eux.
(source :
Les fonds vautours qui dépècent l'Argentine se jettent sur l'Espagne |
Fátima Fafatale Jérôme Duval | ||
Traduit par Jérôme Duval | ||
Edité par Fausto Giudice Фаусто Джудиче فاوستو جيوديشي |
Elliott Management a racheté des crédits défaillants à Bankia et Santander
Le fonds vautour NML Capital, qui avec d'autres, maintient l'Argentine au bord de la suspension de paiement, est déjà en train de dévorer la charogne sur le marché espagnol. Elliott Management, fonds opportuniste du multi-spéculateur US Paul Singer, a déjà récupéré un milliard d'euros en crédits défaillants de Bankia et 300 millions d'euros de Santander. Selon Auraree.com, il aurait payé à peine 50 millions pour les deux portefeuilles.
En mars 2013, la presse économique signalait qu'Elliott avait acquis 300 millions d'euros de crédits à la consommation en souffrance de Santander Consumer Finance, avec un rabais d'environ 96%. Le prix payé laisse songeur : près de 12 millions d'euros, selon la presse (Cinco Días).
En août de la même année 2013, Bankia, l'entité nationalisée qui a le plus profité du sauvetage bancaire espagnol, ce qui a considérablement élevé la dette publique, informait qu'elle avait vendu 3 portefeuilles de crédits défaillants pour un volume total de 1,35 milliards d'euros de dette. Dans l'information communiquée à l'organisme chargé de la supervision des marchés financiers, la CNMV(Comisión Nacional del Mercado de Valores), Bankia n'indiquait ni à qui les prêts avaient été vendus, ni à quel prix. Malgré un manque flagrant de transparence, la presse économique a donné des détails de l'opération, pour laquelle elle estime que les acheteurs peuvent avoir bénéficié d'un rabais de 95 % : parmi ceux-ci figureraient le vautour Cerberus (conseillé par José María Aznar Jr., fils de l'ex-président du gouvernement), Elliott et l'entreprise de recouvrement norvégienne Lindorff. Selon l'information publiée par Finanzas.com, « le portefeuille est estimé à 1,35 milliards, mais ils ont seulement payé 68 millions ». Bankia, que nous avons contactée pour confirmer ces données, nous a répondu : « Pour des raisons de confidentialité, nous ne donnons jamais les chiffres et les acheteurs ne veulent pas être identifiés. »
Quelques mois plus tard, on apprenait qu’Eliott achetait l'agence de gestion de dettes espagnole Gesif pour en faire sa base d'opérations sur le marché espagnol. Sa directrice générale, Melania Sebastián est l'ancienne responsable de Gestion de l'Information de la Banque Commerciale Caja Madrid. C'est ainsi qu'une ex-directrice de Caja Madrid sert d'intermédiaire entre Bankia déjà nationalisée et le fonds vautour Elliott.
"La patrie ou les vautours"
Que s'est-il passé en Argentine ?
Les fonds vautours se font de l'argent en spéculant sur les pays en difficultés, comme en Argentine durant la crise de 2001. Ils achètent alors des bons de la dette à bon prix avant d'en exiger, le moment opportun, le remboursement à un prix élevé par voie judiciaire, en y incluant des intérêts de retard et des frais de justice. Ils spéculent ainsi sur la dette publique, en compromettant les dépenses sociales pour la grande majorité de la population. Ces fonds vautours ont choisi le litige après avoir refusé de faire partie des 93% des créanciers qui avaient négocié avec le gouvernement argentin. Et maintenant le juge du district de New-York Thomas Griesa, donne la priorité au paiement aux fonds vautours. Ce qui ouvre la porte à une avalanche de demandes en justice qui pourrait déboucher sur le défaut de paiement de l'Argentine le 30 juillet.
Comme le dit bien Julio C. Gambina, « Personne ne sait avec exactitude à combien peut s'élever la demande des créanciers de la dette impayable »1, mais nous savons que le prix pour le peuple argentin peut être catastrophique.
Qui se cache derrière ces fonds vautours ?
NML Capital est une filiale du fonds d’investissement Elliott Management Corporation enregistré dans le paradis fiscal des îles Caïman. C'est l'empire du millionnaire Paul Singer, ferme défenseur du parti Républicain aux USA et proche de l'ultra-conservateur Tea Party.
Elliott spécule, entre autre, sur les dettes publiques, en violant toute souveraineté des États et de leurs peuples. Mais il spécule aussi sur les dettes privées et était entré en possession de 2 millions de dollars de celle de Lehman Brothers en 2011.
Singer a été le plus important bailleur de fonds pour la campagne présidentielle de George W. Bush en 2004, il finance aussi celle de Mitt Romney en 2012, et celle du maire de New-York, Rudolph Giulani. En tant que principal fournisseur de fonds pour le parti Républicain, il joue un rôle important dans la politique nord américaine et, vue la prédominance du pays au-delà des frontières, influe sur la politique internationale.
La fondation qui porte son nom, The Paul E.Singer Foundation, fait l'éloge de sa philanthropie, de son rôle dominant pour l’expansion du libre-échange, sa gestion en faveur de la sécurité nationale des Etats-Unis et pour le « futur d'Israël ». Singer est aussi le président de la boîte à idées conservatrice Manhattan Institute for Policy Research.
En ce qui concerne l'Argentine, NML est le principal bailleur de fonds de l'organisation American Task Force Argentina (AFTA), lobby qui influe sur la justice et le Congrès US afin de porter préjudice à l'Argentine. Pour se faire une idée du pouvoir de ces vautours, NML est même allé jusqu'à faire saisir le navire-école de la marine argentine, la frégate Libertad, au Ghana en octobre 2012, en exigeant de l'État argentin environ 370 millions de dollars pour des bons impayés.
"La frégate ne doit être ni livrée ni vendue"
Notes
1“Nadie sabe en rigor a cuánto puede llegar la demanda de acreedores de la impagable deuda”
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Et, dans la rubrique, "Il n'y a pas que des savants fous !"
(source : Histoire de la fin de la croissance)
vvvv
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Voici une invention anglaise qui risque de changer notre rapport aux voyages spatiaux... Je dirai même aux voyages tout court.
En effet, depuis plusieurs années, Roger Shawyer, un scientifique britannique se bat pour que la NASA et d'autres se penchent sur son EmDrive, un système de propulsion utilisant les micro-ondes et ne nécessitant aucun carburant... juste un peu d'électricité.
Malheureusement, il a souvent été boudé et moqué, car sur le plan théorique, son système de propulsion ne pouvait pas fonctionner car il ne respecte pas la loi sur la conservation de la quantité de mouvement. Cependant, en 2007, des scientifiques chinois ont validé ses théories... puis plus rien.
Et c'est l'année dernière que la NASA a effectué de sérieux tests sur un système similaire à l'EmDrive, validant ainsi une seconde fois le travail de Roger Shawyer. En théorie c'est donc impossible, mais en réalité, ce propulseur génère une force qui n'est pas attribuable à un phénomène électromagnétique classique, mais qui interragit avec le plasma du vide quantique.
Non, je n'ai pas dit de gros mot. Ce plasma est virtuel, car les particules qui le composent apparaissent et s'annulent avec leur équivalent en antiparticules quasi immédiatement, et c'est ce plasma qui permet de générer une poussée. Ce propulseur révolutionnaire utilise l'énergie présente dans le vide, et les premiers résultats sont encourageants. En l'état, cette technologie pourrait d'ores et déjà permettre à des sondes ou des satellites d'avoir assez de poussée pour corriger une orbite ou augmenter leur vitesse.
À terme, cette invention permettra de disposer d'une énergie verte, efficace et illimitée pour des voyages spatiaux plus ambitieux, et surtout plus rapides. Il serait possible de réduire par exemple le voyage Terre-Mars de plusieurs mois à quelques semaines, et servira aussi pourquoi pas à propulser nos avions, nos bateaux et nos voitures.
Malheureusement, pour le moment, l'Europe est à la traine sur le sujet.
Ce sont les Chinois et les Américains qui pour le moment sont les plus avancés et ont piqué les travaux de Roger. Comme il le fait d'ailleurs remarquer dans la conclusion de sa présentation que vous pouvez retrouver ici, l'Europe a une carte à jouer dès à présent sinon, elle sera rapidement dépassée par les technologies américaines et chinoises.
conclusion 650x120 Un propulseur à micro ondes théoriquement impossible validé en pratique par la NASA
Reste à savoir si les marchands de pétrole laisseront la voie libre au développement grand public de cette technologie qui semble être le futur du transport terrien et spatial.
A suivre donc....
vvvv
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