jeudi 7 août 2014

Salut à nos dirigeants européens qui nous prennent pour des colonies des Etats-Unis, traitées avec le même mépris. Continuez comme cela et nous dresseront des guillotines sur toutes les places des villes d'Europe.
(C'est une blague, de mauvais goût, mais, une blague quand même)

Alors, tout de suite, mes chers cinq lecteurs, une "ALERTE" sanitaire.
D'autant plus d'actualité que sur les étals de nos bouchers et dans les plats préparés des super-marchés nous retrouvons de la viande provenant de la Roumanie.

(source : 7sur7)

Par: rédaction
6/08/14 - 15h28  Source: Belga
© afp.
La Russie a décidé mercredi de limiter ses importations de viande de Roumanie et d'animaux d'Italie, de Bulgarie et de Grèce en raison de la découverte de maladies, dernier épisode de la "guerre commerciale" relancée par Moscou depuis l'imposition des sanctions occidentales.





"En raison du déclenchement d'une épidémie d'encéphalopathie spongiforme bovine (maladie de la vache folle, ndlr) chez les bovins de la région de Cluj en Roumanie, sont imposées à partir du 6 août 2014 des restrictions temporaires sur les exportations vers la Russie" de bovins vivants, de viande de boeuf et des autres produits qui en sont issus, a indiqué dans un communiqué Rosselkhoznadzor, l'agence sanitaire russe.

Rosselkhoznadzor a en outre décidé de restreindre ses importations d'animaux vivants de plusieurs régions d'Italie, de Bulgarie et de Grèce en raison de la découverte de cas de fièvre catarrhale, une maladie virale touchant principalement les moutons et les bovins.

Moscou est souvent accusé d'utiliser l'arme commerciale, notamment en invoquant des motifs sanitaires, comme moyen de pression diplomatique sur ses voisins.

Depuis le renforcement des sanctions occidentales à son encontre, la Russie interdit quasi quotidiennement l'importation de nouveaux produits alimentaires sur son territoire sous couvert de "protection des consommateurs".

Moscou avait déjà décrété vendredi un embargo sur les fruits et légumes en provenance de Pologne en raison de "violations répétées" de la validité des certificats, menaçant d'étendre ses interdictions à d'autres, voire à l'ensemble des pays membres de l'Union européenne. (...)"

Bon, passons, maintenant à l'espionnite américain (NSA), genre, "Big brother is watching you !".
Tous les citoyens du monde qui ne veulent pas être espionné, par leur webcam, notamment, devraient faire comme la Chine.

(source : le Quotidien du peuple)

Sécurité internet en Chine : dix produits d’Apple indésirables

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

07.08.2014 15h23

Ouverture du premier magasin Apple à Wuxi, la province du Jiangsu. 
Le gouvernement chinois aurait décidé d’exclure les iPad d’Apple et les ordinateurs portables MacBook de sa liste de produits pouvant être achetés avec de l'argent public en raison de problèmes de sécurité.
Dix produits Apple, notamment l'iPad, l’iPad Mini, MacBook Air et MacBook Pro n’apparaissent plus sur la liste définitive des marchés publics distribuée en juillet, selon certaines sources gouvernementales. Ces modèles étant bien présents dans l’énumération du mois de juin établie par la Commission nationale pour la réforme et le développement (NDRC) et le Ministère des Finances, ont indiqué les responsables.
Apple est la dernière société américaine de haute technologie à être banni des achats du gouvernement chinois au milieu de l'escalade des tensions liés aux problèmes de piratage et de cyber-espionnage.
L'agence d'approvisionnement chinoise a expliqué que plusieurs ministères avaient stoppé l'achat de logiciels antivirus de Symantec Corp et de Kaspersky Lab, alors que Microsoft a été évincé de commandes d'ordinateurs de rendement optimum.
La marque à la pomme doit à la Chine 16% de son chiffre d’affaires de 37,4 milliards de dollars au dernier trimestre, d’après les données compilées par Bloomberg. Les ventes des iPad dans le plus grand marché du monde a augmenté de 51% et celles des Mac de 39%, a déclaré en juillet le directeur général Tim Cook.
La surveillance accrue des entreprises étrangères fait suite aux révélations d'Edward Snowden l'année dernière, concernant un programme d'espionnage de l’Agence de sécurité nationale et l'annonce au mois de mai de mise en accusation de procureurs américains envers cinq officiers militaires chinois pour avoir volé des secrets d'entreprise.
La Chine a déclaré en mai que les sociétés de technologie opérant dans le pays pourraient être sanctionnées pour des violations potentielles de sécurité nationale, en représailles à l'acte d'accusation des USA sur le officiers chinois.
Kristin Huguet, porte-parole d'Apple, a refusé de s’exprimer sur cette affaire et le ministère des Finances et la NDRC n'étaient pas joignables pour un premier commentaire.
Le mesure s'applique à tous les ministères du gouvernement central et aux autorités locales, selon les responsables. La prochaine révision de la liste aura lieu en janvier 2015.
Microsoft avait fait part en mai de sa surprise de voir son système d'exploitation Windows 8 banni des achats du gouvernement. L'Agence de presse Xinhua avait indiqué qu’il s’agissait là d’une mesure pour assurer la sécurité des ordinateurs.
Les régulateurs chinois ont ouvert une enquête anti-monopole contre Microsoft en juillet, saisissant des ordinateurs et des documents des bureaux dans quatre villes du pays.
Microsoft, Google, Facebook Inc Apple ont été vivement critiqués par les médias d'Etat pour avoir coopéré avec un programme d'espionnage américain, et le site Qualcomm avait révélé en novembre 2013 une enquête liée à la loi anti-monopole.
Le mois dernier, la Télévision centrale de Chine (CCTV) a rapporté que les caractéristiques du logiciel de l'iPhone d'Apple pouvait entraîner la fuite de secrets d'Etat. Le géant américain ayant rejeté ces allégations."


Et, attention, les investisseurs chinois vont débarquer sur la vieille Europe.
Du coup, plus besoin des fonds vautours de Wall Street !

(source : idem)

NRDC : Les particuliers pourraient bientôt investir à l'étranger

( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )

07.08.2014 17h03

Les résidents chinois pourraient être autorisés à investir à l'étranger dès cette année. Cette évolution a été discrètement annoncée dans un long document publié mardi par la Commission nationale du développement et de la réforme, le planificateur de la nation devant examiner ultérieurement la poursuite de la politique de libéralisation économique.
«Les investisseurs individuels seront autorisés à effectuer des investissements à l'étranger», a expliqué la NRDC sans donner plus de précision sur la date d’application et sur le comment cela allait se produire. Mais étant donné que le document couvre l’agenda de travail clé pour le second semestre de 2014, cela laisse entendre qu'une politique spécifique pourrait être présentée plus tard cette année.
Le régulateur a également précisé vouloir adopter des règlements et méthodes de mise en œuvre pour les investissements à l'étranger par les entreprises et particuliers.
Cette mesure marquera une étape provisoire pour la Chine et facilitera les contrôles de capitaux sans commettre la pleine convertibilité du compte de capital, selon les experts. Les opérations de changes en Chine sont plafonnées à un montant maximum de yuans que les particuliers peuvent convertir chaque année pour un à équivalent de 50 000 dollars chaque année. Un règlement leur interdisant également de transférer des devises directement à l'étranger.
Les décideurs ont pris plusieurs mesures au cours des dernières années, y compris en permettant la libéralisation des mouvements de capitaux à l’intérieur et à l’extérieur du pays, cherchant à stimuler la mondialisation du yuan, qui n'est encore que partiellement convertible.
Début 2013, la banque centrale a lancé son deuxième programme d'investisseur qualifié de domestique individuel, aussi connu sous le nom de QDII2. Le premier projet ayant été lancé en 2006.
QDII2 a été conçu pour donner la possibilité à des particuliers d'investir à l’étranger dans les marchés de capitaux. Auparavant, les investisseurs nationaux ne pouvaient le faire que par l'achat de produits de gestion de patrimoine auprès des institutions financières. Certains prétendent que la dernière déclaration de la NDRC signifie que le programme QDII2 se développera plus vite.
Mais le fait de permettre l'investissement direct à l'étranger est plutôt un sujet sensible en Chine. Les inquiétudes concernant la sortie de capitaux nationaux, présentant des risques comme le blanchiment d'argent pour les fonctionnaires corrompus.
Début juillet, un projet pilote de la Banque de Chine laissant la liberté aux particuliers de transférer des yuans à l'étranger et de convertir l'argent en devises étrangères a été interrompu après la télévision d'Etat ait indiqué que ce programme pourrait être un canal pour le blanchiment d'argent.
Les partisans de l’opération, appelée youhuitong, se sont plaints que c'était en fait un programme d'essai approuvé par la banque centrale au cours des dernières années pour libéraliser les mouvements de capitaux et internationaliser le yuan. De nombreuses banques commerciales dans le Guangdong ont offert un service similaire, avait expliqué la Banque de Chine dans un communiqué.
Devant la prudence des décideurs politiques sur la question, lors de la dernière conférence de presse, les responsables de la NDRC ont refusé d’en dire plus concernant ces mesures.
De nombreux analystes estiment que l’objectif de la prudence excessive des fonctionnaires était d'empêcher le lancement de la politique d'investissement à l'étranger, la possibilité pour les citoyens ordinaires de diversifier leurs actifs.
«La mise en place de barrières, comme limite pour les investissements outre-mer, n'est pas nécessaire. Si les gens veulent vraiment investir à l'étranger, ils pourront contourner les règlements de toute façon», a souligné Xu Hongcai, un chercheur du Centre chinois pour les échanges économiques internationaux.
Ajoutant que l’assouplissement des contrôles pour l'investissement des entreprises et particuliers à l'étranger ne serait pas si difficile tant que les organismes de réglementation sont disposés à renoncer à leurs pouvoirs d'approbation.
Les spécialistes estiment que si les simples résidents sont autorisés à investir dans des actions outre-mer ou d'autres actifs, d'énormes opportunités d'affaires seront créés pour les courtiers et les intermédiaires professionnels pour fournir des services de négociation et de conseil"

Et, concernant les sanctions contre la Russie, tous les secteurs et tous les pays européens vont être touché.

(source : le Soir.be)

L’embargo russe pourrait coûter 500 millions d’euros à la Belgique (infographie)

Rédaction en ligne
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En 2013, Moscou avait importé pour 490 millions d’euros de biens agroalimentaires belges.

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L’annonce de l’embargo russe pourrait être lourde de conséquences pour les produits agroalimentaires belges. Si la Russie interrompt pendant un an l’importation de produits agroalimentaires belges, les pertes pourraient s’élever à plus ou moins 500 millions d’euros.
En 2013, Moscou avait importé pour plus de 490 millions d’euros de biens agroalimentaires belges dont 160 millions d’euros de fruits (principalement des poires, des pommes et des fraises). Retrouvez ci-dessous une infographie reprenant les relations commerciales entre la Belgique et Moscou."

Et, ce n'est pas tout pour la Belgique !

(source : Nature to share)

BELGIQUE: "L'embargo russe conduira inévitablement à des licenciements"


BELGIQUE: "L'embargo russe conduira inévitablement à des licenciements" | Histoire de la Fin de la Croissance | Scoop.it
L'embargo russe sur les produits agroalimentaires se fera particulièrement ressentir parmi les abattoirs belges. "C'est un coup très dur pour le secteur et cela conduira inévitablement à des licenciements", réagit l'administrateur délégué de la Febev, la Fédération belge de la viande, Thierry Smagghe. Il évalue à 500, sur 5.000, le nombre d'emplois excédentaires.

Un embargo russe était déjà en vigueur depuis le début de l'année sur la viande de porc, après la découverte de cas de fièvre porcine africaine en Lituanie. "Nous pensions arriver à une solution d'ici septembre mais désormais l'embargo est confirmé pour une longue période. Nos membres devront tirer leurs conclusions", déplore Thierry Smagghe, évoquant une "guerre économique".

Les chambres froides des abattoirs sont déjà remplies de viande qui ne peut être vendue. Au sein des entreprises fortement dépendantes de la Russie, une partie du personnel se trouve déjà en chômage technique, selon la Febev. "Plusieurs vont devoir fermer leurs portes. Jusqu'à présent, nous avons pu continuer à stocker mais si cela dure encore longtemps, cela n'aura plus de sens".

L'embargo russe est désormais étendu à la viande bovine mais la Febev estime qu'il est possible de trouver d'autres marchés à l'exportation. Les exportations de viande bovine vers la Russie sont néanmoins beaucoup moins importante que celles de viandes de porc.

Au 31 juillet 2014, la Febev avait estimé que l'embargo russe sur la viande de porc avait déjà coûté 40 millions d'euros au secteur belge sur les six derniers mois.

Baisse des prix

De son côté, le secteur laitier redoute que l'embargo n'entraîne les prix à la baisse sur le marché européen. Les entreprises risquent dès lors d'enregistrer des revenus moindres, ce qui pénalisera les éleveurs, craint-on à la Confédération belge de l'industrie laitière (CBL).
Les entreprises belges du secteur laitier ont exporté en 2013 pour quelque 20 millions d'euros à destination de la Fédération de Russie.

"Ce n'est pas notre principal marché. Les exportations se sont montées à 500 millions d'euros et la Russie n'était que notre quatrième marché à l'exportation", souligne Renaat Debergh, de la CBL. Si des d'emplois ne sont pas directement menacés, le secteur craint les conséquences indirectes de la décision russe.

Un tiers du formage et plus d'un quart du beurre européen est écoulé en Russie, souligne encore la CBL. Si les portes du marché russe se referment, une forte pression sur les prix pourrait s'en suivre alors que les quotas laitiers européens seront abolis au 1er avril 2015. "La Russie était un marché en croissance sur lequel nous fondions nos espoirs.

Nous espérons donc rapidement qu'une solution puisse être trouvée au conflit en Ukraine", conclut Renaat Debergh

Par exemple pour la Finlande, cela risque d'être très dur du fait que son économie a toujours été très imbriquée avec l'économie russe.

(source : Histoire de la fin de la croissance)

Sanctions contre la Russie : la Finlande veut demander une compensation à l'UE


Espoo (Finlande) - Le Premier ministre de la Finlande Alexander Stubb s'est dit prêt mercredi à demander une certaine forme de compensation à l'Union européenne si les sanctions frappant la Russie devaient causer du tort à l'économie finlandaise.

Il ne fait pas de doute que si les sanctions frappent la Finlande de manière disproportionnée, nous chercherons un soutien de nos partenaires européens, a déclaré M. Stubb à la presse à Espoo, dans la banlieue d'Helsinki.

Nous devons nous conformer au principe de solidarité économique. En pratique, cela signifie que les États membres les plus touchés par les sanctions recevront aussi une certaine forme de compensation, a-t-il ajouté.

M. Stubb n'a pas précisé quel type de contrepartie il souhaitait.

La Finlande, qui essaie de sortir de la récession dans laquelle était embourbée son économie en 2012 et 2013, voit déjà les effets de la baisse des échanges commerciaux avec son voisin russe depuis le début de la crise en Ukraine. Et pour le Premier ministre, la situation pourrait empirer.

J'ose dire qu'il y a un potentiel -et j'insiste sur le mot potentiel- de crise économique (...) Les répercussions indirectes des sanctions peuvent être importantes, a-t-il estimé.

Selon les calculs de la Banque de Finlande, une baisse de la croissance de trois points en Russie a une incidence de 0,5 point sur la croissance finlandaise.

Le ministère des Finances a présenté les grandes lignes de son projet de budget 2015, qui selon lui se concentre sur des mesures en faveur de la croissance telles que des allègements d'impôts pour les ménages aux revenus les moins élevés.

Le gouvernement a cependant reporté à jeudi la publication de ses projections économiques. Le ministre des Finances, Antti Rinne, a affirmé au cours d'une conférence de presse à Helsinki que l'incidence des sanctions [était] prise en compte.

La reprise est dans l'air, mais il y a beaucoup de risques qui projettent une ombre sur la conjoncture économique en Finlande. L'Ukraine est le principal, a-t-il souligné.

L'Union européenne applique depuis le 1er août des sanctions destinées à convaincre le président Vladimir Poutine de cesser de soutenir les séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine. Elles réduisent l'accès de la Russie aux marchés de capitaux européens, imposent un embargo sur les armes et le matériel militaire, et limitent les ventes à la Russie de technologies sensibles et d'équipements dans le secteur de l'énergie.


(©AFP / 06 août 2014 18h22)  

Mais, qu'en est-il des Etats-Unis ?

(source : la Voix de la Russie)

Hier, 23:04

Dobroliot achètera aux Etats-Unis 16 Boeing

Dobroliot achètera aux Etats-Unis 16 Boeing

Par La Voix de la Russie | La compagnie aérienne russe Dobroliot a signé avec Boeing un contrat de fourniture de 16 Boeing 737-800 en direct de l'usine. Le porte-parole de la compagnie low cost a déclaré que Dobroliot confirmait ainsi ses plans de développement stratégique. A l'heure actuelle la compagnie prend des mesures afin de reprendre son activité dans une perspective prévisible et mène des négociations avec des contractants en puissance.

Le 4 août Dobroliot s'est vu obligé de suspendre ses activités suite aux sanctions économiques de l'UE."

Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_08_06/Dobroliot-achetera-aux-Etats-Unis-16-Boeing-2192/
Croyez-vous, vraiment, mes chers lecteurs, que l'Europe doive subir les effets collatéraux d'un coup monté par les multinationales américaines ou des gens comme soros, sans compter blacwater de mosanto et certaines agences américaines à travers leurs ONG ?
Pour l'Europe, le marché russe est un marché porteur, alors que celui des States est saturé.
Les territoires contestés ont toujours été russe et ce n'est depuis 1954 qu'ils sont passés ukrainiens du fait que le secrétaire général de l'Union Soviétique, Nikita Khrouchtchev était ukrainien.
Résultat, une guerre civile qui n'aurait jamais dû avoir lieu.
Mais, question : "Est-ce que Boieng va annuler cette vente de 16 boeing ?
Deuxième question : "Est-ce que la France va annuler la vente de ces portes hélicoptères à la Russie ?
Réponse, non, car, elle devrait payer des indemnités et mettrait en péril le chantier naval qui les a construit et que le budget de la marine française ne lui permet pas de les racheter.
Mais, passons.
Retrouvons-nous plutôt sur le front, "Mosanto nous empoisonne la vie !"

(source : idem)


ARGENTINE: Monsanto se dit prêt à discuter avec les environnementalistes


ARGENTINE: Monsanto se dit prêt à discuter avec les environnementalistes | Nature to Share | Scoop.it
Le chantier de construction d'une des plus grandes usines Monsanto de traitement du maïs a été retardé par la mobilisation d'activistes environnementaux. Les protestations ont immobilisé le chantier depuis le mois de septembre 2013. L'usine est située près de la ville de Cordoba, sur la commune de Malvinas Argentinas : les autorités en charge de l'environnement de la province de Cordoba ont refusé le rapport de Monsanto présentant une absence de risque pour la localité, jugé incomplet.

Le vice-président de l'entreprise, Pablo Vaquero, affirme qu'il n'existe aucun risque pour l'environnement mais doit faire face à la réticence des organisations environnementales ainsi qu'à des organismes de sensibilité politique de gauche, impliqués dans le conflit. Le gouverneur de la Province, José Manuel de la Sota, laisse le conflit aux mains du Ministère de l'Environnement de la Province.

Alors que les habitants et activistes demandent expressément le refus du projet, les entrepreneurs locaux (la chambre de commerce, l'Union des industries), eux, s'expriment en faveur de l'implantation de l'usine de la firme."

Mais, voyons ce que en Californie, les citoyens mettent en place avant que mosanto leur tombe dessus à bras raccourci.
Cela ne s'appelle même pas "RESISTANCE", cela s'appelle initiative locale.

(source : idem)


CALIFORNIE: « Gazon contre dollars », un programme original pour lutter contre la sécheresse


CALIFORNIE: « Gazon contre dollars », un programme original pour lutter contre la sécheresse | Nature to Share | Scoop.it
Des idées ingénieuses ont été mises en place en Californie afin de préserver l’« or bleu »

C’est le cas du programme « gazon contre dollars » qui vise à restreindre la consommation en eau des jardins.

Les pelouses sont devenues l’ennemi public numéro un en Californie. Pour pallier l’extrême sécheresse qui sévit dans l’État, les programmes « gazon contre dollars » se multiplient. Le concept du programme est simple : de l’argent contre un aménagement de son jardin plus économe en eau.

DES MESURES D’URGENCE CONTRE LA SÉCHERESSE

La Californie est victime d’une importante sécheresse depuis trois ans. Les nappes phréatiques souterraines et les réservoirs en sont affectés, ce qui menace l’approvisionnement en eau de l’État.

Pour lutter contre les risques de pénurie d’eau, la municipalité de Los Angeles a décidé d’offrir 3 dollars (2,25 €) par tiers de mètre carré remplacé par des galets, paillis, cactus, plantes grasses ou toutes autres plantes méditerranéennes économes en eau.

Ce type de programme se développe un peu partout en Californie où, il y a deux semaines, Jerry Brown, le gouverneur de l’État, a interdit d’arroser les pelouses plus de deux fois par semaine. De plus, les systèmes d’arrosage automatique débordant sur les trottoirs ou les allées sont proscrits.

« Les gens oublient que nous habitons dans le désert. Pourquoi est-ce qu’ils veulent tant que ça ressemble aux grandes plaines du Midwest ? », résume Larry Hall, un musicien de jazz occupé à arracher la pelouse devant sa maison de Los Angeles afin d’y faire des aménagements plus écologiques.

« GAZON CONTRE DOLLARS »

« Dans les années 1950, il y avait l’image traditionnelle de la maison style ranch avec la pelouse et tout… (…) Je pense qu’il faut juste qu’on passe à autre chose », a confié à l’AFP Anne Philips, paysagiste spécialisée dans les jardins écolos, et embauchée par Larry Hall et son épouse Barbara.

Des plantes succulentes, des aromates, de la lavande, et bien d’autres encore forment ces jardins « écolo ». Jardins qui n’ont « pas besoin d’être ennuyeux ou laids, ni de piquer », comme l’explique Anne Philips.
Des systèmes sont posés directement au pied des plantes pour les arroser avec précision et sans gaspillage.

SÉPARER LA FACTURE D’EAU ENTRE « MAISON » ET « JARDIN »

Toutefois, le programme ne fait pas que des heureux. Certains Californiens pointent du doigt les mesures d’urgence, appliquées à géométrie variable. Ainsi, la presse locale révèle que l’arrosage des golfs n’est pas interdit alors que les agriculteurs sont, eux, soumis à des restrictions.

Chercheuse et professeur de l’Institut d’études environnementales de l’université UCLA, Stéphanie Pincetl, affirme qu’il faudrait « deux compteurs d’eau ». Un pour la consommation intérieure et l’autre pour la consommation extérieure (celle des jardins). « Avec des factures de ce type, les gens comprendraient que 60 % au moins de l’eau facturée vient de celle utilisée dans les jardins », argumente-t-elle.

DES PROGRAMMES SIMILAIRES AILLEURS DANS LE MONDE

À Las Vegas, ville bâtie au beau milieu du désert du Nevada, il existe déjà une « police de l’eau ». Ses cibles : les fuites et les gaspillages d’eau dans la rue. Avec environ 10 cm de pluies par an, la ville est particulièrement touchée par la sécheresse.

En France, et notamment dans le sud du pays, des mesures sont également mises en place pour lutter contre la sécheresse. Les mesures sont progressives. Elles peuvent par exemple passer par une sensibilisation, puis une limitation et une interdiction de l’arrosage des pelouses, du remplissage des piscines privées et du lavage des voitures.

Kévin Saigault (avec A

Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.

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