(blog à finir et à corriger)
Et, quand l'exemple vient de Chine.
(source : le Quotidien du Peuple)
Bon, on peut rêver que cela arrive aux dirigeants des banques privés, mais, ce n'est pas avec le président actuel en France que cela risque d'arriver, vu qu'il fait comme Obama en s'entourant de conseiller venant de la finance et que son premier ministre est un type qui fréquente les réunions bilderberg.
Alors, pour nous, les simples citoyens, il ne fera rien, à part nous promettre de décrocher la lune.
Parfois, je me demande, si, il ne serait pas sage et mettre en place un mécanisme de destitution d'un président par les citoyens à partir du moment où il n'applique pas le programme pour lequel ils ont voté pour lui. Le déclenchement d'une telle procédure.
Mais, arrêtons de rêver et revenons à Fukushima.
(source : Nature to share)
La population étrangère encore méfiante
Bon, devant cette nouvelle aberrante, je me demande, comment savoir si un grain de riz de Fukushima ne va pas se retrouver dans mon assiette ?
Et, toujours pour parler du riz, j'espère que la Chine ne va pas basculer côté riz ogm, car même, si, la production s'améliore dans un court terme très court, la suite risque de les décevoir. Sauf, qu'ils auront bousiller leurs rizières à long terme.
Et, quand l'exemple vient de Chine.
(source : le Quotidien du Peuple)
Réductions de salaire en vue pour les patrons des grandes banques publiques
( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )
29.08.2014 17h06
Le China Business News, basé à Shanghai, a annoncé jeudi que les grandes banques chinoises, celles qu’on appelle aussi parfois les « big five » pourraient bien être les premières cibles de la réforme encouragée par le gouvernement et visant à réduire les salaires des cadres supérieurs des entreprises publiques.
Selon toute vraisemblance, a confié au journal un initié du secteur bancaire, les cadres supérieurs de la Banque industrielle et commerciale de Chine (China Industrial and Commercial Bank), de la Banque de la Construction de Chine (China Construction Bank), de la Banque Agricole de Chine (China Agricultural Bank), la Banque de Chine (Bank of China) et la Banque populaire de Chine (People's Bank of China) seront ceux qui devront faire face en premier aux réductions de salaire touchant les dirigeants des entreprises publiques du pays.
Zhang Yun, président de la Banque agricole de Chine a été le premier parmi les dirigeants des cinq grandes banques d'État à défendre ouvertement la réforme. La banque « soutiendra fermement et appliquera strictement la décision », a déclaré M. Zhang lors de la conférence de presse sur les résultats semestriels de la banque, qui a eu lieu mardi.
D’après l’initié cité plus haut, la future réforme aurait suscité une panique grandissante chez les hauts dirigeants et cadres moyens des cinq grandes banques.
Des rumeurs ont laissé entendre que la Banque de la Construction de Chine préparait un plan de réduction des salaires visant à diminuer les rémunérations des présidents de 50%, des chefs de service de 30%, et du personnel de 10%, mais cela n'a pas été confirmé.
Toutefois, selon des articles de presse, les baisses pourraient atteindre pas moins de 70%, et un plafond de 600 000 Yuans (100 000 Dollars US) pourrait être imposé aux salaires annuels des cadres.
De son côté, un cadre de niveau intermédiaire d'une banque d'Etat s’est plaint à des journalistes que leurs salaires sont inférieurs à ceux rencontrés dans les banques commerciales du pays à investissements participatifs conjoints et celles à capitaux étrangers.
Les statistiques montrent qu'en 2013, la Ping An Bank est arrivée en tête de liste pour les salaires annuels des cadres supérieurs, suivie par la Mingsheng Bank et la China Merchants Bank.
Conformément à la réglementation mise par la Commission de Régulation Bancaire de Chine, la part de salaire des cadres dirigeants évaluée à la performance devra être maintenue en dessous du triple de leur salaire de base, et le paiement d'au moins 40% de cette fraction devra être retardé de plus de trois ans.
Un dirigeant de niveau intermédiaire craint que les réductions de salaire prévues ne réduisent la capacité des banques à attirer les talents.
Les experts impliqués dans l'élaboration du plan de baisse des rémunérations estiment pour leur part que le fait que les cadres supérieurs des entreprises publiques reçoivent un revenu annuel de plusieurs millions de yuans, tout en profitant des privilèges des hauts fonctionnaires, fait depuis longtemps l’objet de controverses.
La semaine dernière, le Président Xi Jinping a déclaré que les salaires déraisonnablement élevés des dirigeants des principales entreprises publiques devaient être ajustés, et les a exhortés à avoir un plus grand sens des responsabilités et le sens du dévouement."
Bon, on peut rêver que cela arrive aux dirigeants des banques privés, mais, ce n'est pas avec le président actuel en France que cela risque d'arriver, vu qu'il fait comme Obama en s'entourant de conseiller venant de la finance et que son premier ministre est un type qui fréquente les réunions bilderberg.
Alors, pour nous, les simples citoyens, il ne fera rien, à part nous promettre de décrocher la lune.
Parfois, je me demande, si, il ne serait pas sage et mettre en place un mécanisme de destitution d'un président par les citoyens à partir du moment où il n'applique pas le programme pour lequel ils ont voté pour lui. Le déclenchement d'une telle procédure.
Mais, arrêtons de rêver et revenons à Fukushima.
(source : Nature to share)
Trois ans après la catastrophe nucléaire de Fukushima, au Japon, le riz de cette région peut à nouveau se trouver dans les assiettes des habitants de Singapour. La Fédération japonaise des coopératives agricoles a annoncé qu'elle recommençait à exporter en août du riz de cette préfecture saccagée par le désastre atomique provoqué par un gigantesque tsunami en 2011.
La première destination de ce riz, soumis à des contrôles particuliers sur la radioactivité, est Singapour, qui a montré sa "compréhension" vis-à-vis des mesures prises pour éviter la distribution de produits contaminés. Des sacs de 5 kg de riz de type Koshihikari (un des plus réputés du Japon) y seront vendus dès le 22 août. Une campagne de promotion aura lieu sur place pour expliquer que ce riz est sûr et qu'on peut le consommer en toute tranquillité.
La population étrangère encore méfiante
Le riz de Fukushima, contrôlé, est déjà vendu dans l'archipel. Mais les pays étrangers, comme la Chine et la Corée du Sud, qui importaient ce type d'aliment de la province agricole et rizicole de Fukushima avant la catastrophe atomique, ont stoppé leurs achats par précaution. Pour le moment, Singapour est la seule destination qui a accepté de recevoir à nouveau cette production.
Plusieurs pays imposent encore de fortes restrictions sur les aliments de la région de Fukushima. Des mesures infondées, pour les autorités nippones. Le gouvernement, la Fédération des coopératives, les collectivités locales et diverses organisations s'escriment à tenter de prouver que les produits de Fukushima mis sur le marché sont sûrs, dans le strict respect de la limite sévère de césium radioactif fixée à moins de 100 becquerels par kilogramme.
Toutefois, la population étrangère et une partie des Japonais restent méfiants et réticents à acheter les fraises, pêches, concombres, tomates ou autres produits de cette région."
Bon, devant cette nouvelle aberrante, je me demande, comment savoir si un grain de riz de Fukushima ne va pas se retrouver dans mon assiette ?
Et, toujours pour parler du riz, j'espère que la Chine ne va pas basculer côté riz ogm, car même, si, la production s'améliore dans un court terme très court, la suite risque de les décevoir. Sauf, qu'ils auront bousiller leurs rizières à long terme.
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