(blog à finir et à corriger)
Alors, pour ce matin, une bonne nouvelle, mes chers cinq lecteurs, au sujet du traité transatlantique TAFTA.
Ce qui ne nous fait pas oublier que Obama continue les négociations sans l'aval du Congrès américain. Il nous balance la démocratie partout ailleurs et chez lui, il ne respecte pas les règles de la démocratie.
(source : Marianne)
Et, une nouvelle d'Irak.
(source : L'observatoire de la christianophobie.fr)
- See more at: http://www.christianophobie.fr/document/irak-letat-islamique-en-grande-difficulte#sthash.uS7nIN8e.dpuf
Bon, passons aux conseils concernant notre santé........pour changer.
(source : Améliore ta santé)
nnnnn
Alors, pour ce matin, une bonne nouvelle, mes chers cinq lecteurs, au sujet du traité transatlantique TAFTA.
Ce qui ne nous fait pas oublier que Obama continue les négociations sans l'aval du Congrès américain. Il nous balance la démocratie partout ailleurs et chez lui, il ne respecte pas les règles de la démocratie.
(source : Marianne)
Les allemands vont-ils enterrer le traité transatlantique ?
Mercredi 30 Juillet 2014 à 05:00 | Lu 34861 commentaire(s)
Journaliste à Marianne chargé de l'animation de la communauté des Mariannautes En savoir plus sur cet auteur
L’Allemagne met un frein aux négociations concernant le traité de libre-échange entre le Canada et l’Europe. Faut-il voir là les prémices d’une opposition politique au traité transatlantique ?
« En Europe, l'accord sera très bien reçu parce que nous avons très bien négocié »,fanfaronnait en octobre dernier l’ancien président de la Commission européenne José Manuel Barroso, au sujet de l’accord de libre-échange entre le Canada et l’Europe (CETA). Aujourd’hui pourtant, l’accord n'a jamais été aussi loin d'être ratifié.
Selon le quotidien munichois de centre-gauche Süddeutsche Zeitung, qui rapporte les propos de diplomates européens, l’Allemagne ne serait pas prête à signer l’accord de libre-échange avec le Canada « tel qu’il est négocié actuellement ». Le gouvernement d’Angela Merkel est fermement opposé aux clauses de protection des investisseurs, qu’il considère comme un moyen pour les entreprises de « contourner les lois. »
Ce traité de libre-échange a pour particularité d’être considéré par plusieurs diplomates comme un test au futur traité transatlantique, qui a pour ambition, lui, de créer une vaste zone de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis. C’est ce lien de parenté qui explique la présence dans les deux traités de chapitres similaires concernant la protection des investisseurs privés et qui prévoit notamment le création de tribunaux d’arbitrage permettant à des entreprises de poursuivre en justice des Etats.
A première vue, ce sursaut du gouvernement Merkel peut surprendre, puisque ce dernier s’était montré largement favorable jusque là à la mise en place d’accords bilatéraux : « Nous voulons cet accord de libre échange et nous voulons aussi démarrer maintenant les négociations », déclarait en juillet le porte-parole d’Angela Merkel en faisant référence au TTIP. Aujourd’hui pourtant, la situation semble avoir évolué. En fait, ce qui a changé entre temps, c’est l’ampleur de la mobilisation contre le traité transatlantique en Allemagne.
Durant l’été 2013, une coalition s’est formée contre ce projet de zone de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis, regroupant une cinquantaine d’organisations (Attac, groupes anti-OGM, agriculteurs…) La même année, le sujet s’est invité dans les débats télévisés allemands lorsque Berlin a été poursuivi en justice par le groupe énergétique suédois Vattefall pour sa décision de sortir du nucléaire, donnant ainsi un aperçu très concret des dérives induites par la privatisation de la justice.
Juncker opposé à la protection des investisseurs
Autre élément important, la consultation publique de Bruxelles sur le sujet de la protection des investisseurs (ISDS) dans les négociations du traité transatlantique, qui a eu lieu du 27 mars au 13 juillet. Si la commission se laisse jusqu’à novembre pour dépouiller les résultats (en attendant, les négociations sur ce volet sont suspendues), on peut imaginer des premiers retours suffisamment négatifs pour alerter les politiques sur l’image désastreuse de ces négociations opaques (CETA, TTIP, TISA) auprès des opinions publiques, de mieux en mieux informées sur ces sujets.
Enfin, la nomination de Jean-Claude Junker en tant que président de la commission européenne pourrait avoir radicalement changé la donne, car celui-ci semble être opposé à l’inclusion de l’ISDS dans le mandat de négociation du traité transatlantique :« Je n’accepterai pas que la juridiction des tribunaux des États membres de l’UE soit limitée par des régimes spéciaux applicables aux litiges entre investisseurs. L’État de droit et le principe de l’égalité devant la loi doivent s’appliquer aussi dans ce contexte », affirmait le « candidat de Merkel » dans son programme.
Tous ces paramètres ont probablement joué dans la décision du gouvernement allemand de refuser le CETA « tel qu’il est négocié actuellement ». Car Il ne faudrait pas enterrer le CETA -et encore moins le TTIP- pour autant, les négociations étant toujours ouvertes. De plus, cette victoire sur les lobbies financiers ne doit pas occulter les autres points de crispations de ces traités: les normes sanitaires, alimentaires et environnementales, la politique numérique ou encore les droits d’auteur. Le porte-parole du ministère de l’Economie allemand a par ailleurs affirmé que les propos rapportés dans le journal Süddeutsche Zeitung « ne reflètent pas la position du gouvernement ».
Selon le quotidien munichois de centre-gauche Süddeutsche Zeitung, qui rapporte les propos de diplomates européens, l’Allemagne ne serait pas prête à signer l’accord de libre-échange avec le Canada « tel qu’il est négocié actuellement ». Le gouvernement d’Angela Merkel est fermement opposé aux clauses de protection des investisseurs, qu’il considère comme un moyen pour les entreprises de « contourner les lois. »
Ce traité de libre-échange a pour particularité d’être considéré par plusieurs diplomates comme un test au futur traité transatlantique, qui a pour ambition, lui, de créer une vaste zone de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis. C’est ce lien de parenté qui explique la présence dans les deux traités de chapitres similaires concernant la protection des investisseurs privés et qui prévoit notamment le création de tribunaux d’arbitrage permettant à des entreprises de poursuivre en justice des Etats.
A première vue, ce sursaut du gouvernement Merkel peut surprendre, puisque ce dernier s’était montré largement favorable jusque là à la mise en place d’accords bilatéraux : « Nous voulons cet accord de libre échange et nous voulons aussi démarrer maintenant les négociations », déclarait en juillet le porte-parole d’Angela Merkel en faisant référence au TTIP. Aujourd’hui pourtant, la situation semble avoir évolué. En fait, ce qui a changé entre temps, c’est l’ampleur de la mobilisation contre le traité transatlantique en Allemagne.
Durant l’été 2013, une coalition s’est formée contre ce projet de zone de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis, regroupant une cinquantaine d’organisations (Attac, groupes anti-OGM, agriculteurs…) La même année, le sujet s’est invité dans les débats télévisés allemands lorsque Berlin a été poursuivi en justice par le groupe énergétique suédois Vattefall pour sa décision de sortir du nucléaire, donnant ainsi un aperçu très concret des dérives induites par la privatisation de la justice.
Juncker opposé à la protection des investisseurs
Autre élément important, la consultation publique de Bruxelles sur le sujet de la protection des investisseurs (ISDS) dans les négociations du traité transatlantique, qui a eu lieu du 27 mars au 13 juillet. Si la commission se laisse jusqu’à novembre pour dépouiller les résultats (en attendant, les négociations sur ce volet sont suspendues), on peut imaginer des premiers retours suffisamment négatifs pour alerter les politiques sur l’image désastreuse de ces négociations opaques (CETA, TTIP, TISA) auprès des opinions publiques, de mieux en mieux informées sur ces sujets.
Enfin, la nomination de Jean-Claude Junker en tant que président de la commission européenne pourrait avoir radicalement changé la donne, car celui-ci semble être opposé à l’inclusion de l’ISDS dans le mandat de négociation du traité transatlantique :« Je n’accepterai pas que la juridiction des tribunaux des États membres de l’UE soit limitée par des régimes spéciaux applicables aux litiges entre investisseurs. L’État de droit et le principe de l’égalité devant la loi doivent s’appliquer aussi dans ce contexte », affirmait le « candidat de Merkel » dans son programme.
Tous ces paramètres ont probablement joué dans la décision du gouvernement allemand de refuser le CETA « tel qu’il est négocié actuellement ». Car Il ne faudrait pas enterrer le CETA -et encore moins le TTIP- pour autant, les négociations étant toujours ouvertes. De plus, cette victoire sur les lobbies financiers ne doit pas occulter les autres points de crispations de ces traités: les normes sanitaires, alimentaires et environnementales, la politique numérique ou encore les droits d’auteur. Le porte-parole du ministère de l’Economie allemand a par ailleurs affirmé que les propos rapportés dans le journal Süddeutsche Zeitung « ne reflètent pas la position du gouvernement ».
Et, une nouvelle d'Irak.
(source : L'observatoire de la christianophobie.fr)
Irak : l’État Islamique en grande difficulté ?
Le 5 08 2014 Avec 7 Commentaires
Les informations que nous recevons d’Irak sont parfois contradictoires… Ce matin je vous exprimais mon inquiétude sur les chrétiens d’Irak devant l’avancée des troupes de l’État Islamique vers les villes et villages chrétiens de la plaine de Ninive. Et voici que je reçois d’un correspondant (merci F. S. !) des informations exclusives en provenance du Père Anis Hanna, un dominicain irakien en résidence en France mais qui se trouve, en ce moment même, à Qaraqosh, une ville chrétienne où se sont réfugiés des milliers et des milliers de chrétiens ayant fui Mossoul. Il semblerait, à lire l’analyse de cette nuit du Père Hanna, que les islamistes de l’État Islamique auraient fui Mossoul et que leur avancée vers le nord pourrait n’être que le signe d’un repli stratégique. Que penser ? En tout cas, voici ce que dit le Père Hanna, encore une fois sur place…
Voici mon analyse des événements qui se déroulent en ce moment dans le département [province] de Ninive en Irak, nuit du 4 au 5 août 2014. Actuellement, je me trouve à Qaraqosh. Les djihadistes de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont pris la fuite ! Ils ont fuit Mossoul via Rabiah et la frontière syro-irakienne. À l’heure où j’écris, mardi 5 août 2014 à 3h 13, l’artillerie lourde kurde a [tiré] d’une dizaine [d’obus] sur les alentours de Mossoul pour soutenir l’avancée kurde sur la ville. J’ai été réveillé à 2 h 25 par la déflagration [du premier obus]. Du côté des djihadistes de l’État Islamique, on ne remarque aucune réponse, aucune réaction. Ils sont inexistants. Ce qui confirme l’hypothèse de la fuite collective. D’ici très peu, Mossoul sera libérée de tous les djihadistes de l’État Islamique. C’est ce qu’on nous a dit ici à Qaraqosh. Car, il y a quelques jours, Massoud Barzani, président du Kurdistan, avait promis de rendre leurs maisons aux familles chrétiennes expulsées de Mossoul, et de fêter leur retour chez elles c’est-à-dire à Mossoul. Pour cette libération de Mossoul, quatre factions entrent réellement en opération :
1. l’armée kurde ;
2. l’aviation de al-Maliki [Premier Ministre irakien] ;
3. le soutien géo-militaire américain ;
4. l’arrivée d’un grand nombre de combattants du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan) de Turquie.
Les 4 factions travaillent ensemble dans le même but de libérer Mossoul en écrasant totalement l’État Islamique. On peut comprendre alors que l’avancée des djihadistes sur Rabiah, Sinjar, Wanh, etc., n’était qu’un plan : pour les djihadistes c’était s’ouvrir un passage pour leur fuite, tandis que pour les Kurdes, c’est de voir Mossoul vide des djihadistes. Aujourd’hui, le 5 août, nous assistons à la défaite presque totale de l’État Islamique. Il y a quelques jours, les quelques nouvelles lois islamiques appliquées de force sur la population de Mossoul ont causé la révolte de ses habitants contre les djihadistes de l’État Islamique. Les Naqshbandiyya [confrérie soufie] ont pris des mesures courageuses pour tuer les djihadistes dans la ville de Mossoul. Cette révolte de l’intérieur fut largement soutenue par les frappes aériennes de l’aviation de l’État central de Bagdad. Mais qui dit libération de Mossoul, essentiellement par les Kurdes, dit aussi la prise de celle-ci par ces troupes kurdes. Et cela sera la réalisation d’un rêve tellement cher aux Kurdes de reprendre le côté est de la ville, la deuxième de l’Irak. Massoud Barzani, président du Kurdistan, fait croire que le Tigre tracera les frontières ouest du Kurdistan. Selon cette frontière, la ville de Mossoul sera divisée par le Tigre en deux, la partie est pour les Kurdes et la partie ouest pour l’Irak. Cette acquisition kurde, sera comptée comme un grand pas pour déclarer officiellement l’indépendance du Kurdistan et la déclaration de l’État kurde sur un territoire assez large et vaste contenant des ressources naturelles presque inépuisables.
Bon, passons aux conseils concernant notre santé........pour changer.
(source : Améliore ta santé)
Les 6 aliments qui produisent de la cellulite
Pour combattre la cellulite il faut manger équilibré, boire de l’eau, faire du sport, appliquer sur son corps des crèmes anticellulite, etc. Il existe de nombreux conseils pour la combattre. Mais le plus important sont les aliments qui nous provoquent cette cellulite. Il faut les connaître pour les éviter.
Dans cet article, nous vous expliquerons quels sont les aliments qu’il faut éliminer de votre régime alimentaire pour éviter l’apparition de cellulite ou même pour la réduire.
Le sucre blanc
Le sucre blanc ne nous apporte aucun nutriment. De nos jours, de nombreux nutritionnistes le considèrent même comme un poison. Il contient ce que l’on appelle des calories vides, ces dernières contribuent à l’apparition de cellulite et de surpoids. Le sucre blanc est aussi un facteur de risque pour développer des diabètes de type 2, il peut également endommager vos dents. Il faut aussi savoir que le sucre blanc rend notre sang plus acide et nous déminéralise. Il nous quitte certains minéraux tels que le calcium, c’est pour cela que nos dents et nos os sont de plus en plus faibles.
Nous vous présentons donc quelques alternatives au sucre blanc, qui sont bien plus saines :
- Le sucre roux
- La panela
- Le miel d’abeille
- Le sirop de canne à sucre
- Le sirop d’érable
- Le sirop d’agave
- La mélasse de céréales (de riz, d’orge, etc.)
- Les sirops naturels de fruits (de pomme, de poire, etc.)
Sel raffiné ou sel de table
Il est très important d’éviter particulièrement le sel de table dans notre régime alimentaire. En effet, il s’agit d’un sel raffiné qui contient uniquement du chlorure de sodium. Il provoque la rétention d’eau et la mauvaise circulation sanguine, ce qui engendre donc forcément de la cellulite. C’est bien plus sain de choisir le sel marin, ou bien le sel d’Himalaya. Ces deux derniers sont riches en minéraux et oligoéléments, notre organisme en a besoin en petites quantités.
Il existe une autre alternative qui ne provoque pas de rétention d’eau, en plus de nous aider à éliminer l’excès de liquides. Il s’agit de l’utilisation de l’eau de mer dans la cuisine. On peut en acheter chez un herboristes ou dans un magasin de produits diététiques. On en trouve même parfois dans les supermarchés ! Vous pouvez utiliser cette eau de mer dans les ragoûts, les soupes, et même à chaque fois qu’on veut faire bouillir des pâtes ou du riz.
Les aliments frits
Les aliments frits ont une teneur élevée en graisses. En plus, dans de nombreux cas, ils sont de mauvaise qualité. Lorsque l’on réchauffe les graisses à des températures trop élevées, elles génèrent des substances toxiques. Notre organisme a alors tendance à les accumuler dans des zones qui sont loin des organes vitaux, pour éviter les risques. Nous vous recommandons donc de cuisiner à la plancha, ou bien à la vapeur ou au four, ou bien alors des aliments sautés ou au wok, etc.
Les boissons alcoolisées
Les boissons alcoolisées ne produisent pas directement de cellulite. En revanche, elles provoquent une constriction des vaisseaux sanguins dans la peau, ce qui aggrave la situation. En plus, ce sont des « calories vides », qui font grossir mais n’apportent aucun nutriment! En effet, dès qu’elles se métabolisent, ces calories se transforment en sucre. Les boissons alcoolisées favorisent aussi la rétention d’eau et l’augmentation des dépôts de graisses dans certaines zones (cuisses, bras, abdomen et fesses). Au lieu de boire des boissons alcoolisées, nous pouvons prendre des jus naturels, des infusions, ou alors simplement de l’eau.
Les aliments raffinés
Les aliments à base de farine blanche raffinée ne sont pas faciles à digérer. Ils provoquent une accumulation de toxines dans notre corps, cela peut ensuite se transformer en de la cellulite, ou bien en impuretés de la peau, etc. De plus, ces aliments provoquent la constipation. C’est pour cela que nous vous recommandons d’éviter le pain et les farines blanches. À la place, vous pouvez opter pour tout ce qui est complet : le riz, les pâtes, etc. Même lorsque nous cuisinons à la maison, nous pouvons utiliser de la farine de blé entier.
D’un autre côté, même si l’on consomme des hydrates de carbones entiers, il est important de ne pas en abuser. En effet, ils nous apportent de l’énergie. Et si nous ne l’épuisons pas, elle se transformera en réserve. L’idéal est donc de manger quotidiennement des quantités équilibrées de céréales entières, fruits, légumes et protéines (d’origine animale et/ou végétale)
La mal-bouffe
La mal-bouffe en général (pâtisserie, hamburgers, frites, sandwichs, sauces, plats pré-cuisinés, etc) réunit la majorité des ingrédients nocifs pour la cellulite. Elle contient de la farine raffinée, des sucres, du sel raffiné, et des graisses transformées, qui sont extrêmement nocifs pour notre organisme. Il a été démontré que ces aliments augmentent le risque de souffrir de maladies coronariennes. Le corps ne reçoit pas de nutriments de ces composants. Mais ce n’est pas tout, il envoie tout directement vers les réserves, c’est à dire,accumulation de graisses et de cellulite.
En plus, ces repas ne vous rassasie pas. Vous avez besoin de grande quantité pour ne plus avoir faim. Cette mal-bouffe cause aussi des effets addictifs à cause de la quantité de sel, de sucre, et de saveurs artificielles qu’elle contient. C’est pour cela que l’on mange en plus grande quantité. Très souvent, cela nous conduit tout droit vers le surpoids, ce qui facilite l’apparition de cellulite.
Photographies reproduites avec l’aimable autorisation de judy, foilman et SteFou!
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