lundi 25 août 2014

(blog à finir et à corriger)

Sérieux, mes cinq chers lecteurs, y'en a marre des salopards qui au nom de l'Islam ou d'autres d'ailleurs se transforment en assassins sanguinaires.
Qui pendent des enfants, violent les femmes et les éventrent au nom d'un Dieu quelqu'il soit.
Et, de l'autre côté, ces soi-disants démocrates qui pondent des lois liberticides pour nous protéger de ces gens-là, pour mieux nous opprimer pour mieux servir la finance et les multinationales.
C'est ce qui va encore nous arriver parce que le Califat d'Irak et du Levant va renvoyer "chez eux" ces gens, femmes ou hommes, devenus des assassins sanguinaires pour nous punir de la volonté de nos gouvernements de le combattre. Et.......ils vont tuer.
Alors, moi, je propose que plutôt que nous réduire ce qu'il reste de nos libertés ou notre droit à la parole, on demande au gouvernement irakien de porter une plainte internationale contre ces criminels et criminelles et demander leur expulsion vers son territoire.
Si, le gouvernement irakien ne sait pas qui ils ou elles sont, chaque gouvernement pourrait lui fournir la liste de ceux qui sont partis de son territoire.
Ils se sont mis au ban des nations par leurs crimes, aucun pays ne doit les recevoir !
De cette façon, ils ne pourront plus retourner ou s'installer dans aucun pays de la planète et surtout ne pourront pas se regrouper chez eux pour nuire aux autres citoyens innocents en tentant de provoquer des guerres civiles entre les musulmans nationaux et les autres.
Moi, je n'ai pas envie que mon gamin ou moi, soyons tués ou mutilés par ces salopards et je conseille d'ailleurs aux citoyens de se préparer à leur retour pour se défendre et défendre leur famille.
Voilà, mon opinion. Elle vaut ce qu'elle vaut, mais, je n'ai pas l'intention de finir au cimetière ou dans une chaise roulante sans avoir rien tenter pour les neutraliser.
A moins que nos gouvernements ne soient plus intéresser de réduire nos libertés que de les neutraliser avant qu'ils ne reviennent "chez eux".
Parce que, il y en a marre. Il y a déjà une guerre civile aux portes de l'Europe qui aurait pu être évitée, cela n'est pas la peine d'en rajouter encore au coeur de l'Europe !

(source : Ria Novosti)

Les conducteurs du convoi russe témoignent sur la situation à Lougansk

Dossier: Aide humanitaire russe pour l'Ukraine

Rossiïskaïa gazeta
13:26 25/08/2014
MOSCOU, 25 août - RIA Novosti
Après avoir constaté les conséquences de l'opération "antiterroriste" des autorités ukrainiennes à Lougansk, les conducteurs du convoi humanitaire russe ont l'intention de travailler gratuitement, écrit lundi le quotidienRossiïskaïa gazeta.
"Les habitants nous ont accueillis les larmes aux yeux. Nous sommes arrivés à temps – la famine dans la ville a atteint une telle ampleur que les gens ramassaient les graines de sarrasin tombées de certains sacs percés", déclare Andreï Koneev, volontaire venu de la région d'Orenbourg, conducteur du camion 234.
Aujourd'hui, la ville de Lougansk est privée d'électricité et de communications : les habitants ont été informés de l'arrivée du convoi par le biais de haut-parleurs. Des volontaires pour décharger les camions étaient recherchés partout dans Lougansk, et étaient transportés par bus vers les points de déchargement.
Puis sont venus les gens ordinaires. Des habitants de la ville. Des femmes sont arrivées avec des photos de leurs enfants et pleuraient, demandaient de ne pas les abandonner.
"C'est terrible à regarder. La nuit j'aidais à décharger le camion quand une fillette d'environ neuf ans s'est approchée de moi. Je lui ai donné de la confiture de la ration et elle s'est jetée dessus comme si elle n'avait pas mangé depuis plusieurs jours. Je lui ai donnée toute la ration, elle s'est éloignée de moi, a mangé encore quelque chose et est repartie avec le reste. Peut-être pour sa famille, si elle est encore en vie, ou peut-être pour plus tard… Je n'ai même pas eu le temps de demander d'où elle venait à une heure aussi tardive…", raconte Serguei, conducteur de la région de Volgograd.
De nombreux conducteurs ont partagé leurs rations avec les habitants.
Le convoi humanitaire a fait venir à Lougansk non seulement de la nourriture, mais aussi des médicaments de premier besoin (notamment pour les cardiaques et les diabétiques), ainsi que des groupes électrogènes. Sachant qu'il sera impossible de faire le plein de carburant sur place, les conducteurs avaient préparé des batteries et rempli les groupes avec du gasoil encore dans le campement. Ceux qui ont vu Lougansk pour la première fois disent qu'ils ne s'attendaient pas à voir une "ville aussi charmante". Les autres sont frappés par l'ampleur des dégâts. C'est le secteur privé qui a été surtout touché – dans certains quartiers une maison sur deux est détruite ou brûlée, racontent les conducteurs. Des fenêtres sont brisées dans pratiquement toutes les maisons à travers la ville. Les bris de verre recouvrent les routes et les cours des maisons. Les câbles électriques arrachés empêchent de passer, les routes sont parsemées de déchets et de journaux, ainsi que d'affaires personnelles: des jouets, des vêtements pour enfants, des livres.
"J'avais vu des choses de ce genre à la télévision et c'est très étrange de l'observer en réalité. Comme si un enfant fâché avait joué et jeté ses affaires partout dans la maison. Mais ce n'est pas un jeu. C'est la réalité. C'est épouvantable", déclare Sergueï.
Les conducteurs ont également raconté que le déchargement était accompagné par des rafales de fusils automatiques…
"On a attendu dix jours la Croix-Rouge, qui n'a pas rempli sa mission au final. Nous ne les avons pas attendus et sommes partis. C'était impossible d'attendre davantage. J'ignore ce qu'on écrit à propos de nous sur internet, mais je suis persuadé d'avoir tout fait correctement", dit Andreï.
Ce voyage a conforté beaucoup de conducteurs dans l'idée qu'il fallait poursuivre l'aide. Certains sont prêts à refaire l'expédition dès demain."

Et, oui, sérieusement, ce monde est maboule. La preuve, c'est qu'en Russie macdonald s'en va après avoir été viré de Bolivie.

(source : Capital.fr)

Fermeture d'un cinquième restaurant McDonald's en Russie

Source : Reuters 26/08/14 à 9:15
Mis à jour le 26/08/14 à 9:15
0
Temps de lecture :  1 minute
Le service russe de contrôle de la qualité des produits alimentaires a ordonné la fermeture d'un restaurant McDonald's à Iekaterinbourg dans la région de l'Oural, indique la chaîne de restauration rapide, mardi.
Il s'agit du cinquième établissement McDonald's touché par une fermeture temporaire en Russie où l'organisme de régulation sanitaire Rospotrebnadzor mène depuis quelques semaines des inspections inopinées.
Des fermetures ont déjà été ordonnées à trois enseignes installées à Moscou et une à Stavropol.
(Maria Kiselyova; Pierre Sérisier pour le service français)
© 2014 Reuters - Tous droits de reproduction réservés par Reuters.

Et, une autre entreprise qui risque de fermer, c'est la Deutch Bank.

54’700’000’000’000 € [54 trillions d'EUROS] = l’exposition de DB sur les dérivés. « What the F***? »

trillions-DB
source : zerohedge.com
Zerohedge nous rappelle l’exposition de Deutsche Bank sur les dérivés et met ce chiffre en rapport avec le PIB allemand et de la Zone Euro… Consternant !
Donc, tant que tout va bien, ben tout va bien. Par contre, le jour où un évènement sur les taux se produit, on se réjouit PAS d’assister au décès du système financier.
Je pense acheter quelques options put à long terme sur Deutsche Bank. On se sait jamais.
A suivre,
Loïc Schmid
investir.ch

Par contre, le "monstre" fabriqué par les américains et le Qatar, le calife qui veut prendre la place du calife, entendez, la place de la monarchie d'Arabie Saoudite et le contrôle de la Mecque fait peur à ses créateurs.
Concernant le Qatar, il joue double, triple ou même quadruple jeu.

(source : Histoire de la fin de la croissance)

SYRIE: Cinq pays arabes d'accord pour lutter contre les djihadistes

SYRIE: Cinq pays arabes d'accord pour lutter contre les djihadistes | Histoire de la Fin de la Croissance | Scoop.it
L'Arabie saoudite et quatre autres pays arabes, dont le Qatar, sont convenus dimanche de la nécessité de lutter contre lesdjihadistes de l'Etat islamique (EI), qui "menacent" la sécurité et la stabilité de la région et du monde.

Dans un communiqué publié au terme d'une réunion ministérielle à Jeddah (ouest de l'Arabie saoudite), les participants ont indiqué avoir discuté de "la progression de l'idéologie terroriste et extrémiste, et des troubles que connaissent certains pays arabes", dans une allusion aux avancées des djihadistes de l'EI en Irak et en Syrie.

Ils ont également passé en revue "les graves répercussions" sur "les Etats de la région et la menace que (ces djihadistes) représentent pour la sécurité et la paix mondiale", selon le texte publié par l'agence officielle saoudienne Spa. Les participants, qui ont examiné aussi "les développements de la situation en Syrie", ont relevé "une convergence de vues sur les questions évoquées et sur la nécessité d'agir sérieusement (...) pour préserver la sécurité et la stabilité des Etats arabes", souligne le communiqué.

Réunion à huis clos

Les résultats de la rencontre devraient être soumis aux autres membres de la Ligue arabe, qui en compte 22 au total. La réunion s'est tenue à huis clos. Elle a regroupé autour du ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, ses homologues d'Egypte, des Emirats arabes unis et du Qatar et un conseiller de Jordanie, représentant "les pays arabes membres du comité de contact international sur la Syrie".


Et, oui, mes chers lecteurs, ils feraient bien de se bouger les fesses. Et, d'ailleurs, quel meilleur allié qu'Assad, le tyran de Syrie pourrait-il trouver dans ce combat là.
Ce que les américains commencent à comprendre eux aussi. Les américains, sans le dire, naturlich, alors que le président français en est encore à rêver d'intervention contre Assad.
Un retournement, me direz-vous ?
Eh, non, cela était prévisible dès que les milices islamistes sont intervenus en Syrie. Pas besoin d'être grand clerc pour le comprendre.

(source : idem)

Scooped by Damoclès
Scoop.it!

SYRIE: Plus de 500 morts dans les combats pour l'aéroport de Raqa

SYRIE: Plus de 500 morts dans les combats pour l'aéroport de Raqa | Histoire de la Fin de la Croissance | Scoop.it
Alors que cinq pays arabes - les Emirats arabes unis, l'Egypte, la Jordanie, l'Arabie Saoudite et le Qatar - viennent de se mettre d'accord pour lutter ensemble contre les jihadistes, l'Etat islamique s'est emparé ce dimanche du dernier bastion du régime dans la province de Raqa. Ce groupe, apparu en Syrie à la faveur de la guerre, a proclamé fin juin un "califat" sur les régions qu'il contrôle dans ce pays et en Irak, où il a lancé le 9 juin une offensive d'envergure au nord de Bagdad

 L'Etat islamique prend le dernier bastion du régime dans la région de Raqa. Les jihadistes de l'Etat islamique (EI) ont pris ce dimanche l'aéroport de Tabqa, dernier bastion du régime de Bachar al-Assad dans la province septentrionale de Raqa, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). «Les combats se poursuivent aux alentours de l'aéroport qui est tombé aux mains de l'EI, alors que les corps de dizaines de soldats syriens gisent» à l'intérieur, a indiqué l'ONG, ajoutant que «la majorité des forces du régime se sont retirées de l'aéroport».

«170 soldats syriens parmi lesquels des officiers et sous-officiers ont été tués dimanche dans l'offensive qui a permis aux jihadistes de l'Etat islamique de prendre l'aéroport de Tabqa», indique dans un mail à l'AFP l'OSDH, qui avait fait état déjà de 25 soldats tués dans les combats. Côté jihadistes, 346 ont péri depuis mardi soir, portant à 541 le bilan total des morts en six jours.

Les jihadistes avaient lancé mardi un assaut contre l'aéroport. Outre Raqa, l'EI qui a récemment revendiqué la décapitation du journaliste américain James Foley, s'est emparé d'une grande partie des provinces d'Alep (nord) et de Deir Ezzor (est) ainsi que de certaines zones de Hassaka (nord-est).

Cinq pays arabes d'accord pour lutter contre les jihadistes. L'Arabie saoudite et quatre autres pays arabes, dont le Qatar, sont convenus ce dimanche de la nécessité de lutter contre les jihadistes de l'Etat islamique (EI), qui «menacent» la sécurité et la stabilité de la région et du monde. Les participants ont discuté de «la progression de l'idéologie terroriste et extrémiste, et des troubles que connaissent certains pays arabes», dans une allusion aux avancées des jihadistes de l'EI en Irak et en Syrie.

La réunion s'est tenue à huis clos. Elle a regroupé autour du ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, ses homologues d'Egypte, des Emirats arabes unis et du Qatar et un conseiller de Jordanie, représentant «les pays arabes membres du comité de contact international sur la Syrie».

32 rebelles tués par l'armée dans le sud. L'armée syrienne a tué 32 rebelles dans une embuscade tôt dimanche dans la province méridionale de Deraa, selon une ONG. Une information qui a été confirmée par la télévision officielle syrienne. En outre, 26 rebelles ont été blessés dans l'embuscade et douze autres sont portés disparus, a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH)."

Et, pour parler des coûts pour l'Europe des sanctions contre la Russie, nous pouvons rajouter le réarmement.

(source : Ria Novosti)

Aujourd'hui, 13:57

L'Europe de l'Est prépare son réarmement face à la Russie

L'Europe de l'Est prépare son réarmement face à la Russie

MOSCOU, 27 août - RIA Novosti/La Voix de la Russie Les forces militaires polonaises, lettones, estoniennes et lituaniennes préparent leur réarmement, selon le ministre letton de la Défense Raymond Vejonis, écrit mercredi le quotidien Novye Izvestia.

Il est probablement question d'achat d'armes pour ces forces armées peu opérationnelles. Autre scénario envisageable : les pays d'Europe de l'Est s'apprêtent à jouer le rôle de pays de transit pour fournir des armes en Ukraine.
C'est la publication retentissante du Spiegel – le journal affirme que les pays baltes et la Pologne proposeront d'inscrire dans les documents finaux du sommet de l'OTAN des 4 et 5 septembre au pays de Galles la possibilité d'utiliser les systèmes du bouclier antimissile (ABM) contre la Russie - qui a poussé les dirigeants d'Europe de l'Est à se prononcer sur leur politique de défense. Selon les journalistes se référant à leurs propres sources, l'Allemagne s'opposera à l'initiative de ces pays et elle ne sera peut-être pas la seule. Alors que les USA apprécient tout particulièrement cette idée. Rappelons qu'officiellement, l'ABM est considéré comme un système protégeant l'Europe contre d'éventuels missiles iraniens.
La direction de l'OTAN elle-même s'est engagée à démentir la publication du Spiegel et a déclaré à plusieurs agences de presse que la position officielle de l'Alliance restait inchangée : l'ABM ne vise pas la Russie. Mais le démenti des dirigeants d'Europe de l'Est a été plus controversé. « Le Spiegel fait probablement allusion dans son article à l'installation de missile à longue portée. La Lettonie n'a pas de tels projets, à ce que je sache. Nous comptons développer la défense antiaérienne de courte portée. Par exemple en achetant des lance-roquettes sol-air portatifs ».
Toutefois, il se pourrait bien que le sujet de la défense antiaérienne soit soulevé par l'Europe de l'Est pour une autre raison. La nouvelle situation géopolitique provoquée par les événements en Ukraine sera le thème central du sommet de l'OTAN au pays de Galles et dans ce sens, les observateurs attendent de cette réunion de nombreuses décisions très inattendues. « Depuis la fin de la Guerre froide, l'OTAN s'est progressivement dégradée en tant que bloc militaire. Les "anciens" de l'OTAN ont réduit considérablement leurs dépenses pour la défense, pensant que les "nouveaux" augmentaient les leurs. Or ces derniers pensaient exactement l'inverse. Et tout le monde voyait les dépenses pour la défense comme un gaspillage. S'armer contre qui ? Et pourquoi dépenser de l'argent alors que l'économie frappée par la crise en aurait bien plus besoin ? Le sommet nous dira dans quelle mesure la situation en Ukraine a changé cette position. Du moins, l'OTAN aura une nouvelle raison d'être : un ennemi familier pour la dissuasion duquel l'Alliance a été initialement créée », analyse l'expert militaire Alexandre Khramtchikhine.
Comme le rapporte la chaîne polonaise TVN24 Biznes et Swiat, les membres de l'OTAN pourraient décider lors du sommet de vendre des armes des pays membres à l'Ukraine. Les journalistes polonais se réfèrent à leurs sources pour annoncer que les autorités ukrainiennes ont précisément demandé à Varsovie de leur vendre des armes au cas où la guerre dans le Donbass débouchait sur un conflit direct avec la Russie. Parmi les armes demandées par Kiev on trouve également des systèmes sol-air. Les sources de la presse polonaise ne précisent pas le rayon d'action de ces systèmes. /N

Aucun commentaire: